Cette année est celle d’un anniversaire, celui des 50 ans du vote de la loi Veil, qui légalisa la pratique de l’avortement, autrement nommé interruption volontaire de grossesse. À l’heure des 50 ans de la loi Veil, il est temps d’en dresser le bilan.
Comme le rappelle Yvan Benedetti, ce crime contre l’enfant à naître, assassiné dans le ventre maternel, est aussi un crime contre la nation qui est privée de nouveaux membres.
L’avortement est la conséquence d’une vision matérialiste et individualiste.
Matérialiste, car cette vision nie l’existence de l’âme et considère les fœtus humains comme de simples « amas de cellules » et le droit à la vie, si sacré pour les démocraties, est soudainement mis de côté.
Dans ce genre de société, l’hédonisme qui promeut la jouissance avant tout, le spirituel est mis de côté, au profit des plaisirs immédiats et éphémères constituant le terreau de la dégénérescence sociétale.
Individualiste, car cette vision met les intérêts particuliers au-dessus du bien commun. La société qui en découle est atomisée, avec des individus qui préfèrent jouir individuellement plutôt que de participer à l’effort collectif. L’un de ses efforts, nécessaire et même vital pour la nation, est la participation à la natalité. Or faire des enfants est synonyme de limites voire de sacrifices sur les plaisirs directs et éphémères. Mais cela reste un beau sacrifice comme dirait Vincent Reynouard.
Une société qui met sur un piédestal les jouissances éphémères et les bien-êtres particuliers, tandis qu’elle délaisse l’intérêt supérieur, ne peut pas avoir une natalité forte.
En 50 ans, l’avortement a fait 12 millions de victimes en France.
Les statistiques ethniques étant interdites en France, il n’est guère possible d’avoir les chiffres exacts sur la part que représentent les femmes blanches par rapport au total de femmes avortés. Il est cependant possible de faire des comparaisons avec les États-Unis qui autorisent les statistiques ethniques. Au début les femmes qui avaient recours à l’avortement étaient majoritairement de race blanche. Avec les années le taux des femmes d’autres races a augmenté, réduisant l’écart.
Si on prend la moitié des 12 millions, ce serait donc 6 millions de blancs dont la France a été privée. C’est donc un hiver démographique qui, couplé à l’explosion démographique du tiers-monde, contribue à la submersion migratoire du monde blanc. Tout ceci ayant été expliqué et exposé de manière brillante par Jean Marie Le Pen, il y a plusieurs décennies de cela.
Au vu de ce bilan, il y a une question. Que faire ?
Tout d’abord, prendre conscience que le péril migratoire n’est qu’une des conséquences de l’avortement de masse et qu’il est donc nécessaire de remettre en question cause l’ère républicaine mortifère pour lui préférer un régime nationaliste et socialiste promouvant le travail digne et la famille qui est à la base de la société.
Qui Vive ? France !
La loi Veil a 50 ans !
Ignace pic.twitter.com/0bQgUMIRfY— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) January 25, 2025