Drames de l’invasion du 6 octobre 2016
Avignon : 2 envahisseurs algérien et marocain condamnés pour des fraudes sociales et des violences
Fateh Djabali, un Algérien âgé de 18 ans, et Youssef Derias, un Marocain âgé de 19 ans, ont été interpellés le 4 mai dernier, alors qu’ils venaient de commettre un vol à la roulotte dans un véhicule stationné sur le parking d’un centre commercial à Avignon. Ils ont été surpris en flagrant délit par le propriétaire du véhicule qui n’était autre que l’agent de sécurité en charge de la vidéosurveillance. Quelques minutes auparavant, les 2 racailles étrangères qui n’avaient pas appréciés d’être repoussées par 2 jeunes femmes qu’ils draguaient, les avaient aspergées de gaz lacrymogène ainsi que le bébé de 23 mois de l’une d’elles. L’enfant a été brûlé aux yeux et a eu un traumatisme crânien.
Ils ont été arrêtés, et malgré les fausses identités déclarées, les 2 voyous ont finis par être identifiés, l’un par les autorités marocaines et l’autre par sa mère qui a fourni un acte de naissance. L’enquête a démontré qu’ils avaient tous les deux fraudé le système d’aide sociale à l’enfance : Youssef Derias s’était présenté en Hongrie en qualité de Syrien et avait par ce biais obtenu indûment le statut de mineur étranger isolé en avril dernier auprès de l’Aide Sociale à l’Enfance du Vaucluse alors que Fateh Djabali a lui obtenu le statut en février dernier en fournissant de faux documents d’identité.
Lors de l’audience, la vice-procureur a fait observer qu’aucun d’eux n’est isolé familialement ou en état de danger. Elle a requis une peine de 2 ans de prison et l’interdiction définitive du territoire national à l’encontre de Fateh Djabali et 1 an de prison pour Youssef Derias (et pourquoi pas l’interdiction du territoire ?). Le tribunal a finalement condamné Fateh Djabali à la peine requise de deux ans et l’interdiction définitive du territoire national. En revanche Youssef Derias a écopé de 18 mois de prison mais pas d’interdiction du territoire…
Pas cher payé pour la fraude et le déchainement de violence contre une jeune femme et son bébé gravement blessé !
Achery : l’envahisseur marocain condamné à 15 ans pour viol sur mineure en réunion
Après 2 jours de procès en appel aux assises de l’Oise à Beauvais, Mustapha Oumaline, envahisseur marocain, a cette fois écopé de 15 années de réclusion criminelle et de l’interdiction du territoire français. Il avait été précédemment condamné en première instance, en mai 2015, à 14 ans de prison. Il était poursuivi pour un viol en réunion commis en 2007 à Achery sur une adolescente de 15 ans et demi.
Ensemble avec un autre envahisseur marocain, Brahim El Bahchach, sous le prétexte d’une soirée couscous, ils avaient attiré une adolescente de 15 ans au domicile d’El Bahchach, au cours de la nuit du 18 au 19 mai 2007 et l’auraient violée chacun leur tour, après lui avoir fait absorber une boisson dans laquelle de la drogue était diluée. Placé en garde à vue, Brahim El Bahchach a tout nié. Laissé en liberté, sous contrôle judiciaire, il a disparu depuis et fait l’objet d’un mandat d’arrêt. Quant à Mustapha Oumaline, il a fait de même et fermé son commerce au moment de l’enquête. Mais 5 ans plus tard, il est interpellé à l’aéroport d’Orly avec un billet d’avion pour Agadir, sa ville natale.
Comme au cours du premier procès, à Laon devant la cour d’assises de l’Aisne, l’ancien épicier de Saint-Quentin a nié l’acte qui lui était reproché, assurant n’avoir pas même été présent lors de cette soirée du 18 mai 2007 chez Brahim El Bahchach, condamné, lui, dans l’Aisne et en son absence, à 20 ans de prison. Il s’est défendu en évoquant un complot, une vengeance, sur fond de dette de boisson. Mustapha Oumaline aura ces derniers mots à l’adresse du tribunal : « Moi aussi, je suis une victime. Je suis innocent. »
Quiang N-C, le proxénète et trafiquant Chinois de cigarettes
Les juteuses « affaires » de Quiang N.-C ont subitement pris fin après son interpellation, en début de semaine dernière, par les enquêteurs du 2e district de police judiciaire (DPJ).
