À Menton, à Calais, en Île-de-France : la situation est dramatique dans de nombreuses régions en France et les crimes liés à l’invasion – l’attentat avorté du Thalys le démontre une fois encore – ne cessent d’augmenter. Les policiers ne cessent d’alerter leur hiérarchie sur leur situation et les habitants, abandonnés par les politiciens comme par les médiats, sont contraints de diffuser sur les réseaux sociaux des vidéos expliquant leur situation. Ce qui arrive en France est semblable à ce qui se déroule en Espagne, en Italie, en Allemagne, en Grèce, en Bulgarie, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, en Serbie, etc.
L’urgence de la situation est évidente pour chaque Français et pour chaque Européen, mais pas pour l’oligarchie. Ainsi, si Bernard Cazeneuve a fini par vouloir organiser une réunion européenne, elle ne le sera que… mi-octobre. À cette date-là, les grandes attaques de l’été seront finies, et les envahisseurs, qui s’entassent par dizaines de milliers actuellement en Grèce, en Italie et en Espagne, se seront disséminés à travers l’Europe rendant moins dolore l’agression.
Encore faut-il préciser qu’aucune décision ne sera prise alors, puisqu’elle sera suivie d’une autre réunion à Berlin, également inutile, et ayant pour seul but de « préparer » un sommet européen à La Valette en novembre. Les égoïsmes nationaux comme l’orientation libéraliste ou gauchiste des différents gouvernements n’amènera alors aucune solution concrète, comme les précédents sommets européens se sont achevés dans la discorde et des aveux d’impuissance – à part la décision de continuer à répartir les colons en Europe.
« Il est inacceptable que les institutions européennes continuent à travailler à la lenteur actuelle »,
a tenu à préciser le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière avec lequel se trouvait Bernard Cazeneuve, sans annoncer la moindre accélération des processus ni surtout la moindre prise de position radicale pour régler le problème en quelques semaines.