Dans le cadre de la République, de la démocratie et des droits de l’homme – trois points essentiels pour l’occupant –, le « vivre-ensemble », au milieu de la marée migratoire, s’accompagne d’une présence militaire nouvelle au cœur des villes et d’interdictions diverses, comme de garer un véhicule devant une école : on en est empêché par des installations métalliques fixes.
Mais cette « nouveauté » dure depuis près de vingt-cinq ans et s’avère inefficace.
Voyons pourquoi.
Les guerres contre la civilisation au Proche-Orient, à l’origine de Vigipirate
Leur plan « Vigipirate » existe depuis 1991. À l’époque, les pays sous la domination financière des usuriers ont déjà attaqué ceux dont les régimes politiques déplaisent à l’entité sioniste en Palestine. Les autorités craignaient alors des attentats de la part de certains immigrés en France, en soutien aux Irakiens.
C’est aussi à cette époque qu’on a supprimé progressivement le service national, tant par l’impossibilité d’encadrer la racaille allogène indisciplinée dans les casernes que face au risque de former au maniement des armes des ennemis de l’intérieur qui n’attaqueraient pas seulement les Français, mais peut-être également l’occupant qui fait venir ces colons.
Des attentats étrangers en 1995
Le plan Vigipirate a été appliqué, à proprement parler, après une courte suspension de deux mois, sans discontinuer depuis décembre 1996.
Il a été activé en 1995. Certes, des activités violentes d’étrangers eurent lieu, les 11, 15 et 25 juillet, les 17 et 26 août et les 3 et 4 septembre contre un religieux étranger, puis contre des policiers et enfin contre la foule des Français ordinaires. Mais, au début, on pouvait semble-t-il massacrer allègrement.
Soldats et policiers français affectés aux intérêts israélites
Le plan étant déjà prêt et ayant été testé quatre mois en 1991, il aurait pu être enclenché pour de bon.
Mais c’est seulement quand une voiture a explosé, le 7 septembre 1995, non loin d’une école juive de Villeurbanne, que leur République se trouva menacée. Le plan Vigipirate a alors été, pour la première fois, véritablement activé… dès le lendemain !
Il fut ensuite allégé puis suspendu durant un an, la police continuant néanmoins, comme c’était déjà le cas avant ce plan, de monter la garde devant les lieux de culte des étrangers qui dirigent la France.
Une menace permanente à cause de la présence étrangère
En 2014, le plan Vigipirate a été modifié, pour ne plus comporter que deux niveaux : « vigilance » et « alerte attentat ». Cela ne change évidemment rien à la situation. Mais en étant au minimum à un niveau de « vigilance permanente face à une menace durablement élevée mais diffuse », comme il l’est depuis février 2014, c’est l’aveu que la France est occupée par des colons barbares, d’ailleurs subventionnés avec l’argent que leur République confisque aux Français (mais qui est également détourné pour les descendants de miraculés, tout autant étrangers).
Un haut niveau de menace « terroriste »
D’ailleurs, l’ancienne codification du plan Vigipirate amenait au même constat : depuis les attentats de Londres de 2005 (situation d’invasion, en Angleterre comme en France), le niveau d’alerte n’avait plus jamais baissé sous le niveau rouge. Il était même passé par le niveau “urgence”, lors des émeutes ethniques de 2005 autour des complexes d’habitations à loyer modéré mises à disposition des envahisseurs en bordure des grandes villes françaises.
C’est également pour une autre cause doublement étrangère que le plan a atteint le niveau écarlate durant cinq jours, en 2012.
En effet, ce fut à l’occasion des actions armées menées par l’Algérien à papiers français Mohammed Mérah contre d’autres étrangers. Les mieux intégrées des victimes s’étaient engagés dans l’armée française. Les autres – qui ont été enterrées en Palestine – occupaient, avec leurs propres écoles, des enclaves dirigées par les religieux étrangers à l’avant-garde de leur « laïcité », comme l’a confirmé la venue ultérieure du criminel de guerre Benyamin Netanyahu.
Leur République ? Responsable et coupable !
Les causes de l’invasion organisée et du chaos voulu ne sont pas à rechercher, comme le font des livres et politiciens à la mode, dans de prétendues vertus des gaullistes qui auraient disparu en 1968. L’effet de nuisance du pédocriminel Daniel Cohn-Bendit et de ses coreligionnaires trotskystes est certain et perdure, mais il ne fait que se surajouter à la perversité de la Cinquième République du petit-fils de rabbin Michel Debré et des gaullistes.
En effet, ces derniers n’ont pas tous favorisé officiellement l’Union européenne, mais ont systématiquement servi les visées universalistes de leur République, c’est-à-dire le mondialisme à l’œuvre tant par le communisme que par la finance apatride qu’ils ont tous deux favorisés, alors que ce sont les deux bras du même cosmopolitisme messianique destructeur des nations.
Le retour de bâton islamiste permet de masquer les causes
Or, qui finance et arme les islamistes contre l’Irak et la Syrie, après la même opération en Libye, sinon, outre l’Arabie séoudite et le Qatar, les laquais de Tel-Aviv, à savoir Obama et Hollande ? Qui a demandé la tête de Bachar el-Assad, sinon l’israélite Laurent Fabius ?
Nous sommes donc dans un affairisme de la victimisation, avec des promoteurs des guerres qui s’en disent ensuite perpétuellement victimes, comme Netanyahu, qui nous ressert son plat réshoahffé quand l’Union européenne se penche, pour la forme, sur la question palestinienne.
La même République qui arme les islamistes et organise l’invasion par des immigrés souvent de religion musulmane, après avoir craint, au début du plan Vigipirate, des réactions ethniques en faveur de l’Irak, se dit aujourd’hui sous la menace des apatrides schizophrènes islamistes… anti-Irak !
Avec l’immigration massive et une politique étrangère destructrice, les occupants ont réussi ce tour de force d’être simultanément sous la menace d’attentats autant pour s’être attaqués aux nationalistes du Proche-Orient que pour prétendre combattre leurs ennemis, tout en soutenant, en réalité, ces derniers ! Pour le bon mot, admettons que ça devient difficile à comprendre. Alors, pour des « déséquilibrés », qu’est-ce que ça doit être !
En attendant les chars devant les synagogues et leurs écoles ?
Le plan Vigipirate pourra donc être élevé au niveau « protection renforcée face à une menace caractérisée », dès que l’acte d’un « déséquilibré » étranger portera atteinte à leur République. C’est-à-dire dès que le CRI(J)F aura décrété qu’il entre dans la catégorie – chaque jour plus étendue – des « actes antisémites ». Cela ne fera pas disparaître le problème d’une France sous occupation étrangère totale, mais permettra de distraire l’attention du téléspectateur et de certains identitaires hyper-marinistes quant aux causes, en les enfermant dans leur apparente dissidence islamophobe – crainte des effets de l’islamisation de la France par les flux migratoires – tout en occultant à leurs yeux les causes maçonniques de la dissolution nationale.
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* « Vigie-Pilate » : formule employée par Jean-Marie Le Pen, à l’époque de l’ancien FN. Le romain Ponce Pilate, fut préfet romain de Judée –partie sud de la Palestine – à l’époque où Jésus de Nazareth « vécut sa passion et fut mis au tombeau » (Nouveau Testament), après que les religieux juifs demandèrent audit Pilate de crucifier celui qui avait, notamment, chassé les marchands du Temple et fustigé les auto-flagellations publiques insincères.