Les occupants ont commis une nouvelle attaque contre un bus de la ligne 14 à Toulouse dimanche. Les faits se sont produits vers 17 heures, quand cinq racailles étrangères ont pénétré dans le véhicule et ont fait exploser une bouteille contenant de l’acide et de l’aluminium.
L’explosion, si elle n’a pas fait de blessé et seulement des dégâts légers, reste une attaque grave, d’autant qu’elle s’ajoute à la longue liste des crimes et délits commis dans ces quartiers, notamment contre les bus régulièrement caillassés.
Plutôt que de prendre les décisions qui s’imposent – l’expulsion immédiate et totale de tous les occupants – les autorités ont décidé que désormais, les quartiers envahis de la Reynerie et Bellefontaine ne seraient plus desservis par les bus, privant certains des (rares) Français habitant sur place du seul moyen de s’échapper de ces zones de non-droit.
« Un seuil supplémentaire [sic] vient d’être franchi. Cette ligne est championne des caillassages. Il existe un protocole spécifique avec un service spécial de médiation qui avait permis de faire baisser [!] le nombre de jets de projectiles. Mais on arrive à un stade où on se demande s’il ne faudrait pas qu’elle soit déviée en permanence »
a osé se plaindre Benjamin Borderes, membre du syndicat d’extrême gauche et pro-invasion Sud, proche du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), habitué des manifestations antinationales.
Toulouse fait régulièrement la une de l’actualité pour les faits divers sanglants qui s’y déroulent, notamment les règlements de comptes et autres crimes liés aux trafics de drogues.