Un officier de la compagnie républicaine de sécurité (CRS) 39 est la nouvelle cible d’une campagne de haine comme seule leur « démocratie » sait en mener. À l’origine, l’auteur a réagi à l’élimination de la rédaction de Charlie hebdo, à l’instrumentalisation du pouvoir de ces faits et l’absence de véritable réaction après ses attaques, sans même réellement évoquer la honteuse exploitation des services de police et militaire pour la surveillance des seuls lieux communautaristes juifs et islamistes, les procès iniques intentés depuis au nom du #JeSuisCharlie, etc.
L’officier basé en Lorraine s’est fait l’interprète de nombreux policiers en réalisant une petite bande dessinée humoristique mettant en lumière toutes ces entorses à leur prétendue « égalité » et à leur « vivre ensemble ».
Mais certains de ses collègues particulièrement républicains n’ont pas apprécié qu’il dénonce cette situation et mette en lumière des vérités qu’ils auraient préféré voir être cachées. Ils essayent donc d’obtenir le limogeage du CRS-dessinateur. Les délateurs, qui ont sans doute pris les CRS pour une succursale de la Tchéka ou de la Haganah, ont d’abord dénoncé leur collègue à leur hiérarchie, avant d’en appeler au ministère puis à la presse.
Les articles se sont donc multipliés aujourd’hui pour lyncher ce fonctionnaire de police coupable qui se serait tenu coupable, selon ses délateurs, de « racisme » et « d’antisémitisme », sans qu’aucune de ces accusations ne soit étayée par la moindre preuve. En bons républicains, ces diffamateurs estiment que les policiers n’ont droit à aucune pensée libre ou divergente de la pensée unique. Les petits indics du CRIF se répandent dans la presse :
« On se demande bien ce qu’il a voulu exprimer [en affublant un officier d’une kippa] [on ne comprend pas, mais dans le doute, on dénonce et on accuse], mais ça ne sent pas bon. Ce n’est pas la première fois qu’on voit surgir de telles caricatures. Quand il s’agit de la base, la sanction ne fait pas un pli, quand c’est un officier, la direction fait l’autruche. Elle a étouffé l’affaire volontairement »,
lance un Salomon Morel local. Ce complice du système antifrançais et ses amis n’ont sans doute surtout pas apprécié, outre la juste exposition des réseaux infiltrés au sein de la police, la caricature de François Hollande (voir le dessin ci-dessous) et la dénonciation de la plus que faible réaction des autorités face au péril islamiste.
C’est un tissus de conneries. Je fais partie de cette unité. J ‘ai moi même était caricaturé dans cette BD (affublé d’une tête de sanglier : normal mon surnom c’est « Sanglier » ou « Pumba »ou « Phacoche »). J’ai trouvé ça génial. C’est le miroir des gens de notre unité et une page de vie quotidienne. Chaque détail à son importance et tout le monde sait le pourquoi du comment. Cette BD n’avait pas vocation à être diffusée par son auteur qui est au passage un bon officier. Il a fallu compter sur l’excès de zèle d’un délégué syndical qui pour se faire la peau d’un officier et se faire mousser au près de ses adhérents. Il y a eu à ma connaissance 2 exemplaires de cette BD. L’original dans le bureau de l’officier et l’autre dans le bureau d’un chef de service. C’est là qu’a été dérobée une photo de la planche à l’insu de son auteur. Et on connaît le résultat!!! J’ai honte de cette bassesse. À l’heure où les Cie se serrent les coudes d’autres sèment le trouble. Je le redis, cet officier ne mérite pas ça! Le mal est fait à présent.