Saint François, confesseur
Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Mickaël condamné à 6 mois avec sursis et 4000€ d’amende pour avoir demandé à des gitans de rentrer chez eux
Actualité nationaliste Europe
- Discours contre la politique de Merkel par Julia de Meerane
France
- Arrestation d’un « jeune » radicalisé à l’Islam soupçonné de préparer un attentat
- Heurts entre force de l’ordre et envahisseurs : 5 blessés chez les CRS
- Trafic d’héroïne : 10 membres de la mafia albanaise de au tribunal
- Une pharmacienne Libanaise détourne plus de 2,2 millions d’euros
- Mohamed Oualid Ghraieb, Chokri Chafroud, Hamdi Zagar, Ramzi Arefa, Enkelejda Zace et Artan Henaj, complices du terroriste Mohamed Lahouiaej Bouhlel
- Youssef tabasse une vieille dame de 86 ans pour la voler à Châtellerault
- Trois Rroms voleurs de métaux pris en flagrant-délit par la police
- Départementale partielle à Orange, la Ligue du sud devance le néo-FN
- Au FN, la campagne présidentielle commerciale a commencé
- 48,6% des élus UMP de Puteaux habitent des logements sociaux
Etranger
Europe
- Hongrie : référendum manqué pour Viktor Orban, le danger du souverainisme
- Serbie : à son tour, le pays ferme ses frontières aux envahisseurs
- Italie : l’envahisseur maghrébin tabasse une femme de 60 ans pour 10 euros
Monde
- Colombie : le peuple refuse la normalisation des sanguinaires marxistes FARC
- États-Unis : le satanisme, enseignement optionnel dans les écoles publiques
Vidéo
- Theodore HERZL « Le coté antisémite du Sionisme » (Partie 4/5)
Kiosque
- Courrier du continent n° 582
Ephéméride nationaliste
- 4 octobre 1887 : naissance de Pierre Taittinger
- 4 octobre 1941 : Promulgation de la Charte du Travail
- 4 octobre 1997 : mort de Otto-Ernst Remer
Agenda
- Madrid : Commémorations du 20 novembre
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Actualité nationaliste France
Mickaël condamné à 6 mois avec sursis et 4000€ d’amende pour avoir demandé à des gitans de rentrer chez eux
Mickaël, militant nationaliste alsacien âgé de 20 ans, a été condamné jeudi 29 septembre 2016 à 6 mois de prison avec sursis, 1000€ d’amende et 1500€ de dommages et intérêts à verser à chacune des associations de l’anti-France LICRA et SOS-Racisme, s’étant portées toutes deux parties civiles.
Le jeune alsacien s’est rendu coupable de fidélité à ses racines et à son pays. En effet, ce dernier s’était opposé à la venue d’une communauté gitane dans sa ville, à l’aérodrome de Rixheim.
Le 9 août 2015, Mickaël est allé courageusement à la rencontre de cette communauté afin de lui faire entendre qu’elle n’était pas la bienvenue à Rixheim. Seul contre tous, il a demandé yeux dans les yeux aux nombreux gitans de rentrer chez eux.
De nature apatride, les gitans n’ont pas de terre qui leur est propre, mais ces derniers n’ont pas dû comprendre l’humour. Le lendemain, le représentant de la communauté a déposé une plainte à la gendarmerie (on inverse les rôles !). Les agents de la subversion ont perquisitionné le domicile de notre ami dès la nuit tombée, en confisquant de simples drapeaux et affiches nationalistes.
Mickaël a été condamné pour « provocation et incitation à la haine » au Tribunal de Grande Instance de Mulhouse et a annoncé faire appel rapidement.
Montrons à ce gouvernement de traîtres et de corrompus que nous ne poserons jamais un genou à terre face à la répression.
Montrons à Mickaël que nous sommes avec lui dans cette épreuve difficile.
LA FRANCE AUX FRANÇAIS !
Actualité nationaliste Europe
Discours contre la politique de Merkel par Julia de Meerane
Merkel muss weg dem ! – Merkel doit dégager !
https://www.youtube.com/watch?v=NamxneXE5Dw
France
La princesse saoudienne ordonne de « frapper » et « tuer » un artisan parisien -suite
Le cas de la princesse saoudienne qui avait ordonnée de «tuer» ce «chien» d’artisan parisien a pris un tour finalement assez peu surprenant : c’est le garde du corps qui a été inquiété par la justice. Il a été mis en examen samedi et placé en détention provisoire. Il avait été placé en garde à vue jeudi dans les locaux de la police judiciaire parisienne et une information judiciaire a été ouverte pour violences avec arme, menaces de mort, vol et séquestration sur personne ayant provoqué une incapacité totale de travail (ITT) de moins de huit jours. L’artisan affirme avoir été roué de coups, notamment au visage, et humilié par le membre du service de protection de la princesse. Ce dernier lui aurait notamment intimé l’ordre de s’agenouiller, les mains ligotées, pour baiser les pieds de sa patronne.
Les monarques de la région du Golfe Persique n’en sont pas à leurs premiers démêlés avec la justice. L’année dernière, le prince saoudien Majid Abdul-Aziz Al Saud a été arrêté aux États-Unis sur des accusations de délits sexuels. Cependant, il a été libéré un peu plus tard, moyennant le versement d’une caution de 300 000 dollars. Le fils du souverain de Dubaï, Sheikh Rashid Al Maktoum, a tué un membre du personnel du bureau de son père. Pourtant il n’a pas été inquiété. Il a tout simplement été privé de son droit de succession. En outre, personne n’aurait rien su de cet incident si le site Wikileaks n’avait pas divulgué la correspondance des diplomates américains qui débattaient du « problème ».
