Après l’apartheid et l’esprit du 11 janvier, Valls évoque « l’islamo-fascisme »
Entre deux reptations devant ses maîtres juifs, le judéomane Manuel Valls continue à inventer des expressions ou réinventer des définitions. Hier, il a repris à son compte une expression insultante usitée dans les milieux extrémistes sionistes, un pseudo « islamo-fascisme ». Les relais de l’ennemi fonctionnent bien : un autre valet d’Israël, Christian Estrosi, a multiplié ces dernières heures les sorties agrémentées « d’islamo-fascisme ». Les « éléments de langage » distillés par le grand Sanhédrin sont les mêmes pour l’UMPS : « islamo-fascisme », « antisémitisme », « laïcité » (sic).
« Pour combattre cet islamo-fascisme, puisque c’est ainsi qu’il faut le nommer, l’unité doit être notre force. Il ne faut céder ni à la peur, ni à la division. Mais il faut en même temps poser tous les problèmes : combattre le terrorisme, mobiliser la société autour de la laïcité, combattre l’antisémitisme […]. Il faut désormais une rupture. Il faut que l’islam de France assume, qu’il prenne totalement ses responsabilités, c’est ce que demandent d’ailleurs l’immense majorité de nos compatriotes musulmans »
a déclaré Manuel Valls évoquant entre autres pour combattre l’islamisme… la nécessité de « former les imams ».
« Un Juif qui part de France c’est un morceau de France qui s’en va [sic] »
a-t-il encore clamé, appelant encore les Français à cet « esprit du 11 janvier » dont il feint de croire qu’il a pu exister en dehors des cerveaux des communicants du PS.
S’habituer à vivre avec la menace terroriste… et à avoir un gouvernement tout puissant
Beaucoup plus grave, il a répété que les Français devraient se féliciter de devoir vivre dans la terreur :
« Il faut dire la vérité aux Français. Je l’ai déjà dit d’ailleurs notamment au Parlement ou sur vos antennes. Cette menace elle reste particulièrement élevée et il faut – je n’aime pas dire ce mot, mais au fond cela traduit bien mon esprit – il faut s’habituer, si on peut s’habituer à cela, à vivre avec cette menace et avec cette menace terroriste qui est le fruit d’organisations internationales particulièrement barbares comme Daech [l’État islamique] ou al-Qaïda, mais aussi d’individus radicalisés qui sont sur notre sol, qui sont des Français [sic] et qui peuvent retourner leurs armes, leurs couteaux, leurs armes à feu, contre nous, contre des militaires, contre des citoyens »
a-t-il ajouté une fois encore, démontrant son absence de volonté réelle d’agir contre le terrorisme et la cause qui l’a rendu possible, l’immigration de masse. Au contraire, il semble tout à fait heureux d’une situation de terreur face à laquelle les Français sont appelés à abdiquer tout esprit critique, toute velléité de liberté et à s’abandonner au gouvernement guidé par « l’esprit du 11 janvier ».