Les plumes tremblantes des grands journaux français ont révélé, avec une éclatante ironie, le naufrage d’un système médiatique aveuglé par ses propres certitudes. Lors de l’élection de Donald Trump, nos médiats ont donné un véritable spectacle de désinformation, un ballet insipide d’analyses biaisées et d’indignations pavloviennes, masquant mal une incapacité à comprendre le peuple américain et, plus grave encore, leur propre peuple.
Car ces éditorialistes de salon n’ont cessé de scruter l’Amérique avec la déférence de vassaux idéologiques, alignant leurs analyses sur les voix de CNN et du New York Times, incapables de questionner le modèle hégémonique qu’ils servent aveuglément. Pour eux, Trump n’était qu’une aberration, une parenthèse barbare à refermer d’urgence. Ce qu’ils ont refusé de voir, c’est la colère légitime d’une nation qui se révolte contre l’inauthenticité, contre le mépris des élites, contre les relents d’une mondialisation effrénée qui a érigé le consumérisme en valeur suprême.
Nos journalistes, enfermés dans leur tour d’ivoire, n’ont fait que rabâcher les arguments d’un establishment en pleine déroute, incapables de percevoir les fractures sociétales, les drames humains et les aspirations profondes qui ont porté Trump au pouvoir. Au lieu de se plonger dans le réel, ils ont choisi de peindre des caricatures, de réduire des millions d’Américains à des rednecks abrutis, fermant les yeux sur leur propre ignorance, leur propre incapacité à penser autrement que par le prisme du politiquement correct.
Ce plantage des médiats français est avant tout celui d’une élite médiatique déconnectée, plus soucieuse de ses intérêts que de la vérité. L’élection de Trump ne leur a pas seulement échappé : elle les a giflés, dévoilant les failles d’un système qui se nourrit de conformisme et de mépris. Si Trump est un danger pour eux, c’est précisément parce qu’il révèle ce que la majorité silencieuse du peuple américain veut : le respect du sentiment national, le refus de courber l’échine devant les minorités bruyantes, la fin d’un monde aseptisé.
En fin de compte, cette élection est un miroir tendu à notre société, révélant le fossé béant entre le peuple et ses faiseurs d’opinion.
Ils passent leur temps à se prendre des coups de Rangers dans la tronche , mais tant qu’ils se gavent de subventions en radotant la propagande d’état ,rien ne les atteint . Les journalistes sont là pour LIRE les infos et c’est tout ,on ne leur demande pas leur avis sur quoi que ce soit .
Tous ces « experts » en tout et n’importe quoi sont à éliminer du paysage public.
Trump a parlé de les envoyer en taule ,ce serait un moindre mal .
Le 4em pouvoir est à purger de toute urgence en France .
Ancien journaliste d’investigation à « Minute », ayant vu disparaitre pratiquement tous les titres nationalistes, je récuse le terme de « 4ème pouvoir » qui serait, selon vous, le pouvoir médiatique.
C’est confondre les putes et leurs proxénètes !
Depuis quand les putes écartant leurs fesses sur commande ont-elles le pouvoir ?
Il n’y a pas de pouvoir médiatique, mais un outil médiatique totalement contrôlé et instrumentalisé par ceux qui y ont investi des millions, voire des milliards à l’échelle de la planète.
La majorité des prétendus journalistes « bien pensants » sont totalement corrompus par ceux qui garnissent leurs mangeoires.
Quoi de plus méprisable, à titre d’exemple, que le titre « LIBERATION », vaillant média « anticapitaliste », dont, un certain 20 janvier 2005, les putes journaleuses ne furent pas le moins du monde gênées d’admettre être « tombées sous le charme d’un Rothschild », comme on pouvait alors le lire dans la presse ?
IL N’EXISTE PAS DE POUVOIR DE LA PRESSE, MAIS UN POUVOIR D’ACHETER LA PRESSE.
CE DONT NOS ADVERSAIRES NE SE PRIVENT PAS !
Trump, bien que villipendé, systématiquement, par les »Gazetiers » de l’Hexagone et autres »Experts » de tous bords, a remporté une victoire écrasante !
A t’on entendu ce »Journalisme de pacotille », faire acte de repentance ?
Non !
Ce résultat tend à accréditer la thèse que le scrutin de 2020 était contestable.
Quel Journaliste s’est interrogé, publiquement, depuis le 5 Novembre 2024 ?
Question !
1 / Le 6 Janvier 2021, des éléments »Disparates » (cela rime avec Démocrates) figuraient-ils en tête du cortège…afin d’ouvrir la voie aux manifestants Républicains ?
2 / Pourquoi, ce jour là, aucun cordon de Policiers, ne ceinturait le Capitole ?
Attribuer aux journalistes des grands médiats des erreurs de diagnostic c’est leur trouver des excuses.
Ces journalistes n’ont aucun visage. C’est volontairement qu’ils ont menti sur tout, suivant en cela les directives des grands chefs (drahi, pineau, niel, pigasse, arnault, bouygues, ernote, france info, france inter, Fr2 et fr3, la 5 et arte, etc.etc…)
Il fallait voir Pujadas expliquer la veille que TRUMP avait dit qu’il n’y aurait plus d’élection après lui et que ç’était la preuve qu’il annonçait une dictature éternelle aux USA. Il était appuyé bien entendu par un aéropage d’experts divers et convaincus.
Les journalop français ne méritent même plus qu’on parle d’eux.
à l’exception bien entendu d’un petit nombre.