Sommaire :
France
- Le racisme biologique de Carla Bruni contre le « vieux sang pourri » des Français
- 96 % des envahisseurs déboutés du droit d’asile ne sont pas expulsés !
- Karim condamné pour règlement de comptes entre des « jeunes » de quartier
- Un Camerounais auteur d’escroqueries et de recels: 15 mois de prison
- V, Samir.C, Mehdi, multirécidivistes: agression et vol à Lille
- Un gang de cambrioleurs Chiliens interpellé : 20 cambriolages de stations-service
- Vers la fin du Rassemblement bleu Marine
Etranger
Europe
- Italie : des habitants érigent une barricade contre l’arrivée d’envahisseurs
- Allemagne : un gang d’envahisseurs africains agresse sexuellement 2 femmes
Monde
- États-Unis : la Cour suprême tranchera la « bataille des toilettes » pour les déviants « transgenres »
- Canada : un arrondissement de Montréal tente d’empêcher l’ouverture d’une synagogue par referendum
Vidéo
- Méridien Zéro – La Phalange Espagnole vidéo 2/3
Agenda
- 6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
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France
Le racisme biologique de Carla Bruni contre le « vieux sang pourri » des Français
Dans son ouvrage, « La cause du peuple », Patrick Buisson fait état d’une discussion qui se serait tenue le 26 avril 2008, lors d’un dîner autour de Carla Bruni et Nicolas Sarkozy, en présence de l’idéologue Bernard Kouchner, de la journaliste de gauche Christine Okrent, de Jean Reno et sa compagne. Et à propos d’une discussion évoquant le film « Bienvenue chez les Ch’tis », Carla Bruni se lâche :
« Habituée à être le centre du motif, l’épouse du président crut devoir enrichir sa contribution au débat : si les Français en général manifestaient une déplorable et fâcheuse tendance à l’entre-soi et au repliement frileux, c’était le huis clos de l’endogamie qu’il fallait, d’après elle, incriminer, ce « vieux sang pourri » qui ne se renouvelait pas et, pis encore, refusait de se renouveler. La régénération viendrait de l’apport de sang neuf des populations immigrées, évidence dont il ne fallait pas douter et que l’on devait acclimater, à toute force, dans la tête du retardé global qu’était le prolétaire hexagonal. »
Un aveu de racisme biologique d’une rare violence affirmant clairement la nécessité de la disparition par métissage de ce vieux peuple français, à tout le moins ceux qui peuvent dire « mes ancêtres les Gaulois ». Ce qui n’est pas le cas de cette juive (par son père) qui n’a pas hésité à faire circoncire son premier enfant (né en 2001 d’une relation avec le philosophe Raphaël Enthoven) et qui ne cache pas « être folle d’Israël ». Néanmoins, on doute qu’elle professe la même haine de l’endogamie à base confessionnelle ou biologique lorsqu’il s’agit de sa communauté ou de l’État juif dont elle est folle…
Et en France, le scandale des propos de Carla Bruni se double de deux autres. D’une part le silence médiatique lourd et pesant sur ce racisme qui devrait logiquement faire la Une des journaux télévisés, radios et papiers. Et d’autre part celui des officines de l’antiracisme, Crif, Licra, Uejf, etc. dont on attend encore les réactions d’indignation et de condamnation…
On mesure là le degré de soumission de toute une oligarchie politico-médiatique au judaïsme politique. Mais il n’y a pas loin du Capitole à la roche Tarpéïenne…
96 % des envahisseurs déboutés du droit d’asile ne sont pas expulsés !
La cour des comptes a publié le 18 octobre dernier un rapport sur la politique d’asile en France. Selon la Cour la politique de l’asile est tellement mal « maîtrisée » que « in fine plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France », affirme le rapport qui insiste également sur la nécessité « d’accélérer le traitement des dossiers ».
