Dans la première circonscription de l’Oise, l’élection législative partielle pour remplacer Olivier Dassault décédé en mars dernier aura lieu le 30 mai et le 6 juin 2021. Le Parti de la France présente une candidature en la personne de son président, Thomas Joly.
1. Vous vous êtes donc déclaré candidat à la succession d’Olivier Dassault, qu’attendez-vous de cette élection ?
Une élection législative, même partielle, est une élection nationale et permet de faire connaître aux Français notre projet de redressement national, identitaire et populaire. C’est un moyen – et non une fin – pour faire connaître nos idées au plus grand nombre. Face à des candidats du Système, j’incarnerai une alternative de droite nationale. Et je suis d’autant plus légitime à concourir à cette élection puisqu’il s’agit de la circonscription où j’habite et où je me présente pour la quatrième fois.
2. La tyrannie sanitaire et la montée des revendications communautaires semblent avoir rebattu les cartes du jeu politique. Il n’y a vraisemblablement plus aucune opposition en France, que ce soit sur le plan de la défense des libertés ou plus largement sur les thèmes historiques de la droite nationale. Pensez-vous pouvoir tirer profit de ce climat délétère ?
Il serait salutaire que les Français, et en particulier les électeurs de ma circonscription, trouvent la lucidité de plébisciter ma candidature tant le projet que je défends n’est plus porté par personne d’autre. Mon slogan de campagne est simple : « Ni dictature sanitaire, ni colonisation migratoire ! » Cela résume très bien les deux priorités vitales pour notre peuple : refuser l’instauration permanente d’un contrôle de type soviétique sous prétexte sanitaire ainsi que notre propre disparition physique au profit d’envahisseurs afro-musulmans. Cette accélération foudroyante du projet cosmopolite doit être dénoncée et combattue par tous les moyens à notre disposition, il en va de la survie de notre civilisation. Nos compatriotes doivent comprendre que nos gouvernants n’ont aucune intention de revenir en arrière : tant sur la colonisation migratoire que sur la folie hygiéniste et orwellienne de surveillance de la population autochtone. Et concernant le retour de nos libertés, le Parti de la France va encore plus loin puisque, comme je l’ai déjà dit, la première mesure que nous prendrions si nous accédions au pouvoir serait la suppression de toutes les lois scélérates qui entravent la liberté d’expression des Français.
3. Les reniements successifs du Rassemblement National et de sa présidente vous semblent-ils de nature à susciter une démarche électorale alternative à sa troisième candidature aux élections présidentielles ?
Marine Le Pen n’incarne plus aucun espoir pour le peuple français. Cette calamiteuse bonne femme a ruiné son parti, liquidé son programme historique, en a viré son père comme un malpropre et ses prestations médiatiques sont de pire en pire. Elle représente le néant politique, elle ne tient encore debout que grâce à la volonté du Système de l’utiliser comme le faire-valoir de son champion interchangeable à l’infini. Voilà pourquoi une candidature alternative serait une divine surprise dans cette élection présidentielle. Je ne parle pas d’une candidature de témoignage de droite nationale – qui de toute façon, en l’état actuel des choses, serait dans l’impossibilité de réunir les 500 parrainages d’élus nécessaires – mais d’une candidature qui pourrait bouleverser le scénario d’une pseudo-revanche entre Macron et la mémère à chats. Je sais bien que le nom de Zemmour va faire pousser des cris d’orfraie à certains lecteurs de Jeune Nation mais nous sommes dans une telle situation d’urgence qu’il faut savoir utiliser toutes les armes à notre disposition. Qu’il soit sincère ou non – et moi je le crois – la diffusion par Eric Zemmour à l’échelle nationale d’une grande partie de nos idées, même sur des sujets sulfureux, ne peut être que bénéfique pour une révolution des esprits et un réveil salutaire de nos compatriotes. Il ne faut pas, sous prétexte de radicalité ou de je-ne-sais quelle posture esthétique, se priver de cette possibilité.
Comme à notre habitude, nous vous laissons le mot de la fin.
Le déclin, la décadence et, au final, la disparition de notre civilisation ne sont pas inéluctables. Encore faut-il pour cela ne pas être des spectateurs aigris et entrer soi-même dans la bataille. J’estime qu’il ne faut pas opposer les moyens d’action, qu’ils soient électoraux, associatifs, culturels, spirituels, intellectuels, physiques ou que sais-je encore. Il faut trouver les ressources en nous-mêmes pour mener ce combat qui sera celui de notre vie, de notre génération. Quelle France voulons-nous laisser à nos enfants ? Un bidonville africain sous contrôle islamo-mafieux ou la France éternelle que nous ont légué nos ancêtres ? Alors retroussons-nous les manches et, tous ensemble, donnons-nous les moyens de remporter la victoire ! Haut les cœurs !
La rédaction de Jeune Nation vous remercie pour cet entretien. Nous vous souhaitons le meilleur succès possible pour ces élections et invitons nos lecteurs qui habitent dans cette circonscription à voter massivement pour Thomas Joly.
Site de Thomas Joly : http://www.thomasjoly.fr/
Site du Parti de la France : https://www.parti-de-la-france.fr/
Bravo et bonne chance pour cette élection.
Il nous faut un second tour aux présidentielles sans candidats du camp républicain; une Marine LE PEN avec un général, un prince ou un intellectuel de la vraie droite (nationaliste, monarchiste) de l’envergure d’Éric ZEMMOUR.
Comme vous le dites fort bien, le combat juste et sincère compte bien davantage qu’une victoire illusoire sur un malentendu.
Notre millier de parlementaire a un seul réel pouvoir, leur pouvoir d’achat au dépend de leurs électeurs. Celui-ci leur est si cher qu’ils sont prêts à toutes les gesticulations les plus pathétiques et viles, sur fond de trahisons et manipulations, y compris celles de cautionner l’incarcération progressive et totale des Français avant de les remplacer.
Cette obsession d’un homme nouveau, faisant table rase du passé, née dans la TERREUR républicaine, matrice des totaliratismes.