Sommaire
- L’Aube dorée et le Jobbik : des « terroristes » pour un étrange groupe anti-extrémiste
- Historiascopie avec Robert Faurisson
- Comptes de campagne rejetés : le gouvernement PS avait donné son accord à l’UMP pour payer à la place de Sárközy
- BPCE : vers le renvoi en correctionnelle de l’ancien conseiller de Sárközy
- À Toulouse, pour célébrer un mort, l’extrême gauche casse et pille
- Lyon, Rennes, Nantes, Paris : journées de violences de l’extrême gauche
- La relève…
- Aux âmes bien nées…
- Un lieu de culte islamiste touché par un (léger) incendie à Strasbourg
- Une racaille congolaise condamnée pour racisme… contre un harki
- Occupation & faits divers
- Deux nouveaux centres holocaustiques de propagande
- Le palais présidentiel attaqué par les manifestants à Mexico
- Le monde en guerre
ACTUALITÉ NATIONALISTE
L’Aube dorée et le Jobbik : des « terroristes » pour un étrange groupe anti-extrémiste
Pour le site Counter Extremism Project (CEP), le monde serait menacé actuellement par 6 groupes : al Qaïda, Boko Haram, l’État islamique, les Frères musulmans et… l’Aube dorée et le Jobbik.
Le CEP n’est qu’une émanation des services secrets israéliens. Parmi les membres du comité directeur de ce groupe figurent de nombreux extrémistes juifs, tels que l’ancien sénateur démocrate Joseph Lieberman, le diplomate néoconservateur et criminel Elliott Abrams, membre du CFR et condamné dans le passé pour avoir menti au Congrès des États-Unis, le diplomate Dennis Ross, ou l’ancien élu démocrate Howard Berman qui déclare fièrement :
« Avant même d’être un démocrate, j’étais un sioniste ».
Historiascopie avec Robert Faurisson
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x29pslm_historiascopie-avec-robert-faurisson_news[/dailymotion]
En bref
-Le site suisse Les Observateurs a réalisé un entretien avec Bernard Antony : « les Femen, des jeunes racistes et terroristes » (Les Observateurs)
-« Le FN de pire en pire ». (IFBVYF)
-Images et vidéo de la conférence de presse de Carl Lang et Kevin Réche à Calais :
-Images de la conférence-dédicace d’Hervé Ryssen à Paris ce samedi :
FRANCE
Comptes de campagne rejetés : le gouvernement PS avait donné son accord à l’UMP pour payer à la place de Sárközy
La justice a confirmé hier avoir ouvert le 6 octobre une enquête judiciaire pour abus de confiance, complicité et recel au sujet de la prise en charge illégale par l’UMP des pénalités de 400 000 euros que devait payer Nicolas Sárközy pour avoir dépassé les limites de dépenses imposées aux candidats aux élections présidentielles. En pleine affaire Jouyet, le parquet s’est exprimé – un dimanche – pour affirmer qu’il avait agi « au vu des seuls éléments portés à sa connaissance par les commissaires aux comptes de l’UMP » et sans intervention de l’Élysée. Le parquet dément une autre information de l’ouvrage Sarko s’est tuer :
« Il n’a jamais été question de citation directe dans ce dossier, les faits n’étant pas incontestés ni incontestables »
a annoncé le parquet dans un communiqué.
Le rejet de son compte de campagne avait également obligé Nicolas Sárközy à rembourser lui-même ses créanciers. Alors qu’il effectuait une tournée de conférences lui ayant rapporté deux millions d’euros, l’UMP avait organisé un « sarkothon » pour recueillir onze millions d’euros. Une double escroquerie puisque, avec les réductions fiscales accordées aux partis politiques, c’est en partie les Français qui ont payé. Nous savons de plus aujourd’hui que le dépassement de la limite a été largement sous-estimé, puisqu’à l’époque les faits de corruption et détournements de l’affaire Bygmalion n’avaient pas été révélés.
L’annonce de l’ouverture d’une enquête intervient en pleine affaire Jouyet, alors que François Fillon est soupçonné d’être intervenu auprès de l’Élysée pour que l’exécutif fasse pression sur la justice contre Nicolas Sárközy.