La France, qui n’est plus depuis quelques années le premier pays d’arrivée des envahisseurs réclamant l’asile, ne parvient pas malgré tout à mettre en œuvre le droit d’asile de manière efficace et conforme aux droits des demandeurs, en raison notamment de délais de procédure trop longs. Pour la Cour, réduire les délais de traitement des dossiers serait une priorité qui aiderait à régler « une grande partie des problèmes » que connaît le système en France. En effet, actuellement, la France se distingue par une procédure d’instruction très longue, de 2 ans en moyenne. Évidemment cette durée excessive entraîne des surcoûts en matière d’allocations et d’hébergement, puisqu’elle a tendance à saturer le dispositif, y compris au détriment des structures d’hébergement ayant vocation à accueillir d’autres publics. De plus, elle ne facilite pas l’expulsion des envahisseurs dont la demande est rejetée. En effet certains, dans ce long intervalle de temps, ont parfois scolarisé leurs enfants ou contracter une union (Pacs ou mariage) c’est-à-dire des situations nouvelles freinant encore leur départ…
Ce qui préoccupe encore la Cour des comptes, en plus des longs délais de traitement, c’est que la France se distingue également par un taux très élevé de rejet des demandes, autour de 74 %. Et la conséquence de toute cette anarchie administrative est évidente : la France a un des taux les plus faible de mise en œuvre des mesures d’expulsion, ces dernières étant d’autant plus difficiles à exécuter que l’instruction a duré longtemps et que le suivi des demandeurs est défaillant. Avec 96 % des déboutés du statut de réfugié qui ne sont pas expulsés, autant dire que cette procédure mobilisant de nombreux fonctionnaires ne sert donc strictement à rien !
Des défaillances massives et manifestes qui laissent libre-champ à un maximum d’envahisseurs sur notre sol.
Karim condamné pour règlement de comptes entre des « jeunes » de quartier
Le 4 décembre 2013, un « jeune » est agressé dans le quartier du Chemin-Bas-d’Avignon à Nîmes par une bande du quartier Sabatot de Saint-Gilles. Des amis de la victime estiment que l’affaire ne peut pas en rester là et décident de se venger le jour même en se rendant à Saint-Gilles.
En début d’après-midi, ce 4 décembre 2013, Ichem, un agent municipal de la ville de Saint-Gilles, est tranquillement installé en terrasse d’un café de sa commune. Soudain, il voit sortir d’une voiture quatre hommes cagoulés et armés de bâtons, de battes de baseball et, pour l’un, d’un arrache carotte ! Le groupe avance et l’un des quatre hommes lance en regardant Ichem : « C’est lui ! »
L’agent municipal, comprend que les visiteurs ne lui veulent pas du bien et prend la fuite en courant, direction le commissariat. Les quatre hommes du Chemin-Bas le poursuivent. A hauteur du poste de police, Ichem tape à la porte mais personne n’ouvre. Ses poursuivants lui tombent dessus et le rouent de coups de poing et de pied. Alertés par des témoins de la scène, les policiers arrivent et interpelleront l’un des quatre agresseurs, Karim. Ils retrouveront aussi l’arrache carotte qui permettra de prélever l’ADN de Nadir. Ces deux « chances pour la France » d’une vingtaine d’années étaient jugés cette semaine devant le tribunal correctionnel de Nîmes mais Karim a préféré ne pas faire le déplacement. Nadir est donc seul dans le box et il nie les faits : « J’y suis pour rien dans cette histoire. Je ne suis même pas du Chemin-Bas. Je suis du Mas de Mingue. Je ne connais personne. »
Alors, par hasard, quelqu’un a pris votre ADN pour le mettre à l’endroit où la victime a été frappée, s’étonne le président Jean-Pierre Bandiera. « Non mais j’ai travaillé dans une entreprise de nettoyage. J’ai débarrassé plein de bâtiments un peu partout en Languedoc-Roussillon. C’est peut-être pour ça qu’on a retrouvé mon ADN mais Monsieur le juge, si c’était moi, j’aurai avoué. J’ai toujours avoué », indique Nadir qui compte 9 condamnations sur son casier judiciaire.
Estimant que la seule présence de l’ADN ne pouvait pas suffire à le condamner, le tribunal a relaxé Nadir au bénéfice du doute. Karim, en revanche, arrêté sur les lieux, a été condamné à 9 mois de prison et il devra verser 3 000€ au pauvre Ichem qui, on l’a appris à l’audience, a été confondu par les agresseurs du Chemin-Bas avec son cousin.
