Les consignes gouvernementales de fermeté à l’égard des victimes et de laxisme pour les criminels, sont appliquées à la lettre par la justice. Le Figaro a révélé aujourd’hui un cas tristement représentatif des nouvelles normes judiciaires imposées par Manuel Valls et Christiane Taubira.
Le 18 mai, un Africain de 37 ans a agressé une Française dans les rues de Paris, dans le XXe arrondissement. Mise à terre, la jeune femme est étranglée violemment avant que le criminel ne tente de la violer. Feignant l’évanouissement, elle parvient à raisonner ensuite son agresseur qui s’enfuit avec son portable.
Peu après, cette même nuit, une seconde attaque se produit tout près de là. Les faits sont tellement graves qu’une enquête judiciaire est ouverte pour tentative d’homicide. Grâce à l’ADN, aux témoignages et aux caméras de vidéo surveillance, le criminel est rapidement identifié. Il s’agit d’un Africain de nationalité guinéenne, Hamidou B. Les enquêteurs le suspectent dans une autre attaque en 2012.
Le criminel est arrêté le 10 juillet, dans le même arrondissement. En garde à vue, il avoue ses crimes. Malgré l’extrême gravité des faits, malgré les risques très élevés de récidive, conformément aux directives gouvernementales, un juge d’extrême gauche va pourtant le libérer et le placer seulement sous contrôle judiciaire – avec interdiction de se rendre dans le XXe arrondissement (sic). Le criminel africain, qui se prétendait jusqu’ici sans domicile, a en effet tout à coup trouver une attestation de domicile, fournie par son beau-frère. Cette seule attestation a suffi à un juge antifrançais pour le remettre en liberté.
Le 27 juillet, le criminel a récidivé : une jeune femme a été violée, toujours dans le XXe arrondissement de Paris. Hamidou a été une nouvelle fois arrêté hier, dans le XVIe arrondissement de la capitale ; il fait désormais l’objet de poursuites pour quatre crimes. Avant les prochains après sa probable remise en liberté.
Si les noms de Christiane Taubira et Manuel Valls sont connus, l’identité du juge criminel responsable du viol de Mathilde le 27 juillet n’a pas été révélée par la presse.
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