Arrestation d’un « jeune » radicalisé à l’Islam soupçonné de préparer un attentat
Le suspect de 18 ans a été interpellé vendredi lors d’une opération de police menée à Clichy, dans les Hauts-de-Seine. « Radicalisé », il est soupçonné d’avoir préparé ou envisagé « un acte à caractère terroriste ».
Cette interpellation a eu lieu dans le cadre d’une enquête ouverte pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Le jeune homme est soupçonné d’être « radicalisé » et de préparer ou envisager « un acte à caractère terroriste », selon la source policière qui n’a pas fourni davantage de précisions.
De nombreux jeunes interpellés ces derniers jours
Ces dernières semaines, plusieurs personnes, souvent jeunes voire mineures, ont été arrêtées et écrouées, soupçonnées de vouloir commettre des attaques jihadistes. La plupart étaient en contact, via la messagerie cryptée Telegram, avec le jihadiste français Rachid Kassim, soupçonné de téléguider ses émules à distance depuis la zone irako-syrienne.
Un collégien de 15 ans, inconnu des services de renseignement, avait été interpellé mercredi matin au domicile de ses parents à Domont (Val-d’Oise) et placé 48 heures en garde à vue dans les locaux de la DGSI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), avant d’être présenté vendredi matin à la justice.
Heurts entre force de l’ordre et envahisseurs : 5 blessés chez les CRS
Bidon-ville de Calais: Des heurts entre force de l’ordre et migrants font 5 blessés légers chez les policiers
Ces émeutes interviennent alors que la préfecture avait interdit en milieu de semaine une manifestation de soutien aux envahisseurs, prévue samedi…
Des émeutes violentes, les plus sérieuses, depuis fin février, ont éclaté samedi devant l’entrées du bidon-ville de Calais, entre des forces de l’ordre et des envahisseurs appuyés par des militants d’ultra-gauche, faisant cinq blessés légers chez les policiers, ainsi qu’un journaliste de l’AFP, selon le dernier bilan publié dans la soirée par le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. « Vers 15 h 40, 200 personnes, essentiellement des «No borders» et des envahisseurs, se sont rassemblées devant les CRS. Comme le rassemblement était interdit, il a été procédé aux sommations d’usage et les CRS ont repoussé les migrants sur la bande des 100 m, à l’intérieur même du camp », a expliqué Etienne Desplanques, directeur de cabinet de la préfète du Pas-de-Calais. S’en sont suivies des violentes émeutes : les envahisseurs et les gauchistes, dont beaucoup de Britanniques, très déterminés et le visage souvent masqué, ont lancé des pierres et projectiles divers. Les forces de l’ordre ont répliqué quasiment sans discontinuer en tirant de très nombreuses grenades de gaz lacrymogènes et en multipliant les recours à un canon à eau pour les repousser.
« trois CRS avaient été légèrement blessés par des jets de pierre ». Au cours de ces heurts, un photographe de l’AFP a été atteint par « un caillou gros comme une pomme », qui lui a entaillé le cuir chevelu.
Ces échauffourées se sont poursuivies vers 17 h 30. Il était impossible d’entrer et de sortir du bidon-ville au niveau de l’accès principal. Peu avant 18 h 00, d’importants renforts de gendarmes mobiles ont été dépêchés.
Trafic d’héroïne : 10 membres de la mafia albanaise de au tribunal
Au terme d’une longue journée d’auditions, l’enquête détaillée du groupe “stupéfiants” de la brigade de sûreté urbaine d’Annecy l’a donc emporté sur les multiples et opportuns trous de mémoires des dix prévenus.
À la barre, ces derniers ont tout fait pour minimiser l’importance d’un trafic qui gangrène l’agglomération annécienne depuis plus de quatre ans. Un marché juteux, géré par les réseaux mafieux albanophones et dont le chiffre d’affaires global est estimé à près d’un million d’euros par mois.
Vendredi, les suspects ont évoqué des revenus presque “modestes”, allant tout de même pour certains jusqu’à 4 500 € par mois. Des revenus suffisants en tout cas pour afficher des indices de trains de vie confortables sur les réseaux sociaux…
Lors de la première vague d’arrestations, les policiers avaient retrouvé 3,5 kg d’héroïne et près de 20 000 €.
Au terme de leurs investigations, mêlant écoutes téléphoniques, filatures et observations, les enquêteurs étaient parvenus à identifier et démanteler quatre réseaux distincts, gérés de manière “indépendante”, par des ressortissants albanais provenant tous du district de Dibër. Chaque point de vente (certains pouvant générer jusqu’à 30 000 € de revenus par semaine) étant tenu par une “cellule” familiale constituée de membres d’une même fratrie ou de cousins. Une manière de s’assurer une loyauté indéfectible, basée sur les liens du sang. Tous unis, en outre, par la peur de représailles qui pourraient suivre des aveux publics trop précis quant à l’organisation du réseau et ses chefs.