Un Camerounais auteur d’escroqueries et de recels: 15 mois de prison
Il s’appelle Achille, mais a agi sous le nom usurpé de Nouhoune. Ce Camerounais de 31 ans, domicilié à Mérignac (Gironde), a fait appel d’une condamnation à un total de 15 mois de prison ferme prononcée à Blois, le 29 mars dernier. Il lui est reproché des escroqueries et des recels commis à Vendôme et Lesneven (Finistère) au préjudice de banques et de professionnels.
C’est une banque de Vendôme qui la première dépose plainte pour des faits d’escroquerie : le 18 octobre 2013, un certain Nouhoune demande un transfert de compte sur l’agence de Vendôme suite à un déménagement. Le 25 octobre 2013, il demande un virement au bénéfice d’une bijouterie de Vendôme, puis retire 500 € en présentant des papiers au nom de Nouhoune ainsi qu’une facture EDF dont le numéro ne correspond pas au nom. Le 30 octobre suivant, la banque de Vendôme est avisée par le commissariat du XIVe à Paris que Nouhoune, le vrai, a déposé plainte. Un filou lui a volé sa carte d’identité quelques mois plus tôt et opéré un transfert frauduleux de son compte vers Vendôme. Une vidéo de surveillance montre son passage les 18 et 25 octobre dans l’agence bancaire vendômoise.
Les investigations établissent que le mis en cause a acheté à la bijouterie une bague échangée contre un bracelet, une paire de boucles d’oreilles et des chaînes de cou. Sa concubine, lors de la garde à vue, assure « ne jamais avoir reçu de bijoux. »Le responsable d’une autre banque de Vendôme dépose plainte à son tour pour ouverture frauduleuse d’un compte au nom de Nouhoune sur lequel 900 € ont été déposés. La banque déplore un chèque de 9 000 € impayé et des achats par carte bancaire pour 1 471,62 €. Là encore, Achille a sévi sous le nom de Nouhoune. Reconnaissant les faits, il déclare avoir agi à la demande d’un cousin prénommé Pito. Il met en avant des difficultés financières.
Achille fait appel car il estime avoir été « dupé dans cette affaire » et reproche à son cousin d’être à la fois instigateur et bénéficiaire des escroqueries.
L’avocat général, Françoise Remery a requis 12 mois d’emprisonnement dont quatre avec sursis, mise à l’épreuve avec obligation d’indemniser les victimes, ainsi que trois mois pour prise de nom d’un tiers. Elle demande son maintien en détention.
La cour confirme les trois mois pour faits de prise de nom d’un tiers et sur les autres chefs d’escroquerie et de recel le condamne à 12 mois dont quatre avec sursis, mise à l’épreuve 18 mois avec obligation de réparer. Elle le maintient en détention
Onur.V, Samir.C, Mehdi, multirécidivistes: agression et vol à Lille
Trois « jeunes » ont été déférés lundi en comparution immédiate pour le vol d’un téléphone portable avec violences, dans le quartier Masséna-Solférino, jeudi soir dernier. Ils ont demandé un délai pour préparer leur défense et seront jugés le 14 novembre.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, des policiers en patrouille tombent sur une scène insolite, à l’angle des rues Jean-Sans-Peur et Deconynck, en plein quartier Masséna-Solférino : une 206 traîne un jeune homme qui a une main dans l’habitacle…
Un gang de cambrioleurs Chiliens interpellé : 20 cambriolages de stations-service
Le gang des voltigeurs chiliens vient d’être démantelé par la cellule anti-cambriolage de la sûreté territoriale du Val-de-Marne.
Ces neuf hommes, dont six ont été déférés vendredi matin au parquet de Créteil et sont suspectés d’avoir organisé des casses dans 20 stations-service Total de France. 118 000 € se sont ainsi volatilisés en pleine nuit dans ces opérations soigneusement préparées.
