Dans un rapport récent de la Cour des comptes, on apprend que le nombre de départs au sein de la police et de la gendarmerie a été battu en 2021. Un phénomène qui va en s’amplifiant depuis 2020 et la tendance semble se confirmer aussi en 2022.
Dans un rapport sur l’exécution budgétaire de la mission « Sécurités » pour l’année 2022, communiqué au gouvernement le 13 avril, la Cour des comptes s’inquiète d’un niveau sans équivalent de départs, « un phénomène de fond installé depuis la fin de la crise sanitaire ». Les chiffres sont spectaculaires. La police nationale a connu 10 840 départs (+33 % en quatre ans) et la gendarmerie 15 078 départs (+25 %) rien que pour l’année 2021.
Même la police judiciaire est touchée par cette crise. Près d’un enquêteur sur cinq menace de démissionner si la départementalisation de la police judiciaire imposée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, est maintenue.
Malgré les primes de fidélisation, d’un montant de 730 millions d’euros depuis 2016, les démissions se multiplient quand même.
Une mauvaise nouvelle pour l’exécutif qui a fait du recrutement de forces de l’ordre l’un des piliers de sa politique régalienne. En effet, dans le cadre de la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (Lopmi), l’ambition était de recruter 8 500 policiers et gendarmes en cinq ans. Un chiffre fort mais qui passe par des recrutements accélérés.
Tous les moyens pour parvenir à cet objectif sont en passe d’être remis en cause si, dans le même temps, les forces de sécurité quittent le navire en nombre bien plus conséquent.
Les motivations de ces démissions massives et croissantes sont bien sûr diverses :
- les polices municipales qui se développent et offrent souvent des conditions de travail notamment financières plus attractives,
- le travail de la justice qui détricote, voire sabote, le travail des policiers et provoque frustration et découragement,
- les autorités hiérarchiques et politiques qui adoptent de plus en plus le discours d’extrême-gauche des « violences policières » tout en exigeant de plus en plus de résultat,
- une société bigarrée de plus en plus violente et dont les voyous petits et grands n’hésitent plus à s’en prendre frontalement aux forces de l’ordre.
Une tendance qu’on retrouve aussi en Suède, par exemple, depuis de nombreuses années où les démissions de policiers ont grimpé en flèche et le recrutement peine à combler les effectifs. Et comme par hasard, la Suède et la France font partis des pays les plus touchés par la criminalité des gangs de migrants violents que les autorités et classes dirigeantes refusent obstinément de voir et traiter.
Ils sont encore beaucoup trop nombreux:
ils ont le temps de convoquer et d’auditionner les nationalistes pendant des heures, ils se mettent souvent à plusieurs, ils ont le temps de faire des rapports à temps pour la procédure, de faire des « bio » (prise d’empreintes) etc.
Et les policiers ou gendarmes qui font ça n’ont rigoureusement pas l’air d’avoir le moindre doute sur ce qu’ils font.
Quant aux gangs de la drogue, tout va bien, ils font eux-mêmes la police entre eux, à la kalach, aucun appel possible, pas de procédure, pas d’avocat, c’est encore la formule la plus économique pour tout le monde.
Tant mieux tout le monde déteste la police et surtout la gendarmerie.
Monsieur « X »…
Les intervenants tels que vous, qui ne justifient pas au nom de quel vécu ils s’expriment, puisque courageusement dissimulés derrière un pseudo, sont pourtant les plus péremptoires, sans justifier du moindre combat…. ni notamment de la moindre confrontation avec les forces de l’ordre.
Comment peut-on vous prendre au sérieux ?
Pour ma part, après toute une vie de militantisme, après de multiples arrestations, après des années de prison ; si je fais le point honnêtement, je puis affirmer que, contrairement aux clichés faciles répandus par ceux dont l’expérience se limite aux films made in Hollywood, c’est chez les gendarmes et policiers de terrain que j’ai rencontré les hommes les plus droits et honnêtes.
– Je ne m’étendrai pas sur le cas de ces « consciences à louer » que sont – à de notoires exceptions près cependant – la plupart des avocats. Pratiquant vis-à-vis de leurs clients un véritable racket, en exigeant in extremis des « provisions » à la veille d’un procès. Oui ! J’ai connu parmi eux d’authentiques crapules…
– Je n’insisterai pas non plus sur les affiliés au syndicat de la magistrature, statuant en fonction du fond sociologique ou politique, au détriment de la réalité formelle. Des magistrats ? J’en ai vu tricher abominablement, faire disparaître des pièces des dossiers, traiter en coupables des témoins à décharge…
– Mais je me souviens de ces gendarmes, à l’Ecole de Police d’Hussein-Dey, ne livrant pas mon identité, alors qu’ils savaient parfaitement qui j’étais.
– Je me souviens, dans cette même Ecole de Police, de jeunes inspecteurs venus de métropole, qui, tout en faisant semblant de jouer le jeu des interrogatoires, ont fini par nous libérer… en nous rendant nos armes !
