Depuis 75 ans, Israël et son peuple ont volé à l’Europe et aux Blancs plusieurs centaines de milliards de dollars. Mais la « dette » contractée lors de la « découverte » de leur prétendue “Shoah” ne sera jamais remboursée. Le peuple déicide, en instaurant la shoah business a tenté, une fois encore de se placer au-dessus des autres peuples, lui dont les souffrances seraient à nulle autre pareille, peuple innocent parmi les innocents, victime parmi les victimes.
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[« Nous avons tous contracté envers le peuple juif une dette qui ne peut pas s’éteindre et la seule façon de s’acquitter de cette dette c’est de ne jamais transiger avec la sécurité d’Israël. C’est cela qui est en cause, il y a une dette dans le patrimoine de l’humanité » ainsi déclaré Nicolas Sárközy début juin lors d’un rassemblement d’extrémistes juifs en Palestine occupée]
Oubliés les massacres commis contre les Perses par les armées juives, le meurtre de Jésus Christ par le peuple déicide, les assassinats innombrables depuis, jusqu’aux diplomates Ernst vom Rath et le comte de Folke Bernadotte, François Duprat et tant d’autres, les escroqueries gigantesques de Stavisky et de Maddof. Pour eux, l’oubli ; pour les autres, la repentance éternelle.
Depuis plusieurs années, les rentiers de la mémoire tentent de voler les Français en accusant la SNCF d’avoir aidé à la prétendue « Shoah ». Ils ont déjà réussi, au détriment de la France et des Français, à faire échouer plusieurs contrats, allant jusqu’à violer les lois internationales en empêchant l’entreprise de concourir à des marchés publics.
Au lieu de réagir en déclarant la guerre aux ennemis de notre peuple, les gouvernements successifs se sont aplatis devant les racketteurs. Les variations au sein du système, le décentrage progressif du balancier politique à droite, ne change rien à la situation. Bien au contraire, l’extrême droite mariniste, soucieuse plus que quiconque de donner des gages à l’occupant, rampe plus servilement encore.
Le franc-maçon antiraciste Gilbert Collard a ainsi ostensiblement voté pour une loi permettant le vol de 60 millions d’euros aux Français, dans une France en pleine crise économique, pendant que les députés UMP, à peine plus courageusement, s’abstenaient.
« En signant ce texte, que vous le vouliez ou non, vous avez en quelque sorte organisé, consacré même, une sorte de capitulation française devant une forme de chantage permanent judiciaire, voire législatif, de la partie américaine »,
a pourtant déclaré le député UMP – juif – Pierre Lelouche.
Après une polémique orchestrée, l’Assemblée dite, sans doute par dérision, nationale, a donc voté à l’unanimité des 39 votants – sur les 577 payés par le contribuable – le projet de loi autorisant la prétendue « indemnisation » de prétendues « victimes ».
« Il serait consternant que les victimes de la Shoah dont il est question aujourd’hui avec cet accord, fassent les frais de cette affaire des écoutes de la NSA »,
avait tenu à déclarer Élisabeth Guigou, présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée, avant le vote. Elle évoquait les « révélations » concernant les écoutes massives organisées par le gouvernement américain – et donc Israël – contre la France.
Cette loi sera « un moyen définitif, global et exclusif de répondre à toute demande ou toute action qui pourrait être entreprise, aux États-Unis, contre la France ». Autrement dit, Israël n’aura qu’à réclamer, le gouvernement d’occupation payera.
Les sénateurs s’agenouilleront devant Israël le 9 juillet prochain pour rendre la loi définitive. Ces reptations sont d’autant plus scandaleuses qu’en 2007, un arrêt du Conseil d’État a exonéré la SNCF de toute responsabilité. Dans l’affaire des écoutes comme dans le racket, leur République ne fait que ce qu’elle sait faire : se montrer faible avec les puissants, tyrannique avec les faibles.
Ce franc-maçon est égal à lui-même, c’est-à-dire un pion consentant — il n’a qu’à regarder sous ses pieds à sa prochaine tenue en loge. Puissent ceux qui sont éclairés par le Christ lui mettre des bâtons dans les roues.