Même si l’ombre de la mafia albanaise plane sur l’ensemble de ces cellules, qui semblent se répartir le “marché” en bonne intelligence, la concurrence génère quelques tensions. Des règlements de compte ont déjà été signalés dans le bassin annécien. Un des prévenus jugés s’était écroulé le 15 novembre 2015 sur la terrasse d’un bar de Meythet, après avoir été blessé par balles (cf photo ci-dessous).
En fonction de leur position dans le trafic, les prévenus ont écopé de deux à sept ans de prison ferme, assortis d’une interdiction définitive de territoire.
Une pharmacienne Libanaise détourne plus de 2,2 millions d’euros
Vendredi, une femme âgée de 46 ans a été mise en examen pour escroquerie aggravée et a été écrouée. Cette première nuit derrière les barreaux, elle la doit à sa fraude présumée à la CPAM.
Entre 2013 et 2015, la gérante de la pharmacie de la Poste de Saint-Fons avait multiplié les fausses factures de médicaments jamais fournis aux clients. Et tant qu’à faire, des traitements très coûteux, comme ceux réservés aux malades du cancer ou du sida. Cette combine lui avait permis d’amasser plus de 2,2 millions d’euros. D’ailleurs, 1,3 million a déjà été saisi sur ses comptes bancaires par les enquêteurs.
Ces derniers ont décidé d’agir rapidement après avoir été alertés par la CPAM. Plusieurs signes laissaient à penser que la pharmacienne se savait en sursis et envisageait une fuite à l’étranger. Un transfert de 800 000 euros au Liban dont elle est originaire était dans les tuyaux, et un faux cambriolage avait été organisé, entraînant la disparition de ses ordinateurs où se trouvait sa comptabilité.
La quadragénaire, qui bénéficiait d’aides diverses car elle ne déclarait que 800 euros de revenus, a nié les faits.
Elle plaide des erreurs de gestion. Ce qui n’a convaincu ni les enquêteurs, ni le parquet.
Mohamed Oualid Ghraieb, Chokri Chafroud, Hamdi Zagar, Ramzi Arefa, Enkelejda Zace et Artan Henaj, complices du terroriste Mohamed Lahouiaej Bouhlel
Six personnes de l’entourage de Mohamed Lahouaiej Bouhlel sont à ce jour mises en examen pour leur implication dans l’attentat de Nice. Elles sont soupçonnées d’avoir « soutenu » le terroriste dans la préparation de son passage à l’acte.
Aucun d’entre eux n’était connu des services spécialisés pour des velléités de départ au jihad, ni fichés S – pour «Sûreté de l’Etat». Les six mis en examen dans le dossier de l’attentat de Nice – Mohamed Oualid Ghraieb, Chokri Chafroud, Hamdi Zagar, Ramzi Arefa, Enkelejda Zace et Artan Henaj -, complices présumés de Mohamed Lahouiaej Bouhlel) ont, à une exception près, été interpellés en plusieurs salves, dès le lendemain de l’attentat. Les enquêteurs ont alors entrepris de démêler les connexions entre ces suspects aux profils divers. Du dealer de cocaïne au chef réceptionniste dans un hôtel niçois, en passant par le travailleur au noir et le trafiquant d’armes albanais en situation irrégulière, ces individus auraient avoir «soutenu» le terroriste «dans sa folie».
Dès le lendemain de l’attentat, le 15 juillet, un homme se présente spontanément devant les policiers de Nice. Mohamed Oualid Ghraieb, un Tunisien de 40 ans qui travaille dans un hôtel de Nice explique qu’il connaît le terroriste depuis quinze ans. Il a rencontré Mohamed Lahouaiej Bouhlel dans un club de boxe en Tunisie et l’a ensuite retrouvé dans une salle de sport niçoise. «Depuis nous avons gardé contact et je peux vous dire que nous avions une relation de camaraderie», déclare-t-il aux enquêteurs. Avant d’ajouter: «C’est quelqu’un que j’aimais bien.»
Une heure et demie plus tard, le témoin devenu suspect est placé en garde à vue. D’emblée, il semble soucieux de brosser un portrait de lui-même plutôt lisse, loin de tout extrémisme. Il se déclare membre de l’association «SOS Animaux», militant UMP depuis 2006 et engagé dans l’association «Amitié judéo-chrétienne». Pourtant l’exploitation du téléphone du terroriste laisse de sérieux doutes aux enquêteurs. Il y a d’abord cette photo où l’on voit Mohamed Oualid Ghraieb à l’intérieur du camion, la veille de l’attentat. Puis 1278 appels entre les deux hommes. «Un nombre qu’on ne peut qualifier de réduit», comme le soulignent justement les enquêteurs. En garde à vue, Mohamed Oualid Ghraieb s’en tient à des «je ne sais pas», «ce n’est pas possible», «je ne comprends pas monsieur». A tel point que les enquêteurs s’agacent de ces «inepties» et de sa «mémoire sélective».
