Les envahisseurs, avec la complicité active des autorités, ont une fois encore provoqué des incidents à Calais le jour de Noël. Des centaines de clandestins étrangers ont traversé la ville pour rejoindre l’autoroute pour y attaquer des chauffeurs et dégrader des camions comme c’est désormais la « tradition ». Ils veulent ensuite tenter d’envahir la Grande-Bretagne comme ils l’ont fait en France.
Repoussés par les forces de police, ils ont fait le chemin inverse pour rejoindre leur campement légalisé de fait par le gouvernement Valls en y installant toilettes, logements, en y laissant s’installer des mosquées, des boîtes de nuit, etc.
Pour montrer aux chrétiens toute leur haine de l’Europe, ils ont dégradé plusieurs dizaines de véhicules à travers la ville, caillassant des voitures et brisant des vitres, détruisant les rétroviseurs et les essuie-glaces, abîmant les carrosseries, etc. Ils ont également attaqué du mobilier urbain, jeté des poubelles au milieu de la route, etc.
Selon les autorités municipales, une cinquantaine de plaintes ont déjà été déposées. Elles ont annoncé qu’elles prendront en charge les franchises : c’est donc le contribuable de Calais qui va payer pour les dégradations commises par les colons et pour financer les assurances privées. Parmi les réactions du maire de Calais Natacha Bouchart veut envoyer les envahisseurs venus piller l’Europe (des « migrants économiques ») dans des centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), mais aussi « laisser passer des migrants sur nos ports ».
Il n’y a eu aucune arrestation, aucune expulsion immédiate, aucune réaction du gouvernement.