Les Nationalistes dénoncent fermement la dissolution de Civitas. Celle-ci a été enclenchée à la suite d’une remarque anodine d’un invité de Civitas, Pierre Hillard, à l’université d’été du mouvement, au sujet du peuple juif. Il ne faisait que constater une évidence, que le peuple juif n’est pas le peuple français : un rabbin ne saurait que lui donner raison. C’est même pour cette raison, paraît-il, qu’a été créée l’entité sioniste.
Le ministère de l’intérieur a ensuite passé deux mois à éplucher les discours des cadres de Civitas pour relever, dans le décret de dissolution, le moindre propos politiquement incorrect. Le message qu’ils veulent faire passer est qu’on ne peut plus défendre les Français de souche et le catholicisme, observer qu’un chat est un chat et qu’un homme n’est pas une femme. Les pisse-copie de Beauvau, dans leur long bavardage de six pages, reprochent à Civitas d’avoir dit que Rothschild, en 2020, s’est pris en photo avec Marina Abramovic devant le tableau “Satan convoque ses légions”. Mais c’est un fait parfaitement exact que les intéressés ne nient même pas, et qu’ils affichent haut et fort ! Pourquoi le dire justifierait une dissolution de Civitas ?
La bêtise de ces politiciens est insondable. Ils ne se rendent pas compte qu’à force de nier le réel, celui-ci leur retombera immanquablement sur la tête. Cette succession de dissolutions-spectacles ne sont là que pour faire la publicité de Moussa Darmanin mais n’impressionne pas les militants qui continuent de toute façon à agir.
Soutien à Civitas, à ses dirigeants et à ses militants !
Dissolution totalement bidon de Civitas.
L’organisation est dirigé par des « » »prédicateurs » » » bibliques pas forcément Français et s’adresse à une minorité de catholique pas forcément en France donc les politi-chiens de la synagogue aboient et la caravane tradi passe.
Que ne ferait-on pas depuis le Décret Crémieux pour les beaux yeux d’Israel tout entier (je parle évidemment des juifs de cour).
Cette décision ne peut empecher depuis l’étranger de continuer le meme prosélytisme sauf maladresse ou pire la volonté de se dédiaboliser pour naivement complaire aux occupants du 44 rue de la victoire à Paris…
À mon avis , le Pouvoir cherchait un prétexte pour éliminer un groupe qui lui déplaisait depuis longtemps et il l’a trouvé.
Pierre Sidos m’a dit un jour qu’on est forcément extreme quelque chose quand le système ne vous aime pas…
Soyons comme lui extreme France!
Ou bien « complotistes » si on ne suit pas le socialo-tiquement correct.
Civitas va se pourvoir en justice , on ne dissout pas un parti politique de telle manière et l’Etat devrait être débouté , la dissolution annulée .
Vous êtes bien sûr de vous. Quelle confiance en la Justice de la République! Qui est elle même du même tonneau que les autres pourtant.
Bonjour,
Il faudrait quand même que les gens comprennent enfin que les politiques, les pouvoirs, les médias, en France, en particulier, ne peuvent indéfiniment ramener la France et même le monde aux convenances et aux exigences des tenants d’un supremacisme, via un groupe humain pris en otage , c’est là très insultant pour la raison, le bon sens et l’humain.
A quand la dissolution de la France insoumise, cent fois plus dangereuse que nos amis de Civitas.
Le Lumpenproletariat immigré représente 25 millions d’individus en France…
C’est un secteur de marché réservé à la gauche libérale libertaire qui tient de main de maitre le syndicat de la magistrature et la totalité « du monde associatif ».
Contrairement à la femme blanche Européenne…la diversité est féconde et les progressistes (façon de parler)bien pensant le savent.
Pendant ce temps là nous avons plein de bourgeois Maurassiens catho trad dans nos milieux remplissant nos bureaux politiques totalement incapable de coaguler la classe populaire blanche à la classe moyenne potentiellement révolutionnaire….
La réponse est méchante mais réaliste…
Tu me proposes quoi pour règler le problème??????????????
D’autant que Macron ne ferait pas de dissolution de l’AN, car si élections il y a pour les remplacer, alors il serait très minoritaire.
C’est écrit dans les prophéties. Les élites sataniques de nos sociétés occidentales éradiqueront presque tout ce qui est chrétien. Mais une petite minorité restera et résistera…
et nous finirons par triompher !