Une chose est sûre: au petit matin, vers 5h30, le 15 juillet 2016, Ghraieb marchait sur la promenade des Anglais déclenchant une série de selfies et vidéos. Les enquêteurs noteront ainsi: «Au cours de son trajet, Mohamed Ghraieb tourne la caméra régulièrement vers lui, notamment à la fin de son trajet où l’on peut voir qu’il a une mine réjouie.» Mais une fois encore Ghraieb élude. Il n’explique pas non plus ces messages envoyés à Bouhlel le 10 janvier 2015, quelques jours après l’attentat dans les locaux de Charlie Hebdo, où il écrit : «Je ne suis pas Charlie. Qu’ils aillent se faire enculer et que Dieu leur ajoute plus que ça. Va faire la prière. C’est mieux que tu fréquentes les diables. Sauve-toi vite camarade tu es en train de couler». «C’est de la rigolade», se défend le gardé à vue. L’exploitation de son ordinateur montre néanmoins qu’il avait effectué des recherches sur la Syrie, les alliés de Daech et Charlie Hebdo. Confronté une fois de plus aux détails de sa téléphonie, Mohamed Oualid Ghraieb consent simplement à avouer qu’il connaît un autre des mis en examen du dossier: Chokri Chafroud.
Ce dernier est un Tunisien de 37 ans, qui vit à Nice de petits boulots non déclarés depuis un an. Les deux hommes auraient été présentés par leur ami commun, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, pour une histoire de location immobilière. Un projet qui se serait soldé par une vive altercation à en croire leurs témoignages. En garde-à-vue, Chafroud est à son tour peu loquace, niant fréquenter l’auteur de l’attentat. Pourtant, les policiers ont déniché son empreinte à l’intérieur du camion. Le suspect concédera finalement s’être assis dans l’habitacle du poids lourd le 12 juillet à l’invitation de Bouhlel, qu’il nomme de son deuxième prénom, «Salmene». Un simple tour de repérage ? «Pour tout dire, Salman (sic) m’a récupéré sur la Promenade des Anglais devant l’hôtel Suisse, il était très insistant, et nous avons descendu la Promenade des Anglais en direction de l’aéroport. Je suis pour ma part descendu au premier feu rouge. J’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas et je suis parti. Il était nerveux, insistait, et j’ai senti comme s’il avait pris un produit excitant», déclare Chafroud. Autre élément troublant, ce SMS envoyé par Chafroud à Bouhlel, le 4 avril 2016 et qui résonne particulièrement aujourd’hui : «Charge le camion de 2000 tonnes de fer et nique, coupe lui les freins mon ami, et moi je regarde». Si Chafroud reconnaît être l’auteur du message, il en donne «une explication farfelue», selon les enquêteurs. Il se justifie en effet en disant s’être inspiré du film Spider-Man… Dernier contact entre Bouhlel et Chafroud, le 14 juillet à 20h29, «Je suis sur la Prom viens je te passe…0 pour.. 159».
Le sens de ce message intrigue les enquêteurs. Selon eux, Chokri serait en tout cas «un complice proche, mentor influent sur la personnalité instable de son ami». Le téléphone de Mohamed Lahouaiej Bouhlel regorge décidément d’informations. Son exploitation va conduire à l’interpellation d’un autre suspect.
Hamdi Zagar, arrêté le 25 juillet, apparaît aussi en photo devant le camion, le 12 juillet. L’homme de 37 ans arbore un maillot du PSG et pose à côté du terroriste qui affiche un large sourire. «Mohamed n’a rien dit de particulier. Il avait l’air content d’avoir un nouveau camion, il souriait», décrit-il aux enquêteurs. Célibataire en cours de divorce et père de trois enfants, lui aussi affirme ne pas bien connaître Bouhlel. Son frère s’est pourtant marié avec la sœur du terroriste en 2012. Les enquêteurs le rappellent vite à la réalité: «Vous avez évoqué environ 10 contacts téléphoniques en 2016. L’étude de votre facturation détaillée fait apparaître 207 occurrences entre votre ligne et celle de Mohamed, entre le 29 août 2015 et le 15 juillet 2016 ?» Puis le 13 juillet, Mohamed Bouhlel lui a envoyé un énigmatique message, «ta fini ?». Puis un autre, le 14 juillet au matin en lui demandant «c bon ?».
Peu après la tuerie, les policiers ont évidemment cherché à déterminer comment Bouhlel s’est procuré le pistolet avec lequel il a ouvert le feu lors de son équipée meurtrière. Un modèle «Rr-51 police» de calibre 7,65, dont les investigations montreront qu’il a été volé lors d’un cambriolage à Vallauris (06) en décembre 1981. A 22h27, quelques instants avant de s’engager sur la Promenade des Anglais, le tueur envoie ce message à un destinataire enregistré sous le nom de «Ramzi». Son contenu est explicite: «Salam Ramzy je suis passé tout à l’heure au taxiphone 16 rue Marceau je t’ai pas trouvé Je voulais te dire que le pistolet que tu m’as donné hier c’est très bien alors on ramène 5 de chez ton copain […].» Le Ramzi en question se nomme Arefa, il a 21 ans. Le 16 juillet à l’aube, la perquisition à son domicile permet la découverte «d’un sachet de pâtes Panzani contenant une boule de poudre blanche pour un poids total brut de 185 grammes». En garde à vue, Ramzi reconnaît qu’il s’agit de cocaïne lui appartenant. Mais sa première audition n’est guère plus concluante. L’homme délire et indique aller «très peu» à la mosquée, «car il y a des voleurs de chaussures, c’est des Roumains». Il dit aussi se désolidariser des auteurs des attentats jihadistes en France ces dernières années. Mohamed Merah ? Un «con», un «mongole». Les terroristes du 13-Novembre ? «Des fous». Ceux du 14 juillet à Nice ? «Des gros connards, ils ont failli tous nous tuer.» Souvent en proie à des vomissements, se plaignant d’un sommeil agité en cellule, l’homme finit cependant par être mis face à ses contradictions. Et admet connaître Lahouiaej Bouhlel, qu’il a aidé à obtenir son pistolet en le mettant en relation avec une connaissance de prison, Artan Henaj, un trafiquant albanais de 38 ans.
