L’extrémiste laïcard François Baroin, cadre du parti sárközyste Les Républicains (LR, ex-UMP), fils d’un commissaire de police devenu dirigeant de la direction de la surveillance du territoire (DST) puis président de la FNAC et haut dignitaire de la secte maçonnique (ceci expliquant cela), n’a pas ménagé ses attaques ces dernières années contre l’Église catholique au nom de la « laïcité ». Celui qui ne choisit ses compagnes que dans la communauté juive (Marie Drucker après Michèle Laroque) a lancé ces dernières semaines une offensive violente pour faire interdire les crèches de la nativité, devenue en France, en plus de leur signification religieuse, une partie du patrimoine historique et culturel.
Agent d’Israël, François Baroin n’est pas moins complaisant avec les pires islamistes. Il n’hésite ainsi pas à fréquenter le lieu de culte islamiste où officie Abdelilah Ziyad, un imam impliqué dans plusieurs affaires criminelles, condamné pour terrorisme en 1997, et connu notamment pour avoir été le maître à « penser » d’Omar Ismaïl Mostefaï, l’un des tueurs ayant participé aux attaques de Paris et Saint-Denis il y a un mois.
De sa peine de huit ans de prison, pour avoir dirigé des attentats au Maroc dans les années 1990, notamment à Marrakech en 1994 où deux touristes espagnols furent tués1, il n’effectua que quatre ans ; l’attaque s’inscrivait dans un vaste plan de crimes sanglants. Avant que ses complices libéraux de l’UMP ne puissent intervenir pour le faire libérer, les juges rouges l’avaient déjà élargi. Et grâce à tous, il est resté en France depuis, malgré une interdiction du territoire.
Complément d’enquête. Sur les traces d’Abdelilah Zyad
En 2010, il est à nouveau impliqué dans une affaire de terrorisme. Mis en examen pour complicité et recel de vols avec arme en bande organisée en relation avec une entreprise terroriste. Sous contrôle judiciaire, condamné pour terrorisme, connu comme extrémiste particulièrement violent, soumis à une interdiction du territoire non exécutée, il poursuit néanmoins son œuvre de mort.
« Ou bien il s’agit d’une faute lourde la part de la police car elle n’a pas su et vu que Ziyad était toujours là. Ou bien il s’agit d’une connivence. C’est l’un ou l’autre. Sinon, quoi d’autre ? Le ministre de l’Intérieur doit s’expliquer »,
dénonce un avocat.
Il a prêché la mort et la haine à Chartres puis à Troyes, avec Omar Ismaïl Mostefaï comme protégé, avec non seulement la bénédiction du maire de la ville, François Baroin, qui soutient activement le lieu de culte islamiste où officie cet imam terroriste – une photo le montre à une cérémonie islamiste en 2013 –, mais encore sous la protection des … soldats de la République. Il y est connu sous le nom d’Abdelhakim Azimi. Les responsables du lieu de culte islamistes ont prétendu découvrir son identité et affirmé qu’il serait limogé. François Baroin, trop occupé avec son collègue antifrançais Gaël Perdriau à organiser la répression contre les catholiques, n’a pas réagi.
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1 Depuis l’Allemagne, il avait commandité plusieurs attaques, menées notamment par des « Français » (Abdeslam Guerouaz, Abderrahmane Boujedli, Hamel Marzoug, Kamel Benakcha, Redouane Hammadi et Stéphane Aït Idir), Talek Falah et plusieurs autres individus recrutés au Maroc. Il appartenait au Mouvement de la jeunesse islamique du Maroc. Abdelilah Ziyad se faisait alors appeler Rachid. Condamnés à mort, Redouane Hammadi et Stéphane Aït Idir sont actuellement toujours dans l’attente d’être châtiés dans une prison marocaine ; leur chef, Rachid, les avait abandonnés. Ces faits se déroulaient dans les années 1990, rappelant que le régime ment quand il prétend que le problème du terrorisme islamiste lié à l’invasion qu’il a organisée est nouveau : c’est en réalité une constante depuis trente ans.