Alors qu’on nous vante la « stabilité » de leur monnaie d’occupation, mais que leur « zone euro » bat tous les records mondiaux de chômage et d’appauvrissement, tant par l’endettement que par la cession forcée des joyaux nationaux, la vertueuse Suisse voit la valeur de son franc revenir à la hauteur de la valeur de marché de l’euro !
Pour faciliter ses exportations et complaire aux marchés financiers, la Banque nationale de Suisse (BNS) maintenait artificiellement bas le cours de sa monnaie. Mais il aura suffit que la BNS cesse d’agir ainsi pour que, dans la journée, la volatilité des monnaies apparaisse. Et, singulièrement, c’est le franc suisse qui est très demandé, ce qui a fait énormément croître sa valeur d’échange, alors que leur « euro » est vendu massivement. Ainsi, pour la première fois depuis le lancement en grandes pompes de leur « euro », les cosmopolites bruxellois voient sa valeur plonger, pendant une séance de cotation, sous celle du Franc suisse.
Il faut dire que la BNS était contrainte d’acheter massivement des euros pour éviter le plongeon de la monnaie européiste. Ce petit pays a préféré ne pas entrer dans la spirale infernale de la création monétaire : fabriquer des tonnes de francs suisses sans contrepartie et les échanger contre des euros. En France, on fait le contraire : la création monétaire nourrit la spéculation immobilière… et fait perdre de la valeur à l’Euro, mais n’enraie en rien le chômage.
Pays de zombies démocratico-républicains névrosés et drogués: Augmentation de 18% de la vente d’anxiolytiques après les évènements théâtraux de la semaine dernière, alors que la France détient déjà le triste record de la plus forte consommation au monde d’anxiolytiques.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/01/14/23260-ventes-danxiolytiques-hausse-apres-attentats