Coût de la transaction : 1200 euros. Une kalachnikov lui sera également fournie, mais pas payée. La compagne de Henaj, une « Franco-Albanaise » de 40 ans, Enkelejda Zace, qui a assisté à la transaction, finit elle aussi en cellule. Un dernier élément inquiète cependant les enquêteurs. Il s’agit de la deuxième partie du SMS envoyé par Bouhlel à Ramzi Arefa, et reçu par ce dernier à 22h27 :«Chokri et ses amis sont prêts pour le mois prochain, maintenant ils sont chez walid.»
Cela signifie-t-il que ce groupe d’individus se préparait en réalité à une nouvelle action terroriste dans la région ? C’est l’une des questions clé de l’enquête menée depuis près de trois mois par les magistrats de la galerie Saint-Eloi.
Youssef tabasse une vieille dame de 86 ans pour la voler à Châtellerault
Victime d’un coup de pied dans le ventre dimanche, Henriette, 86 ans, est hospitalisée, le bassin fracturé. Son agresseur a été condamné.
Cela n’a pas traîné. Les enquêteurs du commissariat de Châtellerault ont résolu rapidement l’affaire qui a mis Ozon en émoi. Dimanche midi, Henriette, était agressée par un homme ivre d’alcool et de violence. Victime d’un coup de pied dans le ventre, celle qu’on surnomme affectueusement « Yeyette », est aujourd’hui hospitalisée avec une fracture du bassin, des bleus sur tout le corps et au plus profond de son âme.
Les policiers ont travaillé d’arrache-pied pour confondre Youssef, 36 ans, un « Châtellerauldais de papier ». Vendredi, l’homme était jugé en comparution immédiate. Au sortir d’un week-end d’errance et de beuverie – il dit s’être enfilé « deux à trois bouteilles de vodka ». Sur le trottoir d’en face, Thierry, un brave quinquagénaire qui promène sa petite chienne en conversant tranquillement avec Yeyette. « Qu’est-ce que vous avez à me regarder ? », éructe Youssef avant de traverser la route pour rejoindre le paisible duo. C’est d’abord le ratier qui prend un coup de pied. Son maître, incrédule, est à son tour agressé. Puis voilà la vieille dame dans l’œil du cyclone. Thierry lui permet d’esquiver le crochet mais ne peut empêcher d’envoyer un coup de pied dans le ventre de l’octogénaire. Henriette s’écroule au sol, le bassin fracturé. Youssef est pris en chasse par deux passants qui le rattrapent. S’en suit une brève rixe. Il parvient à s’échapper, l’œil poché. Le quartier se mobilise. Youssef est désigné. Lors de la séance de « tapissage », les témoins le reconnaissent formellement. Interpellé, il nie avant de finir par reconnaître son geste.
Le procureur ne se laisse pas émouvoir. « Cette agression gratuite, lâche, détestable qui ne doit rien au hasard. Il sait ce qu’il a fait et il est d’une parfaite mauvaise foi quand il dit ne se souvenir de rien. L’état de santé de la victime est très préoccupant. Il faut une peine significative, exemplaire », conclut-il avant de réclamer 18 mois dont 15 ferme et une interdiction de séjour pendant deux ans à Châtellerault.
Le tribunal entend cette plaidoirie pour infliger à Youssef 15 mois de prison dont 7 ferme avec obligation de soins et de formation. Il pourra retourner à Châtellerault agresser de nouveaux des personnes agrées, -blanches de préférences !-quand il en aura fini de son petit séjour derrière les barreaux.
Trois Rroms voleurs de métaux pris en flagrant-délit par la police
Trois Rroms de nationalité roumaine originaire de Créteil (Val-de-Marne), mais « se disant SDF » selon le procès-verbal rédigé par les forces de l’ordre, ont été appréhendés aux abords de l’entreprise Norminox, dans la nuit de vendredi à samedi.
La société spécialisée dans la récupération des aciers spéciaux et métaux est régulièrement l’objet de vols ou de tentatives de vol depuis plusieurs mois. La vigilance et la surveillance du site par la police nationale ont permis de cueillir les trois hommes, âgés de 34 à 61 ans, à leur sortie de l’entreprise. Ils avaient dérobé pour environ 2 000 euros de métaux divers.
Après avoir été déférés puis placés ce dimanche en détention provisoire, ils feront l’objet d’un jugement en comparution immédiate dès lundi.
Départementale partielle à Orange, la Ligue du sud devance le néo-FN
Lors du premier tour de l’élection départementale partielle, les candidats de la Ligue du Sud sont arrivés en tête avec 41,16% des suffrages, devant le binôme du Front national avec 24,30%.
Les autres partis, eux, sont en effet très loin derrière. Le duo Les Républicains a obtenu 15,80%, celui du Front de gauche 13,83%, les écologistes finissant dernier avec 4,91%.
A noter que la tête de liste du binôme de la Ligue du Sud est Yann Bompard, le fils du député-maire d’Orange Jacques Bompard, qui est aussi le fondateur de ce parti. A la fermeture des bureaux de vote, le taux de participation à Orange n’était que de 26,81%…
Lors de la première élection en mars 2015, le binôme FN avait devancé nettement les candidats de la Ligue du Sud en recueillant 31,6% des suffrages contre 26,9%, mais il avait été distancé de six voix au second tour (50,03% contre 49,97%).
