Le caractère criminogène de la « justice » de leur République n’est plus à démontrer, mais il ne cesse de scandaliser. Un criminel guyanais de 28 ans avait écopé d’une faible peine pour un vol à main armée, qu’il n’a que partiellement accomplie. À l’issue de sa peine, il n’a bien entendu pas été expulsé vers son continent natal avec une interdiction définitive de pénétrer en métropole.
Quelques semaines après sa sortie de prison, il a agressé et violé une étudiante à Rennes. La jeune femme rentrait chez elle après avoir promené ses chiens près du canal Saint-Martin quand son agresseur l’a surprise dans une ruelle sombre. Le criminel a violé sa victime sous la menace d’une arme blanche. Avant de s’enfuir, l’étranger s’était emparé du sac de l’étudiante.
Après plusieurs jours d’enquête, malgré la capuche que portait le criminel, il a donc été identifié, notamment grâce à son empreinte génétique. Cela a permis de déterminer qu’il s’agit de l’un de ces innombrables criminels (multi) récidivistes, sortis très récemment de prison, qui n’hésitent pas à commettre des crimes plus graves encore dès leur libération, quand un régime carcéral sain et radical dissuaderait l’immense majorité des asociaux d’oser encore attaquer les honnêtes citoyens. En République, au contraire, ils y sont encouragés.
Le compatriote de Christiane Taubira, à laquelle il doit probablement d’avoir été libéré malgré le danger qu’il représente pour les Français, s’était installé alors à Rennes, dans le quartier où il a commis son ignoble crime.