S’il vient de confirmer une certaine forme d’acharnement contre un Français emblématique parmi ceux qui restent debout, à savoir Yvan Benedetti, cela ne semble être que pour motif personnel et pas sur injonction ministérielle.
En effet, le préfet Jean-François Carenco, probablement promu préfet de Paris hors classe en remerciement des mesures d’exception prises contre les nationalistes français à Lyon, s’était déjà vu ajouter une mission particulière par le plus haut sommet du pouvoir exécutif.
Hissé encore plus haut sur recommandation expresse
En plus du poste de préfet de Paris, où on aurait pu penser qu’il n’y a pas de quoi s’ennuyer face à la criminalité galopante et à la mobilisation sans précédent pour protéger les lieux de culte étrangers ou surveiller, sans aucun succès, les organisations terroristes étrangères, leur Président de la République, sur rapport du Premier ministre étranger Manuel Valls, l’a récemment nommé
« délégué interministériel au projet Euro Disney en France ».
Pour le développement des activités de l’Occupant
Le Parc d’attractions de Mickey a confisqué les meilleures terres agricoles de France pour faire pousser la betterave ou le blé ? Peu leur importe : nous mangerons, par exemple, des carottes cultivées en Afrique sur des terres achetées par des groupes financiers israéliens, après nous être fait fouiller par des Étrangers à l’entrée d’un hypermarché, pour lutter contre les attentas commis en France… par des Étrangers !
D’ailleurs, les comptes d’apothicaires des technocrates trouvent que la France y gagne plus qu’elle n’y perd, à encourager la poursuite des activités de loisir de l’occupant yankee, parlant pourtant clairement de
« L’emprise de l’opération Euro Disneyland ».
Celle-ci doit, désormais, se développer au moins jusqu’en 2030, avec une confiscation encore bien plus grande du territoire français « libéré » pour réaliser de très juteux programmes immobiliers, mais qui seront peut-être officiellement aussi « déficitaires » que leur Parc.
Des gains financiers optimisés, puis… emportés hors de France
Dans ce contexte, la recapitalisation d’un milliard d’euros pour désendetter le lieu de distraction de Marne-la-Vallée ne doit pas tromper. En effet, ça n’est ni un cadeau, ni un investissement direct étranger, mais un prêt à intérêts. Car la firme étasunienne, en plus de nous coloniser, profite de cet endettement d’une de ses propres sociétés pour lui prêter de l’argent à 4 % d’intérêts annuels, ce qui fait 40 millions d’euros de profits financiers par an, tout de même !
Outre cette usure, la maison-mère prélève 75 millions d’euros annuels de redevances à… sa filiale (droit à l’utilisation des images, noms, marques et logos) entraînant un « déficit » (perte) de 64,4 millions d’euros en 2013… pas perdus pour tout le monde.
Sans droits prélevés ni « endettement »… internes à Disney, il y aurait donc un bénéfice important, de l’impôt à payer en France, une participation et un intéressement à verser aux salariés.
Alors qu’avec ce déficit entretenu, cela permet d’affirmer qu’on ne prélève pas de dividendes (parts sur le bénéfice, quand il y en a un, qui serait versée aux apporteurs du milliard), comme si c’était… un cadeau fait à la France.
Finalement, ça ressemble à un habile montage juridique et financier appuyé par une communication finement adaptée, pour lesquels le PDG Roger Iger, successeur de Michael Eisner qui l’avait coopté comme second au sein de sa tribu à l’avant-garde de la finance mondialisée, est carrément accompagné par ce qu’il reste de l’État.
L’État au chevet d’une menée anti-écologique et antisociale
Cette obsession mondialiste de désindustrialiser la France pour en faire dépendre l’économie majoritairement du tourisme est contraire aux principes de l’éco-localisme, ce que ne prévoit évidemment pas le dogme officiel du ‘réchauffement climatique’ anthropique puisqu’il n’inclut pas l’économie d’énergie par la réduction du libre-échange et des transports internationaux que ce dernier nécessite.
De plus, les tensions internationales risquent de tarir cette manne, les touristes étrangers ayant été refroidis par les attaques armées contre la France.
Enfin, les parcs pratiquent les bas salaires et des contrats souvent seulement saisonniers, soit cette fameuse précarité que tous les politiciens nous disent combattre… mais qu’ils favorisent en réalité, doublée du travail dominical entravant la vie de famille.
Cependant, formé à l’obéissance vis-à-vis des politiciens étrangers qui détruisent sciemment notre nation et à l’application du droit administratif, ne nous attendons pas à ce qu’un fonctionnaire à emploi technocratique dénonce ces pratiques qui spolient la France de recettes fiscales et qui privent des employés de l’intéressement sur le fruit de leur travail auquel la loi leur donne pourtant droit depuis plusieurs dizaines d’années.