Quiang N.-C., un ressortissant chinois de 32 ans, a été mis en examen pour des faits de « proxénétisme », de « blanchiment » et de « contrebande de cigarettes » par un juge d’instruction parisien, avant d’être écroué.
Lancés sur sa piste depuis le mois de mai, après avoir recueilli un précieux renseignement le désignant comme un collecteur d’argent auprès de plusieurs compatriotes exerçant comme prostituées, les policiers du 2e DPJ l’ont longuement observé avant de l’arrêter.
Domicilié à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le suspect a été repéré alors qu’il prenait contact avec trois jeunes prostituées, contraintes de faire commerce de leurs charmes parmi les « marcheuses » de Belleville (XIXe).
« Les investigations ont démontré qu’il récupérait environ 5 % des gains de ces jeunes femmes avant d’envoyer cet argent vers la Chine, via des sociétés de transferts de fonds, confie une source proche de l’affaire. Il s’adonnait aussi au trafic de cigarettes de contrebande. »
Les enquêteurs estiment que le proxénète présumé a dégagé un bénéfice net de 15 € sur chaque cartouche revendue au sein de sa communauté.
Au cours de la perquisition de son domicile, les policiers ont mis la main sur 10 000 € en argent liquide, plus de 500 cartouches de cigarettes, quinze passeports dont huit étaient falsifiés et présentaient une photo du suspect sous différentes identités.
Dans la foulée, un complice présumé, employé dans une agence de transfert de fonds, a été interpellé avant d’être rapidement remis en liberté.
Quiang N.-C. a reconnu son implication avant de préciser qu’il collectait une partie des gains d’une quinzaine de prostituées. Le même homme a avoué que cette double « activité » de proxénète-trafiquant de cigarettes lui rapportait plus de 4 000 € par mois. Enfin, les enquêteurs ont établi qu’il avait transféré plus de 300 000 € vers la Chine depuis le mois d’avril.
Un voleur Marocain relâché samedi, interpellé dimanche…
Un « jeune » a été interpellé samedi matin après avoir volé un téléphone portable. Relâché dans la soirée, il a de nouveau été pris pour des mêmes faits, avec un complice, dans la nuit de samedi à dimanche. Il sera jugé cette semaine.
La succession des faits aura eu raison de la patience des enquêteurs et de la justice. La semaine dernière, un « jeune », se disant mineur et syrien, était interpellé par les policiers après avoir dérobé des téléphones portables. Remis en liberté, il est de nouveau interpellé samedi matin dans le secteur du boulevard des Alliés.
Lors de sa garde à vue, il indique avoir trouvé le téléphone portable par terre. Remis en liberté samedi soir, il a de nouveau été interpellé cette nuit dans le secteur du port. Avec un complice, il avait encore volé un téléphone portable. Les enquêteurs ont pu établir qu’il était majeur et marocain et non syrien comme il le prétendait.
Ahmed M., moniteur, écroué pour viols et tortures sur des handicapées
Ahmed M., ancien moniteur de l’établissement pour personnes handicapées Esat Toulouse-Lautrec, à Aulnay-sous-Bois, a été emprisonné ce week-end pour des viols, des actes de torture et de barbarie et des agressions sexuelles sur personnes vulnérables, commis d’octobre 2015 à mars 2016.
L’enquête avait été déclenchée en mars 2016, par l’établissement lui-même auprès du parquet de Bobigny. Il aura fallu quelques mois pour que le commissariat d’Aulnay soit saisi. Vu la gravité des faits, elle aurait pu être confiée à la Sûreté du 93, mais les policiers de la brigade de délégation et des enquêtes pénales (BDEP) du commissariat ont pris les investigations en main. Une dizaine de policiers ont travaillé sur cette enquête.
« Il faisait le fou au volant pour faire peur aux usagers » rapporte une source proche de l’affaire qui note que la plupart des agressions reprochées se seraient passées dans un camion. Onze victimes ont été recensées, toutes majeures, parfois âgées d’une quarantaine ou d’une cinquantaine d’années. Cinq viols avec des objets et deux agressions sexuelles ont notamment été établis, sévices doublés de torture, à en croire les blessures subies aux parties génitales par certains. Des accusations livrées sans preuve matérielle, les faits étant trop anciens pour être caractérisés par un médecin.
