En République, le crime ne payerait-il donc pas toujours ? L’insupportable arrogance des deux escrocs juifs Patrick Balkany et Isabelle Smadja, qui ont ajouté la corruption à la fraude, le détournement à l’escroquerie, aurait-il fini par énerver des magistrats habituellement si laxistes ? Après la villa de très grand luxe qu’ils possèdent dans les Antilles et après le vaste domaine du moulin de Giverny, la justice a ordonné la saisie du ‘riad’ des deux corrompus au Maroc.
A minima, les juges en charge de l’une des enquêtes concernant les deux étrangers multirécidivistes ont demandé que ce palace nord-africain fasse l’objet d’une mesure conservatoire et ne puisse donc être vendu.
Avec ces saisies, les juges veulent éviter que les escrocs n’organisent leur insolvabilité et ne fassent profiter notamment à leurs enfants des millions volés aux Français. Un vœu pieux puisque déjà une grande partie de l’argent détourné ne pourra être récupéré.
Malgré leurs condamnations passées et la multiplication des affaires les concernant, les deux criminels sont toujours de hauts cadres de l’Union pour un mouvement populaire (UMP), transformée pour faire oublier ses nombreuses affaires en parti Les Républicains (LR).
Patrick Balkany touche chaque mois plusieurs milliers d’euros du contribuable en tant que maire et en tant que député, sans que cela n’émeuve aucun responsable politique, de l’extrême gauche à l’extrême droite. Il n’est pas seul : outre son coreligionnaire Serge ‘Dassault’ Bloch, Jérôme Lavrilleux ou Thomas Thévenoud hantent les parlements d’une République contre laquelle aucune mesure ne sera assez radicale.