Après un recours intenté par les candidats du Front national, dont l’un ne s’est pas représenté d’ailleurs cette année, le Conseil d’Etat a annulé l’élection.
Au FN, la campagne présidentielle commerciale a commencé
À force d’avoir dénigré, humilié et bafoué ses cadres, adhérents et militants qui ne sont pas rentrés dans le moule de la soumission, la Le Pen et ses comparses semblent être en manque de pigeons d’adhérents…
Pour toute adhésion, on vous offre une affiche signée « de la main » du gourou.
Cette affiche au titre surréaliste « la France apaisée » démontre bien que le FN est complètement déconnecté des réels problèmes que rencontrent les Français.
Donnez votre argent et en retour, vous aurez un poster. La haute-politique ne s’explique pas !
48,6% des élus UMP de Puteaux habitent des logements sociaux
Alors que de plus en plus de familles ont du mal financièrement à se loger et que la pénurie de logements en Ile-de-France se fait de plus en plus sentir, les élus locaux se doivent de se montrer exemplaires dans ce domaine. A Puteaux, où le taux de logements sociaux ne cesse de baisser, passant de près de 40% dans les années 80 à seulement 28% aujourd’hui, la question du logement – et plus précisément encore la question de l’attribution des logements sociaux – est centrale.
Voici les noms des élus de la majorité UMP de Puteaux bénéficiant d’un logement social. Ce n’est pas les situations individuelles qui sont ici intéressantes, mais la tendance générale qui se dégage de cette enquête : la moitié des élus de la majorité est logé dans le social. Ce taux dépasse de très loin la proportion de familles logées dans le social au niveau national et même local.
Que tirer de ce chiffre ? Qu’il y a des passe-droits ? Mais qui en doutait ? Fallait-il encore le démontrer statistiquement. C’est désormais chose faite.
Sur 35 élus de la majorité, 17 habitent dans le social, soit un taux de 48,6 %.
– Le maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud habite actuellement dans le privé, mais après avoir longtemps occupé un logement social sur le haut de la ville.
– Son fils Vincent, maire-adjoint et conseiller général, est désormais domicilé dans le privé, mais après avoir habité dans un logement HLM de la ville attribué à sa petite amie.
5 des 12 des adjoints sont actuellement en HLM :
– Josiane Abkari, résidence Lorilleux,
– Anne-Marie Amsellem, résidence Louis Pouey (où habitait également Gaston Garino, maire-adjoint récemment décédé),
– Jean-Marie Ballet, résidence des Arcades-2 Horloges,
– Franck Cavayé, résidence Anatole France,
– Pascal Caumont, résidence Palissy. Celui-ci bénéficie aussi d’un local commercial loué par la ville.
11 des 21 conseillers municipaux de la majorité UMP sont actuellement en logement social :
– Sophie André habite la résidence HLM du Vieux Château, rue de Pressensé, très prisée par les élus UMP, puiqu’y demeure un autre ancien conseiller municipal, ainsi qu’un membre de la famille d’une autre élue municipale UMP aujourd’hui décédée. Cette résidence HLM « de luxe » est occupée par des directeurs d’entreprises et autres professions libérales.
Autre résidence très prisée par les élus ceccaldiste, à côté de l’Arsenal, angle rues Parmentier/Voltaire. Pas moins de 3 conseillers demeurent à cette adresse :
– Jean-Yves Chambault,
– Jean-Michel Marchioni,
– et Olivier Perrault. Ce dernier y occupe même 2 appartements : un pour lui et un pour son ex-épouse et leurs enfants.
– Robert Bernasconi habite résidence Cartault. Il a changé récemment d’appartement, au sein de la même résidence, pour bénéficier d’une plus grande surface. Il est par ailleurs propriétaire d’un bien immobilier en banlieue parisienne (sic).
– Patricia Martine habite également la résidence Cartault,
– Joëlle Lacontal est résidence du Carré vert,
– Jean Graziani est également résidence du Carré Vert,
– 2 conseillères UMP, Sylvia Wakim et Martine Smadja occupent 2 appartements dans la résidence HLM du 25 rue Godefroy qui appartient aux HLM des Hauts-de-Seine. C’est assez surprenant que la Ville qui bénéficiait d’un très petit nombre d’appartements dans cette nouvelle résidence HLM92 en attribue 2 à des élus de sa majorité.
– Marie Fedon-Trestournel habite résidence de la Vieille Eglise,
– CORRECTION : Jean-Pierre Descroix qui occupait un ancien logement social de la Ville de Puteaux, au 57 rue Eichenberger, l’a racheté ((les Toits Populaires).
Est-il utile de préciser que 0% des élus de l’opposition bénéficient d’un logement social.
