Reconversion : François Hollande consacre la France à leur synagogue
Le camp de travail d’Auschwitz, pris pas les violeurs soviétiques il y a soixante-dix ans et d’où ils ont alors libéré de nombreux disparus, est un prétexte relevant du marxisme culturel pour faire taire les personnes honnêtes. Fils de leurs Lumières éteintes et de leur République anti-française, François Hollande a ainsi prétendu, en se prosternant au « Mémorial de la Shoah » :
« L’un des instruments pour désamorcer cette ignorance, c’est l’enseignement de l’histoire de la Shoah. Elle est au programme du CM2, de la 3e, et de la 1re. Elle doit pouvoir être enseignée partout, sans aucune restriction ».
Montrant qu’il avait relu son manuel américano-russo-yiddish écrit à Hollywood, il a ajouté à l’attention des millions de “témoins”-survivants-miraculés et de leurs scénaristes et romanciers adorateurs :
« Nous devons nous souvenir que c’est d’abord par le verbe que s’est préparée l’extermination (sic) ».
Quant aux Français qui voudraient respirer à pleins poumons et s’exprimer franchement – ce à quoi est censée servir la langue française – il a jargonné :
« Je veux aller plus loin, en améliorant la visibilité et l’efficacité des sanctions : ce qui supposera de généraliser la caractérisation raciste et antisémite comme circonstance aggravante d’un délit, et sortir la répression de la parole raciste et antisémite du droit de la presse pour l’intégrer au droit pénal général ».
« La troisième réponse, c’est de prendre conscience que les thèses complotistes prennent leur diffusion par Internet et les réseaux sociaux. Or, nous devons nous souvenir que c’est d’abord par le verbe que s’est préparée l’extermination. Nous devons agir au niveau européen, et même international, pour qu’un cadre juridique puisse être défini, et que les plateformes Internet qui gèrent les réseaux sociaux soient mises devant leurs responsabilités, et que des sanctions soient prononcées en cas de manquement. […] [Les]grands opérateurs, nous les connaissons. Ils ne peuvent plus fermer les yeux, ou alors ils seront considérés comme complices de ce qui se diffuse. La France soutiendra cet appel et cet après-midi, je serai à Auschwitz, et je demanderai aux représentants des gouvernements qui seront présents, de s’y joindre également. »
L’ensemble de ces projets liberticides et de judaïsation de la France se matérialisera par un « plan global de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » qui sera présenté dès février par le gouvernement. La lutte contre le chômage, contre la pollution, contre la criminalité, contre la corruption au plus au niveau du gouvernement attendra.
Puis, ne se préoccupant absolument pas des Français envahis, François Hollande s’est fié à la douteuse comptabilité tenue par leur Conseil représentatif des institutions juives de France (CRI[J]F), pour ne se dire préoccupé que par les seuls événements interprétés comme des actes de résistance à la colonisation de notre pays par des religions étrangères.
Enfin1, il a prétendu consacrer notre patrie, la France, à leur synagogue :
« Vous, Français de confession juive, votre place est ici, chez vous (sic). La France est votre patrie ».
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1 Parmi d’autres passages qui mériteraient quasiment tous d’être reproduits tant le nègre du président s’est dépassé dans la repentance, la flagornerie et l’antihistoire :
« Un crime qui n’avait pas de nom, tellement il était ignoble [sic]. Alors, un nouveau [sic] mot fut créé pour le désigner : la Shoah. La Shoah, le plus grand crime jamais connu et jamais commis dans l’humanité. […] Qui parlera des camps, qui parlera de la Shoah quand vous [l’occupant de l’Élysée sans craindre de se contredire, s’adresse aux centaines de milliers de « survivants », encore en vie plus de 70 ans après les faits, quand les enfants et les femmes étaient censés être exterminés dès leur arrivée] ne serez plus là ? Je vous fais cette promesse, qui est un engagement : la République française n’oubliera jamais, et avec les documents [sic], les témoignages que vous nous laissez, les livres, les textes, les enregistrements, et ce lieu qui est le vôtre, alors, nous n’oublierons jamais.
Comment l’antisémitisme peut-il encore ressurgir ? Telle est la question qui nous est une fois encore posée. Pourquoi les juifs ont-ils le sentiment que jamais ils n’auront de repos ni de répit ? […] La montée des actes antisémites est depuis plusieurs années une réalité insupportable. Leur nombre aurait [souligné par nous] doublé l’année dernière : agressions, incivilités, vandalisme. Ce fléau conduit, je le sais, certains juifs à s’interroger sur leur présence en France. […]
Vous, Français de confession juive, votre place est ici, chez vous. La France est votre patrie. Vous lui avez donné votre talent, votre travail, votre courage et parfois votre sang. Notre pays ne serait plus la France s’il devait vivre sans vous, et si le terrorisme vous conduisait à vous éloigner de la terre de France, de la langue française, de la culture française, de la République française qui a émancipé les juifs, alors le terrorisme aurait atteint son but. […]
Pour combattre un ennemi, il faut d’abord le connaître et le nommer : l’antisémitisme. Il a changé de visage mais il n’a pas perdu ses racines millénaires. Certains de ses ressorts n’ont pas changé, hélas, dans la nuit des temps. C’est toujours le complot, le soupçon, la falsification, mais aujourd’hui il se nourrit aussi de la haine d’Israël. […]
Je veux aller plus loin en améliorant la visibilité et l’efficacité des sanctions, ce qui supposera de généraliser la caractérisation raciste et antisémite comme circonstance aggravante d’un délit, et de sortir la répression de la parole raciste et antisémite du droit de la presse, pour l’intégrer au droit pénal général. Et pour que la sanction soit l’occasion d’une prise de conscience, les peines alternatives à valeur pédagogique exemplaires seront développées. »
a-t-il annoncé, évoquant encore l’expansion – si elle possible – de l’endoctrinement des enfants à l’école, du lavage de cerveau des Français soumis aux délites de malades étrangers, dépossédés de leur histoire, de leur honneur, de leur identité, de leur vérité, pour endosser les perversions mentales, les tares, les mensonges d’un autre peuple.