L’enquête débute en juillet dernier quand, au petit matin, les responsables d’une station-service d’Arcueil découvrent l’incroyable vol avec effraction dont ils viennent d’être victimes. Un homme est parvenu à monter sur le toit pour s’introduire dans une des salles sans déclencher le système d’alarme. Il casse ensuite le mur où, de l’autre côté, se trouve le coffre-fort. Dehors, les guetteurs s’assurent que les forces de l’ordre ne traînent pas dans les parages. L’opération commando est tellement réussie qu’elle est renouvelée dans toute la France. A Meaux (Seine-et-Marne) ou au Plessis-Belleville ou à Creil (Oise) mais aussi à Cannes ou à Cagnes-sur-Mer. « Le butin était variable, précise un policier. Cela allait de 250 € à 70 000 €. »
C’est la station-service de Pierrefitte (Seine-Saint-Denis), quelques semaines après celle d’Arcueil, qui causera la perte des voltigeurs. Repérés, les membres du gang prennent la fuite. L’un d’eux est interpellé. L’homme est peu bavard mais les policiers ont un os à ronger. Ils localisent les autres membres du gang. Ils sont interpellés lundi dans deux pavillons au Bourget et au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). L’intellectuel, qui fournissait également les faux papiers, sera, lui, arrêté à Brétigny (Essonne).
Agés d’une trentaine d’années, ces Chiliens venaient pour la plupart de la capitale, Santiago. «Ce gang travaillait à l’international, confie un enquêteur. Ils étaient connus en Espagne et en Allemagne. Chez eux, on a retrouvé des devises croates et marocaines. Certains membres ont avoué qu’ils avaient déjà monté des opérations de ce type en Italie». En garde à vue, ils ont soutenu qu’ils s’étaient rencontrés en France où ils étaient venus «faire la fête».
Vers la fin du Rassemblement bleu Marine
Seul parti allié au Front national, le Siel devrait annoncer d’ici samedi son retrait du RBM. Confirmant l’échec d’une structure censée désenclaver le FN.
Le parti de la Le Pen pouvait compter sur le soutien de Souveraineté, identité et libertés (Siel), un tout petit mouvement ultra libéral, membre du Rassemblement bleu Marine (RBM). Selon toute vraisemblance, cet attelage ne devrait pas passer le week-end : dans un entretien à l’hebdomadaire Minute, le président du Siel, Karim Ouchikh –on a vu mieux pour représenter les français !- , se livre à une virulente critique du FN, évoquant des «désaccords idéologiques», et un «rapport indigent à la politique». Réuni samedi, le comité directeur du Siel devrait officialiser le divorce entre les deux mouvements.
«Mon état d’esprit est plutôt de quitter le RBM, confirme Karim Ouchikh. Le bilan de cette expérience de quatre ans est tout sauf positif. Le but du Siel était d’élargir à droite la base de Marine Le Pen, mais cette perspective s’éloigne de plus en plus, et je préfère en tirer les conséquences.» L’homme assure tout de même maintenir son soutien à Marine Le Pen pour la présidentielle de 2017, mais entend désormais se tourner vers la «droite hors les murs».
Entre désintérêt et caporalisme, le FN n’a jamais semblé prendre au sérieux sa promesse initiale. «Il n’y a au sein du RBM aucune réunion, aucun échange, déplore Karim Ouchikh. C’est extrêmement éprouvant et frustrant. Au fond, le FN ne veut pas d’alliés, il ne veut que des ralliés.» Le parti compte dans ses rangs la vieille tante Renaud Camus, qui s’est approprié l’expression «grand remplacement». En début d’année, Marine Le Pen avait déjà proscrit la double appartenance FN-Siel.