Par ailleurs, selon des sources évoquées par le Journal du dimanche, le ministère de l’Économie avait donné son accord à l’UMP pour que le parti libéral-conservateur prenne en charge les pénalités de son ancien candidat. C’est au printemps 2014 que la nouvelle direction de l’UMP – avec le départ du sárközyste Copé et le retour des fillonistes – avait dénoncé les faits.
BPCE : vers le renvoi en correctionnelle de l’ancien conseiller de Sárközy
C’est toujours dans ce contexte que le parquet national financier (PNF) a requis le renvoi en correctionnelle de François Pérol pour prise illégale d’intérêt. L’ancien collaborateur de Nicolas Sárközy avait été nommé en 2009 à la tête du groupe BPCE (Banque populaire Caisses d’épargne), établissement né de la fusion de la Banque populaire et de la Caisse d’épargne. Or, c’est lui qui avait dirigé ce dossier depuis l’Élysée où il était alors secrétaire général adjoint en charge des dossiers économiques, ce que la loi interdit formellement. Aucun fonctionnaire ne peut travailler – et donc encore moins diriger – une entreprise avec laquelle, dans le cadre de ses missions, il a signé des contrats ou a assuré sa surveillance.
C’est Nicolas Sárközy en personne qui avait convoqué les patrons des deux banques avant la fusion pour leur « conseiller » de choisir François Pérols comme futur directeur.
« Le principal objet de cette réunion était de nous signifier la nécessité d’agréer la proposition de nommer François Pérol »
avait déclaré le patron de la Banque populaire.
« Le président de la République nous indiquait […], en rappelant que l’État prêtait 5 milliards, qu’il entendait que François Pérol […] soit proposé comme futur directeur général exécutif du nouvel ensemble »
avait confirmé le patron de la Caisse d’épargne.
À Toulouse, pour célébrer un mort, l’extrême gauche casse et pille
Comme désormais chaque semaine, la manifestation – interdite – de la gauche à Toulouse s’est terminée en violence. Les casseurs ont détruit du mobilier urbain et se sont attaqués à de nombreux biens publics et privés. Au moins deux voitures ont été incendiées ainsi que plusieurs conteneurs à poubelles.
Les forces de Manuel Valls et leurs anciens alliés se sont échangé grenades lacrymogènes et assourdissantes, fumigènes, cocktails molotov, pavés, et objets divers. Quelques centaines d’extrémistes étaient présents.
À Lyon, en juin 2012, une manifestation nationaliste interdite – alors qu’aucun débordement n’avait été constaté durant les précédentes – avait été précédée de multiples rafles, des dizaines d’arrestations arbitraires. Le gouvernement avait alors mobilisé environ 700 policiers, un hélicoptère, la brigade fluviale. À Toulouse, la manifestation « interdite » s’est déroulée exactement comme les manifestations autorisées, les policiers tentant seulement d’empêcher les racailles d’accéder au centre-ville. Seules vingt et une ont été interpellées, dont quatre relâchées immédiatement.
Lyon, Rennes, Nantes, Paris : journées de violences de l’extrême gauche
Profitant de la faiblesse et de la confusion du régime finissant, les extrémistes poursuivent leur agitation à travers le pays.
À Paris, où la manifestation était autorisée, les extrémistes se sont livrés à diverses dégradations. Ils ont également attaqué et caillassé les agents de leur République à plusieurs reprises. Il n’y a eu qu’une interpellation.
À Lyon, où la manifestation avait été interdite, plusieurs incendies criminels ont été constatés, ainsi que des caillassages de policiers et des dégradations volontaires. Seules dix-huit personnes ont été arrêtées dont treize ont été immédiatement relâchées après un rappel à la loi – « brûler des voitures c’est mal…» . Les autres l’ont été peu après, sauf un récidiviste qui a été placé en détention.
À Rennes, les manifestants très virulents ont fait reculer à plusieurs reprises des policiers dépassés ayant visiblement reçu l’ordre de reculer plutôt que provoquer des affrontements.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=v9DbcsUp2JA[/youtube]
La relève…
Aux âmes bien nées…
La police a interpellé en flagrant délit un enfant de huit ans à Pérols (commune de la banlieue de Montpellier dont la population a décuplé en 40 ans) pour plusieurs incendies criminels contre des voitures. Il est soupçonné d’avoir brûlé quatre véhicules. Considérant son âge, il a été remis immédiatement à ses parents.
