Parmi les multiples spectacles de jeu de balle – au pied, à la main et à la raquette – de la dernière dimanchade, il en est un qui a plus particulièrement retenu l’attention du microcosme journalistique déjà partiellement en vacances estivales, même si ce ne fut pas pour le contenu du match entre les équipes représentants la Croatie et l’Italie, mais pour une gravure herbacée.
Quelques traits qui dérangent… les dérangés
En effet, quelques lignes vaguement visibles, mais devenues immédiatement obsédantes pour la meute subventionnée qui aboie à tort et à travers, ont fourni du grain à moudre aux causeurs du Système.
La scène s’est passée en Croatie, qui a, selon les falsificateurs mémoriels, le double tort d’avoir été à la fois catholique et paneuropéenne… de quoi faire condamner ce pays à l’écrasement mondialiste sans limite !
Des jardiniers, artistes ou géomètres en herbe auraient, – difficile d’affirmer que ça n’est pas le fruit involontaire de l’utilisation de tondeuses et autres machines d’entretien de la pelouse – marqué le terrain de plusieurs traits qui – ô horreur ! – formèrent approximativement… une swastika.
Durant plus de deux heures, leurs médiats n’ont vu que ça…
Ils veulent que vous imaginiez… ce qu’ils prétendent y « voir »
Pourtant, les supporteurs de football sont censés s’abrutir, d’où les jérémiades poussées ici et là face aux résistances nationales contre le rouleau compresseur cosmopolite.
Il n’en fallut donc pas plus pour que leurs médiats s’en émeuvent et qu’on en arrive tant au qualificatif « nazi » – terme inventé par un bolchevik d’« avant-garde », comme dirait leur Premier ‘éternellement’ ministre – avec tous les sous-entendus habituels de la propagande tant soviétique qu’états-unienne… et la leçon hystérique qui accompagne habituellement ce terme.
Pour leur République, c’est Pascal Praud, un des multicartes de leurs médiats (i-télé, France football, RTL, etc.) qui s’est répandu pour notre confrère par ailleurs très voyeuriste (‘people’, selon eux) Yahoo, titrant mensongèrement, emporté par la surenchère shoahtique et/ou le goût pour les titres accrocheurs :
« Une croix gammée sur la pelouse de Split ».
Pourtant, l’unique couleur verte et la non-inclinaison de l’éventuelle sculpture végétale n’en fit rien de plus qu’un symbole européen ancestral qu’on rattache communément au cycle des saisons.
Rejouons donc le match avec nos réponses… à un seul paragraphe de leurs questions…
« Comment est-ce possible ? »
Les roues des machines couchent l’herbe.
« Comment l’arbitre a-t-il laissé disputer la rencontre ? »
Même terrorisé par le politiquement conforme, en se tenant sur le terrain, on n’a pas la même vue que depuis le haut des tribunes.
« Comment aucun officiel n’a-t-il demandé la suspension du match ? »
Peut-être avaient-ils oublié que ça n’est pas censé être du sport, mais d’abord de l’endoctrinement mondialiste. Nous n’osons espérer que leur culture historique ait incité les personnes – en position d’interrompre officiellement la représentation – à ne pas réagir. En effet, puisque l’Italie a été mise en coupe réglée au profit des mafieux et des usuriers après 1945, tandis que la Croatie fut soumise à la grisaille des partisans soviétiques au même moment, avant d’être livrée à l’albanisation plus récemment, il y a forcément une forte prise de conscience malgré la doxa omniprésente.
« Comment les joueurs ont-ils pu courir sur la pelouse ? »
En y prenant appui alternativement et rapidement sur chacun de leurs pieds.
« Et les entraîneurs s’asseoir sur leur banc ? »
En y posant leur séant, après avoir fléchi leurs genoux.
… et répondons aux premières de leurs affirmations péremptoires un peu courtes
« La conscience politique du petit monde du football me laisse sans voix. »
… Mais pas sans encre. Ni sans argent, l’individu étant plus que fortement rémunéré pour s’indigner au bon vouloir de ses maîtres.
L’important est de taper dans la balle.
« Football », vient de « pied » et de « balle », en anglais, qu’on peut traduire par « jeu de balle au pied », le but originel du jeu étant de la pousser dans le but adverse.
Mais le but réel est de ramollir les cervelles, nous l’avons bien compris !
« Une croix gammée [sic] inscrite sur un terrain de football est une ignominie. »
Selon vous, l’art enraciné serait une « ignominie », mais les ignobles déjections modernistes seraient de l’art ?
« Cette représentation justifiait qu’on ne joue pas le match. »
Accessoirement, la concordance des temps pouvait justifier qu’on en employât un autre pour le verbe jouer.
Quant à la représentation, elle était surtout dans les vingt-deux acteurs courant après un ballon, les artistes étant passés avant, même si les deux sélections en question demeurent très largement nationales, contrairement aux « bleus » africanisés du football et mondialisés du rugby.
Pour les cauchemars des abrutis et de leurs abrutisseurs, terminons avec une représentation approximative d’une Europe… sans francisque, c’est promis !
Très belle carte européenne!