Etranger
Europe
Hongrie : référendum manqué pour Viktor Orban, le danger du souverainisme
En Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a enregistré dimanche 2 octobre une défaite qui n’était pourtant pas attendue ni prévue par quiconque. Même si 98,32 % des électeurs qui avaient fait le déplacement jusqu’aux urnes ont rejeté, pour la Hongrie, la solution européenne de saupoudrage des envahisseurs dans tous les pays de l’Union, le faible taux de participation, autour de 44,35 %, invalide légalement le résultat de la consultation ! Et la conséquence a rapidement été tirée par Bruxelles et les européistes qui ont beau jeu de jubiler : la décision du Conseil européen du 22 septembre 2015, consistant à répartir par quota dans tous les pays de l’Union les envahisseurs ayant violé le sol européen, reste légitime et n’a pas été remise en cause par la « sécession » d’un peuple dans les formes légales…
Viktor Orban a été soutenu par ses partisans, mais désavoué par la majorité du peuple hongrois. N’a-t-il pas ainsi offert, par excès de confiance, un avantage aux partisans de l’invasion migratoire ? Au-delà de la Hongrie, même si Viktor Orban continue de porter l’étendard du non à la politique migratoire bruxelloise, l’issue de ce référendum a peut-être fragilisé la position des pays du groupe de Visegrad (la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie) qui en fermant leurs frontières s’étaient jusque là fait les champions de l’opposition de « l’Europe des peuples » à l’immigrationnisme laxiste de la chancelière Merkel ?
Cette consultation électorale illustrent combien il faut se méfier de la fièvre urnatoire démocratique présentée partout comme un modèle de gouvernement… et combien le souverainisme à base de referendum (fut-il d’initiative populaire) peut être un boomerang à l’effet inverse de celui recherché…
Serbie : à son tour, le pays ferme ses frontières aux envahisseurs
Depuis que la Hongrie, la Slovénie et l’Autriche ont relevé leurs frontières, coupant la route des Balkans vers l’Allemagne et les pays de l’Europe du Nord, on évalue à une bonne dizaine de milliers les clandestins extra-européens arrivés en Serbie et « bloqués » sur son territoire. Le pays n’ayant pas vocation à être le réceptacle des envahisseurs refusés par les pays de l’Union européenne ou reconduits suite à des rejets de demandes d’asile, le président Tomislav Nikolic a annoncé lundi 3 octobre diverses mesures. En premier lieu, la Serbie devrait elle aussi relever et sécuriser ses frontières afin de tarir l’afflux d’envahisseurs traversant son territoire et se retrouvant bloqué sur la route de l’Allemagne, du Royaume-Uni ou de la Scandinavie. « Tous ceux qui ferment la frontière derrière nous, créent un danger de faire de nous un entonnoir qui ne peut pas canaliser l’eau, ce qui signifierait que nous aurions, quelles que soient nos croyances et souhaits, à fermer notre frontière pour les migrants sans délai, parce que nous ne sommes pas le pays qu’ils cherchent en premier lieu » a-t-il expliqué.
Le président Nikolic a également affirmé que la Serbie n’avait pas l’obligation, et n’accepterait pas le renvoi sur son sol, des centaines de milliers de clandestins refusés dans des États de l’Union européenne ayant refusé d’accorder l’asile. Selon lui, « Nous n’avons pas cette obligation, s’ils décident de renvoyer un million de personnes en Serbie. Ils peuvent éviter la Serbie, la survoler, et conduire les gens dans les pays qui les avaient invités à la base, les avaient attirés, les avait faits venir ».
Quant aux conséquences de ces décisions sur les relations de la Serbie avec l’Union européenne (à laquelle le pays est candidat), Tomislav Nikolic a mis en avant la cacophonie régnant dans l’Union sur la question de la gestion de l’invasion migratoire et les solutions profondément divergentes mises en place par les États (de l’accueil sans limite comme l’Allemagne, au refus total comme la Hongrie). Si l’Union européenne n’est pas « en colère contre » la Hongrie, elle ne le sera pas non plus contre la Serbie, a-t-il conclu.
Italie : l’envahisseur maghrébin tabasse une femme de 60 ans pour 10 euros
Mardi 27 septembre, à Monteverde, un envahisseur nord-africain a violemment tabassé et gravement blessé une femme âgé de 60 ans qui se trouvait dans la boutique d’herboristerie de son mari. Celui-ci explique : « Ce jeune homme est venu en demandant du savon : « du savon, du savon » répétait-il dans un français approximatif et il ne parlait pas un mot d’italien. Ma femme n’a pas eu le temps de se retourner que le jeune s’était déjà emparé de son sac. Et savez-vous quel est le plus grave ? C’est qu’avant de partir, il s’est acharné sur elle alors qu’elle était seule, en la frappant, à coups de pied, comme un fauve. Elle qui est si petite, qui est si menue comme une brindille, qui était désarmée. Il lui a cassé deux côtes, il a provoqué un traumatisme crânien et diverses contusions. Les médecins ont dû lui enlever la rate. Ça suffit ou est-ce que je dois en dire plus ? ».