Pendant les deux jours qu’a duré sa garde à vue, l’ancien moniteur aurait nié les accusations « sans jamais perdre son sang-froid », renvoyant dos à dos les victimes entre elles. En clair, si elles avaient subi ce dont elles parlaient, lui n’y était pour rien.
Natif de Tunisie, il est arrivé en France en 2008 et vivait jusqu’à présent en concubinage à Paris. Ses précédents employeurs n’ont jamais eu à se plaindre de lui.
Les accusations seront désormais soumises à l’appréciation du juge d’instruction. L’enquête s’annonce complexe, du fait de l’absence de preuve matérielle et de la vulnérabilité des victimes.
Sofien, 21ème condamnation pour des violences
Un « Havrais de papier » de 22 ans écope d’une 21e mention à son casier judiciaire pour avoir frappé un autre « jeune » dans le bus.
Quand le juge lui demande ses activités en détention, Sofien, 22 ans et presque autant de condamnations, répond qu’il fait « de la musculation ». Un passe-temps peu rassurant à la lecture du casier judiciaire. Il a déjà été condamné à de multiples reprises pour des violences.
« Il faut pas toucher à ma famille ! » rugit le prévenu dans le box du tribunal correctionnel. Le 26 novembre dernier, entre deux séjours en détention, Sofien prend le bus, au Havre. Sur la caméra du transport en commun, on le voit d’un bond se lever de son siège, au fond du véhicule. Il rejoint un jeune homme. Celui-ci déclare que quelques mots sont marmonnés à son oreille. Il ne parvient pas à les déchiffrer.
Puis Sofien, capuche sur la tête, lui colle une claque. La victime aurait répliqué par un coup de poing. Les deux s’empoignent et finissent au sol. Le multirécidiviste poursuit ses violences.
Son adversaire s’en sort avec un traumatisme crânien sans perte de connaissance, des hématomes et des ecchymoses. Quelques jours auparavant, « il avait agressé mon petit frère », explique Sofien, décontracté. « Ça vous paraît tout à fait naturel de répondre ainsi », s’étonne le juge. « La violence est clairement le seul moyen chez monsieur pour régler les problèmes », abonde la procureure. « Heureusement que tout le monde ne raisonne pas comme lui ! »
« Je n’ai pas entamé la bagarre », relance-t-il, tout en avouant avoir le premier levé la main. « C’est bien, la musculation en prison. Mais vous n’avez pas envie de grandir un peu ? » fait remarquer le juge. Sofien ne réagit pas. Alors que son avocat plaide sa cause, il s’amuse à faire des gestes obscènes à deux amis assis dans le public. Malgré trois agents pénitentiaires qui l’entourent et qui ne bronchent pas.
Pour son comportement dans le bus, Sofien, déjà incarcéré pour une précédente condamnation, écope de trois mois de prison ferme supplémentaires. « Je prends un mandat de dépôt encore ! » s’exclame le Havrais. « Vous me condamnez à chaque fois pour rien. » C’est la vingt et unième mention à son casier.
Coup de feu entre « jeunes » de cité et Tchétchènes à Clermont-Ferrand
Après des caillassages à l’encontre des forces de police il y a dix jours, cette fois c’est un « jeune » qui a été blessé par un tir d’arme à feu lundi après-midi.
L’individu aurait reçu au moins une balle dans le pied en tout début d’après-midi lundi. Son pronostic vital ne serait pas engagé.
Il s’agirait d’un règlement de compte entre « jeunes » des quartiers et des individus d’origine tchétchène.
Ce week-end un « différend commercial » entre les jeunes et ces derniers avait fini par la blessure par arme blanche d’un ressortissant tchétchène.
Un homme , suspecté d’être l’auteur du ou des coups de feu, âgé de 26 ans a été interpellé par la police lundi dans l’après-midi. Il a été placé en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police.
Le quartier des Vergnes fait partie des quartiers sensibles de Clermont-Ferrand. Dimanche soir la police avait dû intervenir après des coups de feu nourris dans le quartier.
Il y a une dizaine de jours, des policiers avaient été pris à partie alors qu’ils intervenaient pour sécuriser le travail des pompiers appelés pour des feux de poubelles.
Après une belle saison 2014-2015 (18 000 décès), la grippe 2015-16 a été « modérée », malgré un vaccin « efficace à 30%, » precise le Dr Daniel Levy-Bruhl de l’agence nationale « Santé publique France » (ANSP).
http://www.doctissimo.fr/medicaments/news/La-vaccination-contre-la-grippe-repart-a-la-hausse