Un lieu de culte islamiste touché par un (léger) incendie à Strasbourg
Une mosquée cathédrale défigurant Strasbourg a été touchée dans la nuit de samedi à dimanche par un incendie. Il s’agirait d’un incendie volontaire, qui n’a fait que de très légers dégâts : seule la façade a été légèrement noircie. Les pompiers ont trouvé sur place de simples cartons et papiers enflammés.
Acte contre l’islamisation ? Arnaque à l’assurance ? Règlement de comptes entre islamistes ? La police n’a pas évoqué de piste privilégiée. Seule chose certaine : un concert était donné dans le lieu de culte islamiste par un groupe juifiste, le chœur Zemel, dimanche.
Une racaille congolaise condamnée pour racisme… contre un harki
Une racaille congolaise de 41 ans, fonctionnaire au ministère de l’Économie et des Finances, a été condamnée à 60 jours-amendes à 10 euros, soit 600 euros d’amende ou 60 jours de prison. La sentence n’a évidemment pas été assortie de la déchéance de la nationalité ni de l’expulsion immédiate du délinquant et de sa famille.
Cette peine est particulièrement légère au vu de la gravité des faits : alors qu’il faisait des courses dans un magasin de Reims, il s’en était violemment pris à un vigile.
« Sale harki ! Qu’est-ce que tu fais ici ? Retourne dans ton pays ! C’est pas toi qui vas m’emmerder avec ton salaire de merde ! »
lui avait-il lancé dans un français approximatif, exhibant sa carte de fonctionnaire-parasite travaillant au ministère de l’Économie, après lui avoir jeté une boîte de conserve à la tête.
Plus que jamais : multiculturalisme = multiracisme…
Occupation & faits divers
-Un homme de 38 ans, connu des services de police pour des dégradations de véhicules notamment, a été arrêté pour avoir lancé un engin incendiaire contre le siège des services anti-terroristes de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret. L’attaque n’a fait ni dégât ni blessé.
-Après la découverte d’un corps dans une poubelle à Ézanville, deux hommes ont été arrêtés. Ils sont soupçonnés d’avoir jeté le corps de l’homme décédé d’une overdose de crack. La victime était un SDF qui était hébergé régulièrement chez l’un des deux hommes mis en examen et qui habite un foyer social dans la ville.
-L’Algérienne Nabilla Benattia a été mise en examen et écrouée pour violences volontaires aggravées – pour des faits précédents – et pour tentative de meurtre pour avoir poignardé son petit ami Thomas Vergara.
-Une Gitane a été arrêtée à Saint-Germain-en-Laye après avoir jeté son enfant qui venait de naître dans une poubelle.
-Une quinzaine de véhicules et plusieurs conteneurs à poubelles ont été incendiés et un abribus a été détruit dans les quartiers envahis du nord de Blois à l’occasion d’une nouvelle émeute.
-Des contrôleurs qui allaient monter dans le tramway de Brest ont été attaqués par des racailles qui circulaient en voiture. L’une d’elles les a menacés d’un pistolet et a ouvert le feu à plusieurs reprises. Les contrôleurs, qui s’étaient réfugiés dans une rame, n’ont pas été touchés. Deux jours plus tôt, un agent avait été agressé et a eu un doigt fracturé.
À lire
-« Manifestation nationale : des néonazis parmi les casseurs ». Ou quand les journalistes belges se font les relais directs des campagnes diffamatoires de l’extrême gauche à partir de trois photos qui ne prouvent rien. (La Dernière heure – si seulement…)
-« “Il faut un État palestinien” réaffirme l’UE ». (Le Figaro)
-« Une cour d’appel américaine rend une décision contre le mariage gay ». (Le Monde)
-« Un ministre letton fait son coming out sur Twitter ». (Le Nouvel obs)
-« Premier mariage homosexuel en Russie ». Saint-Pétersboug a connu la première union d’un couple homosexuel lorsqu’une transsexuelle et une femme se sont mariées. (RTL)
ÉTRANGER
Deux nouveaux centres holocaustiques de propagande
« Que d’énergie déployée par nos adversaires un peu partout dans le monde pour alimenter ce « tam-tam holocaustique [qui] se fait plus bruyant que jamais » (R. Faurisson) !
