Deux sœurs de 12 et 15 ans ont été poignardées en descendant du bus scolaire à Nailly, dans l’Yonne, dont l’une assez gravement pour être opérée en urgence afin de lui sauver la vie. Leur assaillant, un adolescent de bientôt 15 ans,, avait prémédité son geste.
L’enquête visera à déterminer si le jeune surineur… souffre de problèmes psychiques, mais pas si ses parents seraient responsables de laisser traîner leur enfant mineur armé. Et pour cause, puisque, sous occupation cosmopolite, c’est leur « Éducation nationale » qui est censée… éduquer, pas la famille !
Peut-être que si le recteur d’Académie Denis Rolland s’occupait moins de relayer la « politique éducative » Belkacem-Peillon-LGBT consistant à
« déconstruire les stéréotypes de genre à l’école [sic] »,
et plus d’enseigner les différences entre filles et garçons, voire mettait fin à la mixité des établissements scolaires, il n’y aurait pas de place pour ce type d’affaire sordide. De là à croire que ça serait fait exprès, il n’y a qu’un pas… surtout au vu des moyens déployés, une réunion sur le sujet étant l’occasion de constater que la mairie de Dijon a, en plus de l’élu Christophe Berthier, conseiller municipal délégué à la lutte contre les discriminations [sic], une certaine Touria Benzari,
« chargée de mission au sein du cabinet du maire de Dijon, responsable de la coordination de la commission extra-municipale de lutte contre les discriminations et de l’AMACOD. »
L’AMACOD est l’« Antenne municipale et associative de lutte contre les discriminations », dont le site Internet discrimine ceux qui n’apprécient guère le rose bonbon.
Bref, selon ledit recteur d’Académie,
« Madame Partouche, inspectrice d’académie, directrice académique des services de l’Éducation nationale de l’Yonne, s’est rendue au centre hospitalier où ont été prises en charge les deux jeunes filles ».
Leur République ne s’occupant que vaguement des conséquences tout en entretenant les causes du chaos grandissant, une cellule psychologique – en attendant une psychanalyse, pour l’assaillant ? – sera installée dans le collège des victimes lundi. Ce type de procédure sert surtout à faire admettre, dans toutes les nuances de ce terme, une situation qui se reproduira donc d’autant plus facilement que les victimes potentielles auront été attendries comme de la viande par un boucher.
Toujours dans le département de l’Yonne, pour un accident de la circulation qui a blessé trois collégiens, le plus gravement atteint a été qualifié, dans le communiqué de presse officiel, de
« brièvement [lire grièvement, NDJN] blessé »
Le recteur d’Académie avait, cette fois, été accompagné, outre par madame le député-maire probablement déjà en campagne électoraliste, par monsieur Bouaouiche, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne… pour constater leur impuissance devant ce type d’événement ?