Les idées, la volonté restent.
Le combat va continuer de façon souterraine. Continuons à croire en Jésus. Peut-être trouverons-nous une autre façon de résister !
Merci à CIVITAS d’avoir défendu notre Chrétienté et notre Eglise, notre foi en Jésus, nos valeurs.
Ecoute poulette, soyons un peu sérieux, de toi à moi les prédicateurs bibliques dans nos milieux sont des boulets donc ton discours est contre productif..
Tu nous fais passer pour des dingues!!!!!!!!!!
La majorité des ouvriers classes populaires sont en horreur devant des gens comme vous.
Nous les petites gens on veut juste la justice sociale pour le labeur fournit et une France blanche et glorifiée pour nos enfants.
Je préfèrerai quand même que l’Archange Saint Michel, abatte son glaive sur le repère de la Bête à Davos. Je verrai bien le lac Léman disparaitre par enchantement, pour punir les Suisses de l’avoir hébergé depuis tant d’années.
On s’en fou de Davos!
Le Gouvernement mondial: C’est les entreprises occidentales gestionnaires de fonds type blackrock tenu par des grandes familles toutes connues depuis des lustres bénéficiant des largesses de la BRI à Bale.
Bale est la capitale de la banque centrale de toute les banques centrales… de facto c’est le pouvoir réel .
La bataille fait rage
Le combat que nos dirigeants se livrent en se prétendant tous appuyés par leur peuple, n’a pas de précédent et est un combat à outrance, c’est-à-dire à mort. D’un côté « l’occident », regroupé derrière les Etats-Unis et ayant récupéré les nations blanches colonisatrices d’Australie, d’Israël, de Nouvelle Zélande et de Singapour, ainsi que provisoirement la Corée du sud et le Japon, le tout au service de l’Atlantique nord au travers de l’OTAN. De l’autre tous les autres qui commencent à se regrouper dans les BRICS, stupéfaits de voir l’occident reprocher à la Russie de faire en Ukraine très exactement ce qu’il a déjà fait lui-même en Yougoslavie, en Irak et en Lybie. Et, comme souvent, nous regardons le doigt au lieu de regarder la lune que le doigt montre. Nos médias détaillent le doigt en occultant consciencieusement ce qu’il montre, c’est-à-dire le combat entre un monde incohérent qui se refuse à mourir en cherchant à être dictatorial et un autre qui se cherche et dont le seul point commun important est le refus de la dictature d’un occident moribond et le
respect de la recherche de chacun dans un monde multipolaire, c’est-à-dire respectueux voire curieux de la recherche des autres. En fait c’est la décomposition de l’occident qu’il faut analyser tellement tout en découle, nos dirigeants nous ayant mis, sans nous demander notre avis, dans le camp de ceux qui ont déjà perdu.
L’occident a complètement oublié que la vie n’est qu’échange entre les êtres, échange indispensable car personne ne peut tout faire, sauf l’ermite qui se contente de pas grand-chose. L’occident a, depuis la dernière guerre, cru possible un monde où l’échange n’était plus indispensable et où la manne divine était revenue sous forme de croissance économique et de création de richesses. Techniquement c’est évidemment très simple. Il suffit d’imprimer autant de billets de Monopoly que nécessaire et de faire croire qu’ils ont une vraie valeur, ce qui permet la poursuite apparente des échanges. Mais comme cette valeur est totalement inventée, contrairement à toutes les monnaies précédentes qui étaient toutes liées à une richesse déjà reconnue, il a fallu gagner la confiance du peuple pour qu’il croie à la valeur de sa monnaie. Cela a été fait de la pire des façons, en utilisant la faiblesse des peuples pour en faire des complices. L’argent magique a fait sauter tous les freins que la réalité mettait aux fantasmes populaires. Alors que l’humanité ne connaissait que le travail, le prêt sur gage et la générosité individuelle pour obtenir de l’argent, l’élite occidentale a inventé la subvention et le prêt sur travail futur pour inaugurer une prétendue démocratie où des
media subventionnés martèlent, à tous sujets, une vérité imposée à un peuple subventionné qui accepte d’y croire parce que ses fantasmes sont comblés. Vous n’aimez pas travailler ? Voilà vos week-ends, vos vacances qui augmentent et vos RTT en prime. Vous aimez posséder ?
