Face à la situation d’un immeuble qui s’est dégradée au point d’en devenir invivable, une retraitée aura eu tort d’essayer de dialoguer avec les racailles d’invasion.
De même, son dépôt de plainte au commissariat, après les menaces et insultes racistes antiblanches, fut enregistré sous forme de simple main courante ; elle n’aura eu aucun effet, puisque police et justice sont plus préoccupées par la chasse aux nationalistes que par la mise hors d’état de nuire des déchets de l’humanité qui pourrissent la vie des Français.
« Entre les cris, la drogue et les tensions, c’est devenu une zone de non-droit, lâche une locataire excédée. Je vis ici depuis vingt-trois ans, je n’avais jamais vu ça. »
explique une habitante de cette cité envahie d’Ivry-sur-Seine.
Un matin d’août dernier, dès le départ au travail de son compagnon, une bande de quatre barbares qui n’acceptaient pas qu’on leur demande simplement de faire moins de bruit et qui avaient multiplié les menaces racistes ces derniers temps, prendra d’assaut l’appartement de la vieille dame pour la violer et tout casser chez elle.
Voilà les « joyeusetés » du mois d’août pour des vieux Français contraints de travailler longtemps et que leur République laisse à la merci des trafiquants de drogues étrangers, qui eux, n’ont ni travail déclaré, ni impôts à payer, mais bénéficient au contraire d’allocations, au besoin par l’intermédiaire d’un interprète fourni par la Caisse d’allocations familiales pour mieux assurer le transfert des revenus des Français, ponctionnés au profit des étrangers les plus dégénérés possible.