Encore deux nouveaux exemples. Le 23 octobre, le Washington Business Journal annonçait que bientôt, à Bowie (Maryland)) serait construit ce qui sera peut-être le plus grand entrepôt du monde d’objets historiques de l’Holocauste: un entrepôt de 9 300 mètres carrés, qui coûtera 40 millions de dollars, entrepôt qui dépendra de l’US Holocaust Museum.
Le 5 novembre, c’est The Local (site d’actualité qui publie, en anglais, des nouvelles en provenance de divers pays) qui annonçait que l’Autriche allait construire, à Graz, un grand centre holocaustique qui ouvrira en novembre 2015 et sera installé dans la synagogue, une synagogue visitée chaque année par 5 000 étudiants. Ce centre coûtera entre 400 000 et 500 000 euros.
Le palais présidentiel attaqué par les manifestants à Mexico
Une manifestation a dégénéré au Mexique au sujet des étudiants disparus. Le palais présidentiel a été attaqué : une porte a subi des coups de bélier puis a été incendiée. Dans l’État de Guererro (sud), plusieurs véhicules ont été incendiés. Un maire, sa femme, trois tueurs du gang des Guerriers unis ont notamment été arrêtés dans cette affaire parmi 74 inculpés au total. Les membres du cartel ont affirmé avoir exécuté les quarante-trois étudiants qui leur ont été livrés par des policiers. Leurs familles refusent d’y croire comme certains manifestants.
Le monde en guerre
-Palestine occupée. Un Palestinien a été abattu à Jérusalem alors que des policiers tentaient d’interpeller l’un de ses proches accusés de délit. Comme le montre une vidéo tournée sur les lieux, il a été tué dans le dos.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Viit3QvQXU0[/youtube]Ce meurtre a conduit à d’importantes manifestations en Palestine qui se sont souvent achevées en violences, qui se produisent dans un contexte déjà tendu entre les deux peuples.
-Soudan. Un homme a tenté de pénétrer au palais présidentiel à Khartoum samedi ; il s’est emparé de l’arme d’un garde et l’a abattu, avant d’en tuer un autre et d’être lui-même éliminé.
-Syrie. Un raid de l’aviation contre al-Bab (nord), aux mains de l’ÉI, a fait 21 morts.
Des rebelles, notamment du Front al-Nosra, ont pris la ville de Nawa (sud, près de la Jordanie et du plateau du Golan) après des combats qui ont fait dimanche deux morts parmi les rebelles.
L’armée a éliminé deux rebelles et un commandant du Front al-Nosra dans la province d’Alep. Après trois ans et demi de combats, la guerre a fait près de 200 000 morts.
Près de Damas, cinq ingénieurs nucléaires ont été assassinés dans l’attaque du bus qui les transportait.
-Irak. Alors que l’armée a repris la ville de Baïji (nord), au centre d’un important secteur pétrolier, les violences se sont poursuivies dans le reste du pays. Plusieurs attentats à la voiture piégée ont fait samedi au moins trente et un morts et plus de quatre-vingt-dix blessés à Bagdad ; d’autres attaques ont été perpétrées à Ramadi (centre).
L’aviation américaine ou de ses alliés a mené une opération aérienne contre des chefs de l’ÉI qui se réunissaient près de Mossoul vendredi. Certains médiats ont annoncé la mort du chef du groupe islamiste, Abou Bakr al-Baghdadi – sacré il y a quelques jours par Forbes comme l’un des hommes les plus puissants de la planète. Les États-Unis n’ont pas confirmé l’information.
-Yémen. Des membres d’al-Qaïda ont perpétré un double attentat contre des rebelles chiites à Manaseh (centre) et dans une école près de là qui aurait fait plusieurs dizaines de victimes samedi.
Les chiites, qui contrôlent une partie du territoire, ont annoncé qu’ils ne reconnaissaient pas le nouveau gouvernement nommé vendredi, une nomination prévue par un accord signé sous l’égide de l’ONU en septembre entre les différentes parties et qui n’a pas été respecté.
-Pakistan. L’armée a annoncé avoir tué 17 talibans qui ont mené une attaque contre un poste militaire à Bara (nord-ouest) où l’armée mène depuis juin une vaste offensive contre les islamistes.
-Afghanistan. Un attentat-suicide commis par un individu portant l’uniforme de la police près du bureau du chef de la police à Kaboul a fait un mort, un officier proche du chef de la police, et sept blessés dimanche.
© Jeune nation – 2014