Le commerce est situé à proximité d’un centre d’accueil pour pseudos réfugiés, ces envahisseurs que la marine et les gardes-côtes italiens vont chercher quasi-quotidiennement sur les côtes libyennes pour les rapatrier sur le sol européen…
Monde
Colombie : le peuple refuse la normalisation des sanguinaires marxistes FARC
En Colombie, causant la surprise, une majorité de Colombiens a rejeté dimanche l’accord de paix avec la guérilla des FARC lors d’un référendum au résultat serré, mais dont les résultats quasi-définitifs mettent en cause ce texte visant à terminer 52 ans de conflit. Près de 34,9 millions d’électeurs étaient appelés à répondre à la question : « Soutenez-vous l’accord final d’achèvement du conflit et de construction d’une paix stable et durable ? », titre du document de 297 pages issu de près de quatre ans de pourparlers, délocalisés à Cuba. Le « Oui » a recueilli quelque 6,3 millions de voix (6.346.055), soit bien au-delà du minimum de 4,4 millions de voix requis (13% de l’électorat). Mais pour l’emporter, il devait dépasser le « Non » qui a en fait atteint les 6,4 millions (6.408.350). Certes le référendum n’était pas un passage obligatoire pour l’adoption de l’accord de paix, mais le président Juan Manuel Santos voulait donner la « plus large légitimité » possible à l’accord. Perdu…
L’accord visait à ce que les FARC (Forces Armées Révolutionnaires de Colombie), nées en 1964 d’une insurrection léniniste violente fomentée et soutenue par l’URSS et qui comptent encore 5765 combattants, se convertissent en parti politique après avoir remis leurs armes aux Nations-Unies. Et donc le peuple colombien n’a pas accepté, entre autre, le laxisme des sanctions prévues contre les auteurs des crimes les plus graves, et la participation des guérilléros démobilisés à la vie politique, craignant peut-être un futur « castro-chavisme » colombien. Beaucoup de Colombiens ont ainsi fait le choix du « Non », refusant de récompenser des criminels narco-assassins qui ont fait du pays un coupe-gorge pendant des dizaines d’années !
Et politiquement, la survie, l’existence, la continuité, l’unité et le destin des nations et des peuples sont des sujets trop sérieux pour être mis aux voix, surtout dans les conditions « démocratiques » offertes par notre époque !
États-Unis : le satanisme, enseignement optionnel dans les écoles publiques
Lucien Greaves, président du groupe « Le temple satanique », a récemment remercié Barack Obama pour sa compréhension des intérêts des satanistes américains. En effet une récente décision des autorités fédérales permettrait de donner un enseignement facultatif de découverte du satanisme dans toutes les écoles publiques du pays avec des manuels qui seront dès lors financés par l’État.
Déjà en 2014 on apprenait qu’un livre de jeux et de coloriages, intitulé « The Satanic Children’s Book of Activities » (Le livre d’activités des enfants sataniques), serait distribuer aux écoliers de Floride pour apprendre les valeurs de la « religion satanique ». En effet, c’est à la suite d’une décision de justice des juges du comté d’Orange qui avaient autorisé la diffusion de documents chrétiens et athées dans les écoles, que « Le temple satanique » s’était engouffré dans la brèche pour réclamer l’égalité de traitement.
Et ces derniers jours, « Le Temple satanique » est entré en contact avec de nombreux districts scolaires à travers le pays pour tenter de participer à des activités et programmes extra-scolaires. Depuis une décision de 1991 de la Cour suprême, si les écoles ouvrent leurs portes aux organisations, elles doivent permettre l’accès à toutes les associations, qu’elles soient religieuses ou laïques. Ainsi, le programme de clubs pour enfants intitulé «Satan après l’école» du groupe a des chances de prospérer.
Vidéo
Theodore HERZL « Le coté antisémite du Sionisme » (Partie 4/5)
Kiosque
Courrier du continent
Bulletin du Nouvel Ordre Européen
N° 582 d’octobre 2016
Sommaire :
Ulli Windisch : supprimons la Commision fédérale contre le racisme ;Motya le Chat :Vincit Omnia Veritas ; Les Citations de Darius ; Jacques Vecker : Esclaves Repus ? ; René-Louis Berclaz : Les usines à gaz existent ; etc…
Abonnement annuel Suisse 40 CHF – UE 40 EUROS – Autres 45 CHF
Parait dix fois par an (périodique fondé en 1946 par G.-A. Amaudruz
Les Editions de Cassandra, case postale 141 CH-3960 Sierre (Suisse)
Ephéméride nationaliste
4 octobre 1887 : naissance de Pierre Taittinger
4 octobre 1941 : Promulgation de la Charte du Travail (texte de la Charte)
4 octobre 1997 : mort de Otto-Ernst Remer
https://www.youtube.com/watch?v=IFf582txtaU
Agenda
Madrid : Commémorations du 20 novembre
18 novembre – 21 novembre 2016
Avec une délégation de Jeune Nation.
© Jeune nation – 2016
Madone et pécheurs repentants, Circa 1625, Antoine van Dyck
(Musée du Prado – Madrid)
C’est sur, le trio Moscovici-Valls-Belkacem saura écouter le Maroc et surtout sussurer ses attentes à l’oreille du locataire de l’Elysée.
http://www.slateafrique.com/82549/comment-maroc-courtise-hollande
Un véritable pont aérien du haschich relie le Maroc à l’Espagne, les avions de tourisme n’y étant jamais controlés car ce sont des lieux très fréquentés par des membres de la classe politique marocaine, saoudienne, émiratie, qatarie, espagnole et française.
http://www.medias24.com/SOCIETE/13048-Haschich-un-pont-aerien-reliait-le-Maroc-a-l-Espagne.html
Hasards (?) du calendrier, cette année, le nouvel An juif coïncide avec le nouvel An musulman, le 2 octobre. La fête de Yom Kippour sera par ailleurs célébrée le 11 octobre, en même temps que la Achoura des musulmans.
http://fr.radiovaticana.va/news/2016/10/03/le_nouvel_an_juif_et_le_nouvel_an_musulman_célébrés_en_même_temps/1262636