Guet-apens et assaut contre un commissariat
La stratégie de la tension mise en place par l’occupant à travers la France se poursuit. La veille de l’attaque d’une rare violence à Grigny, dans le quartier envahi de la Grande-Borne, qui s’est achevée par la destruction d’un véhicule de police, un guet-apens a été tendu contre une équipe de la brigade anticriminalité (BAC) à Albi dans la nuit de vendredi à samedi. Pourtant, une fois encore, les policiers auraient préféré se laisser tuer ou laisser tuer l’un de leurs collègues plutôt que d’éliminer l’un des criminels étrangers et de devoir affronter les accusations de « racisme » du CRIF, de la LICRA, de SOS Racisme et de Manuel Valls, entre autres activistes et organismes antifrançais.
Dans un premier temps, les fonctionnaires police sont intervenus sur la place de Lapeyrouse, appelés pour une bagarre dans la rue. Il s’agissait d’un guet-apens : à peine arrivés, les policiers ont dû faire face à une dizaine d’étrangers armés notamment de batte de base-ball.
« Nous sommes tombés dans un véritable traquenard »,
a témoigné l’un des policiers. Cette réalité a été immédiatement niée par un procureur antifrançais, qui affirme selon la presse que « la notion de “guet-apens”, n’est pas complètement avérée judiciairement » (sic). « Judiciairement avérés » par les magistrats complices de l’invasion ou non, les policiers ont été attaqués et frappés et trois ont été blessés. L’un a reçu plusieurs coups de poings.
« La ville est à nous ! »,
crient notamment les colons durant l’attaque. Les policiers ont réussi à se dégager en utilisant notamment des grenades lacrymogènes et en tirant avec leurs lanceurs de balles de défense, en emportant un seul interpellé. Comme plusieurs des autres racailles qui ont tendu le guet-apens, il est défavorablement connu des services de police. Avec leur véhicule qui a également subi des dommages, les policiers rentrent alors au commissariat.
C’est là où le second acte s’est déroulé. L’un des complices de la racaille arrêtée a suivi les fonctionnaires jusqu’à l’hôtel de police d’Albi. Il a alors tenté d’y pénétrer pour empêcher l’agresseur d’y être emmené. Exceptionnellement, les policiers ont pu compter sur le soutien d’un magistrat qui a validé l’incarcération du récidiviste.
Une situation particulièrement tendue à Albi
Les faits interviennent dans un contexte particulièrement tendu dans la région d’Albi. À Carmaux, à une quinzaine de kilomètres au nord d’Albi, une policière a été agressée fin mai en plein commissariat. La violence latente à Albi avait déjà conduit les policiers à organiser une manifestation, devant ce même commissariat attaqué en fin de semaine, il y a moins de deux mois. Ils réclamaient alors un « plan Marshall » (sic). Il y a quelques semaines, fin juillet, le syndicat Alliance diffusait un nouveau communiqué après de nouveaux incidents, qui rappellent d’ailleurs ceux survenus en fin de semaine dernière :
« Une fois de plus, mardi soir vers 17 heures, les collègues de la brigade anticriminalité (BAC) du commissariat d’Albi se sont fait insulter et caillasser dans le quartier de Cantepau à Albi, occasionnant des dégâts sur leur véhicule. Lors de l’interpellation mouvementée de l’auteur qui s’est rebellé, deux collègues ont été blessés et un autre équipage de Police-secours à nouveau caillassé. […] Alliance Police nationale, qui représente la majorité des policiers fait part de leur exaspération d’interpeller au péril de leur santé toujours les mêmes racailles qui se moquent des lois. Enfin, Alliance Police nationale demande à la Justice l’application des peines maximales prévues par les textes afin de dissuader ces individus de continuer encore et toujours à nuire à la société ».
Il n’est pas utile de préciser que ces protestations ont été totalement ignorées du gouvernement. Même pour les policiers, l’heure n’est plus aux vains manifestations et communiqués larmoyants.