– Je me souviens, lors d’une tentative d’évasion à l’aéroport du Bourget, alors que j’avais sauté d’un avion après l’atterrissage, de ces deux gendarmes qui pouvaient me descendre d’un rafale mais ne l’ont pas fait.
– Je me souviens de deux policiers nous ayant arrêtés alors que nous défoncions la devanture d’une librairie marxiste, en 1968, mais qui ont pourtant témoigné en notre faveur devant le tribunal.
Alors, comme ça, pour le censeur péremptoire que vous êtes, ILS SONT ENCORE TROP NOMBREUX !
Il vous est apparemment impossible de comprendre que, des policiers.. des gendarmes… des surveillants de prison… IL Y EN AURA TOUJOURS !
Et que, ceci pris en compte, la politique de la chaise vide est la pire.
La pire, car cette chaise sera toujours occupée :
– Soit par ceux pour qui nous ne sommes pas l’ennemi prioritaire et qui feront contre nous le minimum… COMME C’EST LE CAS AUJOURD’HUI.
– Soit par nos pires ennemis, qui nous écraseront férocement en toute impunité, comme ils en sont capables.
Parmi les causes de démissions non répertoriées dans l’article ci-dessus, il y en a une, reflétant toute la sottise du monde : les imbéciles de notre camp qui traitent les agents de la force publique de « chiens du système ».
Combien de braves types, humiliés de se faire insulter par ceux dont ils partagent les angoisses, notamment concernant le déferlement migratoire, vont-ils quitter la police ou la gendarmerie ?
ET POUR LAISSER LA PLACE A QUI ? Si vous avez trente secondes de lucidité, posez-vous donc la question…
Monsieur Le Perlier,
Permettez-moi de vous le dire, vous vous trompez d’époque. Mon propre père, qui a été gendarme, notamment en Algérie au moment de ces mêmes événements que vous avez vécus, a lui aussi permis à un officier « Algérie française » d’échapper à un contrôle dans lequel il allait tomber. Ca se passait en 1961 ou 62, quand des Français se battaient pour l’Algérie française. Nous sommes en 2023 et nous nous battons pour que la France ne devienne pas algérienne.
Aujourd’hui, force est de constater que policiers et gendarmes sont contre nous. C’est un fait qu’ont pu constater et se voir confirmer tous les militants nationalistes qui se bougent (j’en parle en connaissance de cause pour en faire moi-même partie).
Monsieur X a raison. On n’a pas l’impression que ces fonctionnaires soient moins nombreux quand il s’agit de nous surveiller, de nous appréhender ou de nous questionner. On ne les sent pas démotivés ou démoralisés quand ils nous asticotent pendant les gardes-à-vue.
Par contre, c’est vrai qu’ils sont moins actifs – en tout cas il n’y a pas les mêmes résultats – quand il faudrait empêcher que la France devienne algérienne.
Aujourd’hui, les forces dites « de l’ordre » (il s’agit de l’ordre républicain et donc du maintien au pouvoir de nos gouvernants mondialistes, pas de la tranquillité ni de la sécurité des Français…) ont été purgées comme l’avait été l’armée après la guerre d’Algérie. De l’armée, on avait expulsé les éléments soupçonnés d’avoir des sentiments « Algérie française » ; dans la police on a pris des francs-macs pour devenir commissaires ou préfets.
Sans parler du gazage des poussettes et des jeunes filles qui se font éborgner en plein Paris tandis que les Antifas courent tranquilles.
D’ailleurs, les flics de manif et les antifas ont souvent la même tenue, jean basket, veste mili style Vietnam, cheveux longs, il n’y a guère que le brassard qui les distingue, côté comportement et langage, c’est du même bas (cas)niveau.
Moi, la première GAV, ils étaient six sur moi toute la journée (3 gendarmes et 3 flics), sans compter la psychiatre et le mec qui dépiautait mon PC ni le procureur qui couvrait l’opération.
lors de la deuxième GAV, ils n’étaient que 2, un pour la bio et une nana tatouée pour l’audition.
La psy était à la rigueur la plus normale de la bande, elle m’a dit que je n’étais pas fou, que c’était normal de voir des immigrés partout, non ce n’est pas de la paranoïa schizophrénique ni de la schizophrénie paranoïde ! Je lui ai dit merci.
Allez, je dois quand même dire que les flics ont eu la gentillesse de me ramener chez moi en voiture (banalisée) et ils m’avaient offert un café dans l’après-midi (et à manger le midi mais j’avais refusé, je m’attendais au pire, du temps de Maigret, j’aurais accepté, une baguette rillette, ça me va parfaitement, je n’aurais pas demandé mieux, mais là, une salade bio végan équitable nutriscore 1 sans sel sans gluten avec une fourchette en plastique, non merci).