Annecy s’engage dans la lutte contre la précarité menstruelle comme nulle autre ville française avant elle. Cette commune de Haute-Savoie a prévu d’installer dix distributeurs de tampons et serviettes bio et gratuits d’ici la fin du mois de février.
La France a connu des initiatives semblables, mais jusqu’ici elles étaient circonscrites à des établissements scolaires. A la mi-janvier, la région Ile-de-France a par exemple annoncé que des distributeurs de protections périodiques gratuites seraient installés au printemps dans les 465 lycées dont elle a la charge. Histoire que dès le lycée nos petites têtes blondes puissent, en toute insouciance et en suivant les diktats de cette société pornocrate, batifolées avec les petites têtes crépues. De quoi les former pour l’avenir, le métissage, et l’avortement. Après tout, le lycée, c’est fait pour apprendre ; apprendre le mode de vie républicain avant tout.
Annecy, 1ere ville de France à installer des distributeurs de protections périodiques !
Des protections sans parfum, sans produits toxiques, et biodégradable !#fier #annecy @francoisastorg #NousToutes @NousToutesOrg @osezlefeminisme pic.twitter.com/9NgTg82S68
— Guillaume Tatu (@GTatu) February 4, 2021
A Annecy, le projet est pensé à l’échelle de la ville. Les distributeurs seront non seulement installés sur le campus de l’université Savoie Mont-Blanc, mais aussi au Bureau d’information jeunesse ainsi que dans les locaux de la mission locale.
Les serviettes et tampons mis à disposition seront fournis par l’entreprise française Marguerite et Cie, dont les produits sont fabriqués à partir de coton biologique et certifié. En plus, c’est pour sauver le monde ; c’est quand même beau.
Interrogé par l’Essor savoyard, l’adjoint à la jeunesse, Guillaume Tatu, précise que la mesure répond «à un besoin exprimé par de nombreux jeunes en difficulté financière» mais peut également servir «pour du ‘dépannage’ ponctuel».
L’objectif affiché est de lutter contre la précarité menstruelle, qui concerne 1,7 millions de personnes en France, selon une étude menée en 2019 par l’Ifop, pour Dons Solidaires.
En pleine crise sanitaire et économique, c’est évidemment une priorité absolue. Plus qu’une mesure grotesque de plus pour notre société, c’est un signe extérieur d’hystérie ovarienne intérieure. J’ai du mal à imaginer le portrait robot de la personne à l’origine d’une si brillante idée, d’une telle révolution sociale. Quoique…
Source : cnews.fr
Pourquoi on leur refile pas des protections lavables ? Beaucoup plus rentable que des jetables.
Ca se fait en Afrique, puis vu le rapide changement démographique, faut s’adapter.
Mais au moins c’est du bio sans détergents, elles se crameront pas la chagatte, le temps de se faire engrosser et d’être tranquille quelques mois.
Avec l’autorisation d’avorter au 9e mois pas besoin de se presser.
Précarité menstruelle, sérieux… Comme d’hab rien pour les mecs, pas de distributeurs de capotes et de viagra dans les lycées.
« Pas de capotes et viagra dans les lycées « …
Écoute, toi! L’école est un lieu de travail, un sanctuaire, et PAS UN BORDEL ! A l’école il y a des gamines et des gamins envoyés par leurs parents à s’instruire, à bosser et pas à bai.er !!!
Il faut qu’on vous enferme dans un monastère pour vous faire apprendre les 7 péchés capitaux et les 7 vertus !
A cause des gens comme vous nôtre Grande Civilisation dégénère et s’effondre.
Je suppose que si vous avez une fille, avec l’éducation maison que vous lui offrez, elle est sûrement une PAN – une pute à nègre ou une PAM – une pute à maghrébin. Félicitations !
Je vous aime bien, Jeune Nation, mais en ce que concerne ce sujet vous êtes un peu intolérants. En tant que femme, je souhaiterais que un seul homme sur cette planète subisse des règles / des menstruations pendant un an – juste pour qu’il se rends comte de la forte incommodation journalière que nous subissons. Je suis viscéralement anti-feministe, mais cette action pour installer distributeurs des serviettes hygiéniques gratuites c’est l’unique chose que je l’approuve. La plupart des lycées ne sont pas équipés de caisiers où les filles pourront garder leurs serviettes hygiéniques. Et comme à leur âge les filles ne sont pas trop prévenantes et oublient leur » matériel de guerre » à la maison, ces distributeurs sont bienvenus. Il y aura certainement un autre problème: ces distributeurs seront dévalisés SYSTÉMATIQUEMENT par des africaines et des beurettes pour amener les serviettes à la maison, pour leurs mères, cousines….
On vous aime bien quand même aussi.
Casier et pas caissier. Désolé et je m’excuse !