Voilà ce qu’il vous faut pour acheter votre maison. Votre comportement est asocial et la société vous rejette ?
Nous allons définir votre comportement comme social, tout inverser et rendre asociaux tous ceux qui y résistent. L’argent magique achète les bulletins de vote comme les modes de vie. Il corrompt la jeunesse qui n’a pas connu autre chose et se caricature elle-même dans une malheureuse Greta Thunberg, icone fabriquée et sottement prétentieuse.
Comme la vie ne reste qu’échanges, l’occident cherche à faire payer son eldorado préfabriqué par tous les autres peuples et réinvente sous des formes discrètes mais efficaces, la colonisation voire l’esclavage de ceux qui travaillent vraiment, y compris dans ses propres peuples. Malheureusement pour nous que nos dirigeants, choisis par l’argent facile, ont mis dans le mauvais camp, et heureusement pour eux, une majorité d’humains, conscients de notre stupidité, se regroupent dans les BRICS avec deux seuls points communs : le refus de la bêtise occidentale et le respect du travail de chacun dans sa recherche de la société à reconstruire. Ils doivent d’ailleurs tous lutter chez eux contre l’invasion des « valeurs » occidentales que l’argent magique diffuse partout par l’internet apparemment gratuit et qui corrompent facilement et partout les rêveurs. Voir Emmanuel Macron cumuler dans une autosatisfaction incroyable, le « quoi qu’il en coûte », la réforme des retraites, l’appui financier à l’Union européenne et à l’Ukraine, avec sa demande évidemment rejetée d’assister à la réunion des BRICS, montre bien l’état de décomposition intellectuelle avancée du bonhomme et de, l’occident. Mais nous en sommes complices et personne ne semble se lever pour nous faire changer de camp, sortir d’un monde purement idéologique qui ne survit que par la
multiplication des obligations et des interdictions et qui nous désapprend à nous respecter. Nous n’avons que des partisans de tel ou tel détail comme l’immigration, l’emploi ou la violence, qui sont certes tous importants mais tous, une simple conséquence de l’argent facile tellement attirant. Si la France changeait de camp, sortait de l’Union européenne, de l’OTAN et de l’euro pour enfin réfléchir à un avenir cohérent, il faudrait commencer par arrêter les échanges immoraux. D’abord celui des subventions publiques et de la reconnaissance des minorités contre des bulletins de vote et non contre l’intérêt de la majorité. Cela ne peut s’arrêter que par l’arrêt du principe même des subventions. Une collectivité, quelle qu’elle soit, ne devrait pouvoir sous-traiter quelque activité que ce soit avec l’argent de ses contribuables, que si ses fonctionnaires ne peuvent l’exécuter et que si l’intérêt de leurs contribuables le demande. Ensuite l’échange immoral de la charité publique devrait disparaître. Faire la charité avec l’argent des autres est indéfendable. La charité ne peut être qu’individuelle avec son propre argent. Mais cela ne peut se faire que si l’on redécouvre que notre constitution voit le travail comme un devoir mais aussi comme un droit constitutionnel que scandaleusement le conseil constitutionnel ne fait pas respecter en s’en auto-justifiant comme souvent. Toute personne a droit au travail et ce droit imprescriptible n’a jamais trouvé le niveau de sa rémunération par l’État lorsqu’une personne n’a pas trouvé elle-même son travail. L’État préfère regarder ailleurs, dire que c’est le problème des entreprises et utiliser l’argent facile pour masquer son incompétence à recréer les ateliers nationaux, quelle qu’en soit la forme. Ces deux arrêts d’échanges immoraux nous mettraient immédiatement en face de nous-mêmes, résoudraient à une vitesse incroyable les problèmes de l’immigration, de l’emploi et de la violence, et nous forceraient à redécouvrir l’égalité dans la diversité de l’utilisation de chacun pour le bien commun appelé Commonwealth en anglais et république en latin. Mais ils mettraient aussi l’attelage politique, médiatique et universitaire devant son vide intellectuel actuel et sa soumission à l’argent facile. La
France pourrait alors s’en nettoyer et rentrer dans les BRICS. Et qui sait si elle ne redeviendrait pas, grâce à la multiplicité des talents qu’elle possède, le phare utile à beaucoup qu’elle a déjà été ?