Il y a un an, une jeune Française était violée et torturée par quatre criminels étrangers à Évry, la ville dirigée par Manuel Valls. Ce dernier n’avait à aucun moment évoqué l’affaire ni témoigné publiquement de son soutien à la victime, encore moins de sa volonté d’éliminer les criminels et d’expulser sans délai leurs familles et leurs congénères racistes antiblancs.
Dans la nuit de dimanche à lundi, une jeune fille de vingt ans aurait à nouveau été attaquée et violée dans les allées du parc des Coquibus. Selon son témoignage, trois hommes l’ont attaquée avant que l’un d’eux ne la viole, attachée à un banc et maintenue par les deux autres criminels.
Elle a ensuite appelé une amie qui a prévenu les policiers qui n’ont retrouvé aucun des agresseurs. Comme lors du crime raciste de l’année dernière, la jeune femme, âgée de 20 ans, sortait du RER quand elle a été attaquée.
Les médiats du régime, si soucieux de préciser la race des criminels noirs « injustement » éliminés aux États-Unis et des policiers blancs lors de faits divers ont consciencieusement caché ici les appartenances ethniques des victimes et des criminels.
La même lâcheté, les mêmes mensonges et le même refus d’agir sont partagés par Manuel Valls, désormais premierm ministre et l’actuel maire d’Évry, le PS Francis Chouat qui a simplement déclaré :
« Après l’effroi et l’émotion, il faut que nous mettions d’autres mesures en place pour renforcer la surveillance de cet endroit, lâche le maire d’Évry. On a demandé des patrouilles régulières, mais on ne peut pas être en permanence dans ce parc. J’ai en revanche demandé à accélérer le processus d’installation de caméras de vidéo protection qui permettront de relier les allées à ce centre de surveillance pour favoriser une intervention rapide dans les semaines qui viennent »,
comme si la solution aux comportements inhumains qu’il contribue à développer se trouvait dans l’installation de caméras de vidéosurveillance.