Etranger
Europe
Italie : des habitants érigent une barricade contre l’arrivée d’envahisseurs
Apprenant que 12 demandeuses d’asile et leurs enfants étaient sur le point d’arriver pour être logés dans leur village, quelques dizaines d’habitants de Gorino ont bloqué la route et obtenu gain de cause. En effet le 24 octobre dernier, le bruit a couru que, sur ordre du préfet de Ferrare, 12 demandeuses d’asile et leurs enfants allaient arriver, le jour même pour être logés dans un hôtel. Sans perdre de temps quelques dizaines de villageois ont érigé « des barrages routiers et monté la garde pendant la nuit » en protestant : « Jamais ces migrantes n’entreront dans l’hôtel, quoi qu’il nous en coûte. » La médiation des forces de l’ordre a échoué, et le bus transportant les envahisseurs a été effectivement contraint demi-tour, le préfet ayant trouvé une autre solution…
Les médias italiens s’enflamment, prenant partie pour les envahisseurs ou pour les habitants du cru. Le journal « Messagero veneto » fustige les résistants à l’invasion affirmant : « leur réputation sera liée à l’image misérable des barricades élevées contre douze pauvres femmes qui ont fui l’horreur de la traite humaine pour tomber dans la cruauté de personnes dans lesquelles il nous est impossible de reconnaître nos concitoyens ». Pour « Il Resto del Carlino », « l’incident” aurait pu être évité si les autorités avaient pris la peine d’informer correctement les habitants à propos des nouveaux arrivants, empêchant ainsi que l’imagination [ne] parte au galop ». En revanche le journal populiste « Libero » annonce en Une le « premier succès d’un soulèvement populaire contre l’invasion » et « l’onde de choc » en train de se propager qui « promet de devenir un tsunami, parce que l’exemple de Gorino pourrait être imité par d’autres en Italie ».
Tout n’est pas complètement pourri au royaume d’Italie.
Allemagne : un gang d’envahisseurs africains agresse sexuellement 2 femmes
Deux femmes ont été agressées sexuellement par un groupe comptant jusqu’à 17 envahisseurs, qui seraient des demandeurs d’asile. Les deux femmes, âgées de 21 et 29 ans, étaient dans le square d’une église à Fribourg, dans le sud-ouest de l’Allemagne, lorsque le gang les a attaquées. Trois Africains ont été arrêtés puis libérés sous caution pendant que l’enquête se poursuit. Les hommes, décrits comme d’apparence africaine, ont encerclé leurs victimes avant de toucher leur poitrine et leurs parties génitales. Et quand un passant innocent a voulu aider les femmes, le gang l’a également attaqué. Un porte-parole de la police a déclaré que « les hommes avaient touché les femmes d’une façon inappropriée sur leur estomac, leur poitrine et leurs parties génitales. Certains des hommes ont aussi essayé d’embrasser les femmes. Un homme qui a voulu aider les femmes a été attaqué physiquement par le groupe ».
Les victimes traumatisées ont réussi à échapper à leurs agresseurs et à donner l’alerte. La police a accouru sur les lieux et a procédé à trois arrestations un peu plus tard. Les suspects, âgés de 17, 19 et 20 ans, sont des envahisseurs Gambiens arrivés en Allemagne entre novembre 2015 et février 2016, dont deux avaient vu leur demande d’asile rejetée. Mais n’avaient manifestement pas été expulsés…
Cette dernière agression sexuelle s’est déroulée près de la gare centrale de Fribourg et rappelle la série d’incidents violents du Nouvel An à Cologne. Cette nuit-là des centaines femmes avaient été victimes de harcèlement, agressions et parfois de viols selon un mode opératoire identique : un groupe d’envahisseurs déchaînés encerclent et se ruent sur leurs victimes blanches et profitent de leur nombre pour les immobiliser et les agresser.
Monde
États-Unis : la Cour suprême tranchera la « bataille des toilettes » pour les déviants « transgenres »
La Cour suprême des États-Unis a annoncé vendredi 28 octobre qu’elle déciderait dans quelles toilettes doivent aller les déviants se faisant appeler « transgenres ». Le dossier concerne au départ une adolescente de 17 ans nommée Gavin Grimm, donc née de sexe féminin mais qui dans son délire ou sa maladie psychiatrique non soignée, s’entête à vouloir être identifiée comme un garçon. La déviante a saisi la justice pour obtenir le droit d’utiliser les toilettes pour hommes de son lycée situé à Gloucester, en Virginie.
Pour sa part le gouvernement de Barack Obama affirme que l’accès aux toilettes publiques et aux vestiaires sportifs du système éducatif public doit se faire selon le sexe auquel un élève s’identifie, et non selon son sexe de naissance. Ainsi, les autorités fédérales, sous prétexte de lutter « contre la discrimination des personnes transgenres », ont donc envoyé une circulaire nationale enjoignant tout le système d’enseignement public de se conformer à cet avis.
