Les grandes villes occupées d’Île-de-France, du sud-est ou du nord de la France ne sont pas les seules à bénéficier des bienfaits du multiculturalisme et de la diversité. Alors que s’aggrave et s’étend la déliquescence de leur République, l’occupant se sent de plus en plus libre et se montre de plus en plus en plus violent.
À Sens mardi et mercredi, quatre véhicules et plusieurs poubelles ont été incendiés par les gangs d’étrangers dans le quartier occupé des Champs-Plaisants ; des policiers ont également été caillassés.
Dans la région stéphanoise, à Ricamarie, des criminels étrangers ont détruit des bornes incendies pour remplir leurs piscines. Ils ont attaqué ensuite les pompiers et les policiers qui intervenaient et commis de nombreux incendies criminels, contre des poubelles et des voitures. Exceptionnellement, celle du maire de la commune a été touchée et entièrement détruit.
Les 408 en effervescence à Besançon
À Besançon, les incidents violents se sont multipliés ces derniers jours jusqu’à dégénérer en fusillade. Dimanche, dans la cité envahie des 408, des policiers tombés dans un guet-apens ont été visés par des parpaings qui ont fortement endommagé l’un des véhicules d’intervention. Mardi, à Viotte, au moins trois coups de feu ont été tirés lors d’un affrontement ayant mis aux prises plusieurs personnes. Plus tard mercredi matin, c’est à Planoise qu’une fusillade s’est produite. Pour tout cela, il y n’y a qu’une interpellation, un individu très rapidement remis en liberté. Une partie des violences ces dernières semaines était liée à la très faible condamnation de trois criminels étrangers, Farès Litim, Ismaïl Litim et Youcef Dahoua.
Ces derniers étaient rejugés hier en appel, après avoir obtenu en première instance six à huit mois de prison pour trois nuits d’émeute extrêmement violentes en avril et mai dernier. Les témoignages et les vidéos avaient démontré « l’organisation quasi militaire » des émeutiers qui avaient attaqué les pompiers comme les policiers.
« La loi ici, c’est nous qui la faisons, bâtards, fils de putes ! »
avait précisé l’un d’eux, appelant sous une forme imagée à une nouvelle forme de gouvernance participative inspirée des vœux du gouvernement Valls-Hollande.
« Les 408 c’est le supermarché de la drogue à Besançon, et il est tenu par deux familles qui considèrent l’implantation de caméras et la présence de la police comme une atteinte à leurs intérêts économiques »,
a précisé à l’audience le procureur, ne requérant pourtant que 30 mois de prison ferme et cinq ans d’interdiction de séjour… dans le Doubs (!)
Les trois criminels étrangers devraient rapidement pouvoir montrer combien ils ont bien appris la leçon. Ils n’ont écopé que de 18 mois ferme.
Attaques en série contre les policiers et les pompiers à Échirolles
Ces derniers jours ont été marqués par plusieurs attaques contre les forces de l’ordre et les services de secours à Échirolles. Dans le quartier occupé de Surieux lundi, des policiers intervenant pour un deux-roues volé et un véhicule de dépannage ont été caillassés.
Mardi, après une interpellation dans une autre affaire, des violences se sont déroulées durant plusieurs heures de l’après-midi à la nuit en plusieurs épisodes. Les policiers de la brigade spécialisée de terrain (BST), des unités spécialisées « de proximité » dans les quartiers envahis, puis des fonctionnaires de la brigade anti-criminalité (BAC) ont été caillassés dans le secteur du Limousin, où diverses déprédations ont été commises, notamment des feux de poubelles. Plusieurs équipages de pompiers ont subi des attaques similaires lors d’intervention. L’école Marat a été attaquée par des racailles qui en ont brisé des vitres.