Outre les politiciens, comme l’ancien ministre Cahuzac, la fraude fiscale institutionnalisée continue de sévir parmi les vedettes, que leur Système finance pourtant déjà de toutes parts.
Vedette de leur système du rire obligatoire subventionné
Malin, leur « Marocain » d’avant-garde, Gad Elmaleh, arrive à se faire passer pour drôle afin d’encaisser des sommes prélevées sur les dotations des comités des entreprises de France. Ainsi, chez Alices, le spectacle de l’escroc est accessible à partir de… 364, 06 francs (55,50 euros) la place… au titre d’une prétendue « culture » (sic).
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=l4aW_qdaNYs[/youtube]
Leur vedette a également été payée pour faire la promotion d’une banque, LCL, bidonnée sous la forme d’un montage alternatif d’images d’un public et de leur « artiste », qui a été jugée ridicule par bien du monde :
« Va expliquer aux clients de LCL que les agios qu’ils payent ont servi à rémunérer Gad Elmaleh pour sa pub bien pourrie »,
expliqua ainsi un internaute laissant s’exprimer son bon sens populaire.
Mais, comme l’a publié Charlie Hebdo, au moyen d’un dessin à l’obscénité à peine dissimulée (sexes d’hommes renversés pour constituer un visage…), « tout est pardonné ».
En effet, leur microcosme, par l’intermédiaire de son congénère Élie Semoun, a accordé un grand pardon à Gad, au cours d’une de leurs émissions sur la deuxième chaîne de télévision de leur République laïque, présentant quarante euros pour soudoyer l’un, histoire de suggérer que l’autre n’aurait pas encaissé une fortune pour trente secondes de clownerie. Bref, du billard à trois bandes, dans une opération « gagnant-gagnant » – sauf nous ! – empreinte d’une vulgarité misogyne, comme ils semblent aimer.
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Les affaires juteuses pour leur avant-garde, mais leurs dettes pour la France
Précisons que « LCL » succède à l’ex-Crédit lyonnais, qui a changé de nom pour faire oublier son implication dans divers scandales politico-financiers, dont des « investissements massifs (…) dans la Metro-Goldwyn-Mayer » et l’affaire Tapie-Adidas, cette dernière société ayant alors échu à leur affairiste et joueur de poker, feu Robert Louis-Dreyfus.
L’ensemble des malversations a – encore ! – conduit leur République a endetter la France de 4,5 milliards d’euros supplémentaires en novembre 2013 pour « solder » la dette passée de cette banque.
Mais ça n’a pas empêché « LCL » de dilapider 47 millions d’euros en publicité au cours de cette même année en 2013, selon les cosmopolites de Kantar media. Et Gad Elmaleh a touché une part de ce magot littéralement jeté par les fenêtres.
Cependant le paiement de l’impôt dû sur ces sommes ou sur d’autres n’aura probablement pas été payé. En effet, leur « Gad » s’avère être un fraudeur fiscal : mauvais bougre, il ne veut pas abonder le budget d’un pays qui pourtant s’endette pour le faire vivre dans le luxe !
Ne pas se tromper de lignée « El Maleh », pour éviter tout « amalgame nauséabond »
Certains de ses homonymes se sont déjà fait remarquer entre le Maroc et la Suisse où ils blanchissent l’argent du trafic de drogues, en plus de la fraude fiscale. Ils agissent avec des complices en France, dont leurs coreligionnaires Florence Lamblin – « inconnue du grand public » mais néanmoins élue EELV à la Mairie de Paris, architecte et marchande de jouets sexuels « écologiques » [sic] –, et nombre de leurs avocats affairistes qui occupent Paris et coopèrent avec les mafias de la drogue dans les banlieues avoisinantes.
Cette distinction étant établie et sachant qu’il a de plus engrossé la Monégasque prétendument catholique mademoiselle Charlotte Casiraghi, fille de la princesse Caroline, Gad ne devrait plus avoir de problèmes, à l’avenir, pour frauder le fisc en toute légalité, à moins qu’il ne fasse pas bénéficier de ses revenus la mère de ce rejeton*.
Leurs autres personnalités préférées de leurs médiats également oublieuses
Par ailleurs, il y aurait deux listes de fraudeurs fiscaux en Suisse, rien que pour la banque HSBC. L’affaire a été ébruitée il y a un an – mais très peu depuis – lorsque – les noms de sommités politico-médiatiques ont été cités. En effet, il était inconcevable que leurs autorités morales telles que l’ex-président de leur Conseil représentatif des institutions juives de France CRI(J)F, Richard Prasquier, puissent détenir des avoirs cachés à leur République. De même concernant Laurent Azoulai, président du cercle Léon Blum et membre du parti socialiste, donc également du « Front républicain », la surprise avait été quasi générale !
Et pourtant, il fallut bien se résoudre à accepter l’inconcevable : ceux à qui on avait, nous disait-on « tout confisqué » durant la Seconde Guerre mondiale, et que la Suisse avait été contrainte d’indemniser à ce titre… détenaient –déjà- des millions d’euros là-bas !
Mais beaucoup d’entre eux ont tenté de « justifier », au moyen d’arguments imparables, la dissimulation de comptes bancaires très bien garnis, par une grande souffrance qui aurait pris fin il y a soixante-dix ans. Citons la réponse de leur psychanalyste Gérard Miller :
« Mon père, juif, a vu [sic] la totalité de sa famille mourir dans les camps ».
De plus, horriblement mal informés malgré leurs activités le plus souvent en coopération avec leurs médiats, ils sont plusieurs à avoir affirmé qu’ils ne savaient pas que c’était illégal de cacher son argent en Suisse. Le cinéaste Cédric Klapisch a ainsi déclaré :
« Le fisc m’a contacté au moment où je commençais [sic] à régulariser ma situation, (…) il n’y avait pas énormément d’argent dessus [247 000 euros selon les informations fournies au Monde]. Je ne savais pas que c’était illégal. »
Toutes ces personnes étant finalement relativement pauvres –par rapport à ce qu’elles souhaiteraient posséder- et très éventuellement de bonne foi, aucune charge ne devrait être retenue contre elles et nul doute que le fisc aux mains de Monsieur Cahuzac sous la supervision de son ministre de tutelle, Pierre Moscovici, a fait en sorte, lors des transactions à huis clos avec leur République, de ne pas infliger une grande souffrance à tous ces pauvres malheureux !
« Dieudonné attaque Gad Elmaleh : L’auto-plébiscite »
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=9weXB-c4bRo[/youtube]
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* Employé dans sons sens classique, le mot « bâtard », conviendrait mieux pour qualifier un enfant de Cour né hors mariage et dont le père d’extraction allogène a déjà eu, par ailleurs, un enfant avec une comédienne. Mais le sens moderne très flou donné à ce mot rend sont usage délicat.