Justice expéditive
La police ne se déplacera si vous êtes victimes d’une agression dans la rue, pas plus qu’en cas de cambriolage, ni même si votre voiture ou votre deux-roues est volé. Sauf bien entendu s’il appartient au fils du président de leur République et que vous pouvez prouver votre appartenance à son avant-garde : leur régime ne reconnaît ni les statuts sociaux, ni les religions, sauf quand cela permet de discriminer les Français et de favoriser l’oligarchie et les occupants.
Pourtant, à Béziers, juges rouges et flics républicains ont trouvé du temps pour arrêter d’enquêter sur les enlèvements d’enfants, les trafics de drogues, les affaires de viols en réunion pour, en seulement quelques heures, ouvrir une information judiciaire et perquisitionner les locaux de la mairie. Pas moins de quatre officiers de police politique ont été dépêchés sur place et s’activent cet après-midi.
Le procureur de leur République basé à Béziers, Yvon Calvet – en République la justice est indépendante et les pouvoirs sont séparés – réagissait aux ordres directs du gouvernement et a lancé une enquête sur le fichage présumé des élèves de la ville de Béziers selon leur religion par le maire de la ville. Outre la justice, la CNIL s’est emparée de l’affaire aussi.
Deux enfants sur trois musulmans
Sur le plateau de l’émission de France 2 « Mots croisés » hier, Robert Ménard, élu avec notamment le soutien du Front national (FN), a expliqué avoir réalisé des statistiques sur les élèves des écoles à Béziers. Il en ressort que près de deux enfants sur trois y sont musulmans (64,6 %), selon des statistiques fondées sur la simple lecture des prénoms.
« Ce sont les chiffres de ma mairie. Pardon de vous dire que le maire a, classe par classe, les noms des enfants. Je sais que je n’ai pas le droit, mais on le fait. Pardon de vous dire que les prénoms disent les confessions. Dire l’inverse, c’est nier une évidence. Si vous vous appelez Mohammed, c’est que vous êtes… »,
précisait-il avant d’être coupé.
Ce chiffre ne concerne donc qu’une partie des étrangers et masque la présence d’étrangers juifs et africains notamment.
Poussée par l’occupant – Me Jakubowitz pour la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) par exemple –, la classe politico-médiatique s’est immédiatement jointe à la cabale lancée contre le maire de Béziers.
Condamnations unanimes des gérants de la faillite du multiculturalisme
Depuis un pays qui interdit les autres religions que l’islam, pratique la bastonnade, la lapidation et la peine de mort en matière religieuse, interdit la pratique du catholicisme, interdit la possession de Bibles et même de crucifix François Hollande a déclaré cet après-midi :
« Le fichage d’élèves est contraire à toutes les valeurs de la République ».
Faire du commerce avec un État qui finance, arme et soutient les terroristes islamistes, y compris ceux qui frappent la France semble au contraire parfaitement conforme aux valeurs de leur République chaque jour plus ennemie de la France et des Français.
Manuel Valls est évidemment intervenu également pendant que les parlementaires votaient l’entrée officielle de la France dans la dictature et la libéralisation généralisée, avec l’adoption de la loi sur le renseignement par les députés et sur le travail le dimanche par les sénateurs.
« Honte au Maire [sic] de Béziers. La République ne fait AUCUNE distinction parmi ses enfants »,
a déclaré l’individu qui réagi quand une plaque est l’objet d’une fêlure parce que l’affaire concerne un Juif, mais ne réagit pas quand une Blanche est violée par ceux qu’ils protègent, au cœur même de la ville qu’il dirige. C’est le même Manuel Valls qui avait annoncé en mars dernier vouloir autoriser les statistiques ethniques. Il est vrai que, pour lui, il s’agissait de stigmatiser les Français.
Ménard veut aider les enfants musulmans
« Quand dans des écoles, vous avez plus de 80 % d’enfants qui sont d’origine musulmane, maghrébine, vous n’intégrez plus personne. Qui en paie le prix ? Les enfants en question. Et comme je suis soucieux des enfants de mes écoles, je veux savoir ce qu’il en est pour les aider. On donne des moyens aux écoles, en mettant de l’argent »
a expliqué aujourd’hui Robert Ménard, interrogé sur l’utilisation qu’il comptait faire de ces données. Personne n’a été tenté de lui demander en quoi dilapider l’argent des contribuables français et particulièrement biterois pouvait aider à « intégrer » qui que ce soit dans un pays miné par le multiculturalisme destructeur contre lequel n’existe qu’une solution.
C’est exactement la position du gouvernement d’occupation qui prétend interdire les statistiques ethniques et religieuses pour masquer l’importance de l’invasion, mais les autorise quand cela lui permet de mettre en place des politiques discriminatoires antifrançaises en prétendant révéler de prétendus problèmes touchant ces populations.
En résumé, les gouvernements, UMP comme PS, interdisent que les Français sachent que 80 % des détenus dans les prisons sont étrangers, que plus de 90 % des auteurs d’incendies criminels de voitures sont des colons, mais autorisent des études faussées et mensongères évoquant la « discrimination » à l’emploi de ces mêmes étrangers et de ces mêmes colons, comme si un seul employeur dans le monde voudrait privilégier des racailles à d’honnêtes travailleurs.
Durant une conférence de presse, Robert Ménard a déjà précisé :
« Il n’y a pas de fichage »,
expliquant avoir simplement utilisé les listes fournies par l’Éducation nationale.