« Ce pays n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis 20 siècles par les races dont le sang coule dans nos veines », Charles Maurras.
Depuis l’épidémie de Covid-1984 marquée par une baisse, le recours à l’avortement poursuit sa hausse. Les 25-29 ans sont particulièrement concernées. Et le taux d’avortement atteint en 2023 son plus haut niveau depuis 30 ans…
Une nouvelle étude de la Drees (service de statistique du ministère de la Santé) vient de publier une photographie instantanée de l’avortement en France : 243 600 avortements ont ainsi été réalisées l’année dernière. C’est 8600 de plus qu’en 2022, soit 16,8 IVG pour 1000 femmes en âge de procréer (contre 16,2 ‰ en 2022).
Le ratio d’avortement (rapport entre le nombre d’IVG et le nombre de naissances vivantes une année donnée) a également augmenté, atteignant 0,34 (+0,03 par rapport à 2022). En d’autres termes, pour 100 naissances, il y a eu 34 avortements en 2023. Une hausse que les chercheurs expliquent par « la baisse du nombre des naissances , d’une part, et la hausse du nombre des IVG, d’autre part ».
Avant mars 2022, il n’était possible d’avorter en France que jusqu’à la fin de la 12e semaine de grossesse. Depuis cette date, le gouvernement a allongé de deux semaines le délai. Mais selon les auteurs de l’étude, cela « ne suffit pas à expliquer cette augmentation » du nombre de vie supprimées « médicalement ». En effet, les avortements réalisés entre la 14e et la 16e semaine d’aménorrhée représentent une part minoritaire de la hausse (2900 sur 8600 d’IVG supplémentaires). La majorité sont pratiquées à un stade plus précoce, entre 5 et 9 semaines d’aménorrhée.
Le taux de recours à l’IVG a augmenté dans toutes les classes d’âges, mais le plus élevé s’observe chez les 25-29 ans (près de 30 avortements pour 1000 femmes). Il atteint même un record historique, jamais atteint ces trente dernières années. Idem pour les 30-34 ans et les 35-39 ans.
Il est même à un haut niveau également chez les mineurs : « 5,3 pour 1000 » (le record datant de 2006 avec 11,5 pour 1000).
Et face à cela, des populations venues d’ailleurs nous remplacent à une vitesse fulgurante, du fait de politiques immigrationnistes fanatiques. Il est de notre devoir de fonder des familles blanches et chrétiennes et de promouvoir une politique allant dans ce sens, la famille étant le fondement nécessaire de la société ; sans enfants, notre population déjà vieillissante finira totalement de s’éteindre.
Nous avons tendance à considérer que le problème réside dans l’immigration, mortelle, et bien-sûr aussi dans l’idéologie de gauche, mortifère, qui nous gouverne sans discontinuer.
Nous ne voyons pas que ce problème hier encore dramatique de l’avortement – aujourd’hui tragique – sanctionne un problème plus grave encore : les Français de souche ont cessé de se battre et ne veulent plus se battre. Ils ont évacué toute responsabilité collective, toute sensibilité nationale.
Le problème, C’EST LES FRANCAIS, qui ne valent plus rien et qui – il faut bien le dire en toute objectivité – ne méritent plus que de crever.
Le combat que nous menons a-t-il encore un sens ? Vaut-il encore la peine d’être mené ?