« Cette prison est devenue un centre de vacances ! »
Ce commentaire, faussement indigné, est celui d’une syndicaliste de Force ouvrière (FO). Elle dénonce la dernière affaire en date concernant les « prisons » françaises, devenues l’un des lieux privilégiés de l’organisation et de l’action des mafias étrangères.
La direction des Baumettes a tenté de faire censurer la diffusion d’un « jeu » entre les criminels « emprisonnés » : ceux-ci se prennent en photo devant des étals de drogue organisés au sein des cellules, dans les couloirs, dans les réfectoires, avec des liasses de billets représentant plusieurs milliers voire dizaines de milliers d’euros, des téléphones portables, fumant des narguilés ; ils diffusent ensuite les images sur les réseaux sociaux.
L’argent liquide comme les téléphones sont théoriquement interdits à l’intérieur des établissements pénitentiaires en France. Mais dans les prisons soumises au règne de Christiane Taubira, la réalité dépasse la fiction. Nominalement gérées par le ministère de la Justice, les prisons sont désormais aux mains des mafias étrangères dont les membres s’adonnent aux mêmes activités criminelles qu’à l’extérieur, notamment au trafic de drogues. Avec une différence : à l’extérieur, quand les policiers ne mènent pas la répression contre les nationalistes et ne sont pas sur les routes pour racketter les automobilistes pour le compte de Manuel Valls, il arrive qu’ils s’attaquent aux trafiquants. À l’intérieur, ceux-ci agissent en toute impunité, avec le soutien actif du ministère de la Justice.
La page Facebook « MDR o baumettes » (NDJN : « Mort de rire aux Baumettes ») a été ainsi fermée le 31 décembre. Elle comptait près de 5 000 abonnés.
« C’est un fait, les détenus sont livrés à eux-mêmes. La situation est devenue ingérable avec en moyenne un surveillant pour 130 détenus »
a encore déclaré un syndicaliste, comme si le problème pouvait être réglé par l’embauche de quelques surveillants, alors même que parfois certains sont d’actifs complices des trafiquants. Les syndicats eux-mêmes sont largement complices de la situation par leur soumission aux dogmes républicains, antiracistes et antifrançais ; et c’est très hypocritement qu’ils ont saisi cette occasion pour « réclamer plus de moyens », comme si la situation pouvait encore être sauvée par quelques plans de communication gouvernementaux et des augmentations de salaire. Cette « affaire » est d’ailleurs loin d’être la première, et les gouvernements n’ont jamais pris la moindre initiative contre cette situation. Bien au contraire : Christiane Taubira a fait du laxisme et de la protection des criminels les moteurs de ses réformes. La situation ne sera rétablie que par la prise de conscience de chaque Français, y compris des gardiens de prison, de la nocivité du système qui a rendu cela possible, par sa destruction, et par la mise hors d’état de nuire de tous ceux dont la destruction de la France, de ses valeurs, de son peuple, de son identité sont des objectifs politiques et qui aujourd’hui occupent les palais de l’Élysée, de Matignon, des places Beauvau ou Vendômes.