Mais heureusement, il s’est quand même trouvé une douzaine d’États pour combattre frontalement cette idée, vue par les Américains pas encore complètement soumis au diktat des lobbys des minorités déviantes, comme une ingérence dans leurs affaires scolaires locales et un abus de pouvoir de la Maison Blanche. En pointe dans le défi aux autorités fédérales, la Caroline du Nord qui avait ainsi adopté une loi imposant aux personnes transgenres d’utiliser les toilettes en fonction de leur sexe biologique de naissance.
D’où l’importance du scrutin présidentiel sur cette affaire. En effet la Cour suprême fonctionne, depuis le décès en février du juge Antonin Scalia, avec 8 magistrats au lieu de 9 (4 juges « conservateurs » et 4 juges « progressistes »). Ce sera une des premières taches du prochain président des États-Unis que de nommer le neuvième juge actuellement manquant permettant ainsi de lever les risques de blocage sur des affaires clivantes comme celle dont la Coure vient d’accepter de se charger.
Canada : un arrondissement de Montréal tente d’empêcher l’ouverture d’une synagogue par referendum
La possibilité que l’arrondissement montréalais d’Outremont interdise l’ouverture de nouveaux lieux de culte sur deux de ses artères les plus commerciales soulève les passions. C’est par un changement de zonage proposé par l’arrondissement qu’il serait désormais interdit l’ouverture de nouveaux lieux de culte sur les avenues Laurier et Bernard entre la rue Hutchison, à l’est, et l’avenue de l’Épée, à l’ouest.
Et depuis plus d’un an les résidants d’Outremont s’entre-déchirent à propos de cette modification. Les membres de la communauté juive hassidique qui forme le quart de la population de l’arrondissement croient que la modification cacherait les réelles mauvaises intentions de l’arrondissement à leur égard, car c’est après qu’un permis eut été accordé pour la construction d’une synagogue pourvu d’un bain juif dans la rue Bernard que le conseil a décidé de changer le règlement. La mairesse dit elle que l’ouverture de nouveaux lieux de culte compromettrait le caractère commercial et ludique de ces deux rues. Et selon des commerçants, les lieux de culte étant exemptés de taxes foncières, municipales ou scolaires en vertu de la Loi québécoise sur la fiscalité municipale, « enlever un commerce, ça a pour effet de diminuer la densité commerciale » et la perte de densité pourrait donc priver l’arrondissement de subventions.
Pour trancher un référendum local doit avoir lieu au sujet de la rue Bernard et de ce projet de modification de zonage. Les élus d’Outremont ont fixé la date de tenue du référendum pour le 20 novembre prochain.
Étant donner leur nombre, les hassidim n’ont aucune chance de gagner la consultation. Mais l’arrondissement leur propose d’installer leurs bâtiments au nord, dans la partie industrielle de l’arrondissement. Ce qui ne satisfait toujours pas les juifs qui allèguent que leurs synagogues doivent être accessibles à pied de leurs résidences parce qu’ils ne peuvent conduire durant les jours saints…
Vidéo
Méridien Zéro – La Phalange Espagnole vidéo 2/3
https://www.youtube.com/watch?v=hUhau2966sM
Agenda
6 novembre 2016 – Toulouse – Colloque de Jeune Nation
Sur le thème : « Mémoire des luttes anticommunistes : au temps des chemises ! »
13 h : ouverture des portes et buffet (25€)
15 h : stands et orateurs de plusieurs délégations européennes (PAF min 10 €)
18 h : clôture par l’allocution d’Yvan Benedetti
Renseignements et inscriptions : 07.89.39.82.74
© Jeune nation – 2016
Portrait de Marie-Louise de Tassis, 1630, Antoine van Dyck
(Fürstlich Lichtensteinische Gemäldegalerie – Vaduz)
Les femmes ashkénazes portent fréquemment ces mutations de gènes étroitement associées avec le cancer du sein.
http://fr.timesofisrael.com/en-israel-des-experts-appellent-a-elargir-les-tests-genetiques-de-cancer/