Journal du 5 décembre 2016

Sommaire :

Actualité nationaliste en France

• Les juifs, l’inceste et l’hystérie – Hervé Ryssen

France

• La France expulse les islamistes au compte-gouttes : 60 en quatre ans
• Karim, « français » de papier condamné à 7 ans de prison ferme à Genève
• Youssef Lelouf, récidiviste, condamné pour trafic de stupéfiants à Avignon
• Il crie ‘Allahou akbar’ en pleine rue et menace de se faire exploser
• Abdelhak E. voulait crever l’œil de son fils pour le punir
• Douze envahisseurs Albanais clandestins expulsés du territoire
• Serginot, Martiniquais, se promene avec un coupe-coupe et une machette
• B, en prison, ébouillante son codétenu : brûlé au troisième degré
• La Sainte Vierge à nouveau priée de décamper de Publier
• Un prêtre promet «l’enfer éternel» aux parlementaires socialistes au sujet de l’IVG
• Marine Le Pen: « j’avais un ami qui avait des chevals »
• Liste des journaux français qui n’ont pas besoin de lecteurs !

Etranger

   Europe

• Pays-Bas: Un homme alcoolique de 41 ans euthanasié à sa demande
• Autriche : les circonvolutions dédiabolisatrices de Norber Höfer ne lui auront pas servi
• Allemagne : la fille d’un haut-fonctionnaire de l’UE violée et tuée par un envahisseur afghan
• Danemark : retrait des forces aériennes de la coalition contre « Daech »
• Europol publie son « calendrier de l’Avent » des criminels les plus recherchés

   Monde

• Palestine occupée : de plus en plus d’Américains favorables à des sanctions contre l’entité sioniste
• Syrie : les deux tiers des quartiers « rebelles » d’Alep de nouveau sous contrôle du régime
• Entité sioniste : ils pourront faire concevoir et élever le fils de leur enfant décédé
• Maroc : une cellule de recrutement pour l’État Islamique démantelée

Vidéo

• Jacques Doriot – Congrès du Parti Populaire Français

Radio

• Méridien Zéro émission n°290

Ephéméride nationaliste

• 5 décembre 1987 : parution du 1^er numéro du Choc du Mois

Agenda

• 11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple

 

——————–

 

Actualité nationaliste en France

 

Les juifs, l’inceste et l’hystérie – Hervé Ryssen

 

https://www.youtube.com/watch?v=S0WUeO5LNbc

 

 

 

France

 

La France expulse les islamistes au compte-gouttes : 60 en quatre ans

 

Une soixantaine ont été éloignés depuis 2012, dont dix-sept depuis le début de l’année.

Face à la «menace terroriste d’une ampleur inédite», le ministère de l’Intérieur s’évertue à traquer les islamistes radicaux, et notamment les ressortissants étrangers ou les déchus de la nationalité française installés dans le pays. Dix-sept indésirables ont été éloignés depuis janvier dernier, selon un dernier bilan de la Place Beauvau porté. Le double par rapport à 2014 et une progression notable au regard de la dizaine d’éloignements annuels répertoriés au début des années 2000.

Des chiffres qui apparaissent faibles au regard de l’épais maquis des 2000 suspects liés aux filières irako-syriennes. Mais ils traduisent en réalité l’incommensurable casse-tête que représente chaque dossier: conditions imposées par la Convention européenne des droits de l’homme, négociations pour obtenir un laissez-passer auprès des autorités consulaires du pays d’origine, dossiers constitués de «notes blanches», par définition non datées ni signées, et qui sont souvent contestées par les avocats…

Le parcours de Mansour Koudousov, ressortissant russe originaire de Tchétchénie, est éloquent. Il a fallu quatre ans de procédure pour renvoyer en Russie, le 9 septembre dernier, ce « jeune » de 25 ans, «lié à la mouvance djihadiste armée depuis de nombreuses années» selon la justice.

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) agace souvent, gêne beaucoup. La question des difficultés pour expulser du territoire des terroristes étrangers est la plus emblématique. Au point que certains députés LR, comme Guillaume Larrivé, plaident avec virulence pour un «CEDH-exit» et une négociation à la mode anglaise des exceptions possibles, afin d’éviter ce qu’un certain nombre de parlementaires considèrent comme un diktat de l’Europe.

En une année le gouvernement français a fermé une vingtaine de mosquées ou salles de prière musulmanes radicalisées. Dont 17 en Île-de-France. Si le ministère de l’Intérieur estime que 150 lieux de culte sur 2500 sont touchés par l’influence salafiste, les experts y ajoutent autant d’associations qui attirent par leur rigorisme, un public jeune, susceptible d’être conduit au djihadisme.

 

 

 Karim, « français » de papier condamné à 7 ans de prison ferme à Genève

 

Le spécialiste des bureaux de change condamné à 7 ans de prison à Genève

Le Tribunal criminel a retenu l’aggravante de l’arme et la prise d’otage. Le trentenaire avait passé dix années dans les geôles de France. Il avait traversé la frontière pour récidiver lors de sa libération conditionnelle

Pour avoir attaqué trois fois des bureaux de change avec une arme rouillée et avoir empoigné une cliente afin de se faire ouvrir le coffre, Karim a été reconnu coupable de brigandages aggravés et de prise d’otage. Le Tribunal criminel de Genève lui a infligé une peine privative de liberté de 7 ans. C’est encore bien en deçà des 12 ans requis par la procureure Laurence Piquerez.

Sans emploi et sans domicile fixe, il avait attaqué des officines pleines de billets. En trois expéditions, menées en été 2015, son butin s’est monté à environ 16 000 francs. Il préparait une quatrième attaque lorsqu’il s’est fait prendre sur le chemin avec un ticket de bus non valable.

Karim a tout avoué. Il a aussi juré n’avoir jamais envisagé de tirer avec le pistolet volé à un dealer. Aux yeux du Tribunal, et malgré le peu de professionnalisme de l’intéressé, l’aggravante de l’arme est réalisée car il en a concrètement fait usage en menaçant les employés. De même, les juges ont retenu la prise d’otage même si la cliente terrorisée n’a été empoignée que pour une très courte durée. Il s’est rendu maître de la victime et l’a privée de sa liberté pour se faire remettre de l’argent, souligne la décision.

Pour fixer la peine, le tribunal a estimé que Karim avait certes peu planifié ses actions mais avait fait preuve d’une intensité délictuelle importante en agissant à trois reprises sur une période assez courte et en s’en prenant à deux fois au même bureau de change. «Il a agi avec détermination, froideur et calme.» L’intéressé a également été reconnu coupable d’injures pour avoir laissé éclater sa colère verbale sur un gardien de Champ-Dollon. Aucune indemnité ne sera toutefois versée au surveillant, seul plaignant de cette procédure, car ce dernier n’a pas attesté du tort moral subi.

 

 

Youssef Lelouf, récidiviste, condamné pour trafic de stupéfiants à Avignon

 

Condamné pour la deuxième fois en l’espace de quelques mois dans une affaire de drogue, Youssef Lelouf, 20 ans, n’a pas échappé à une peine de prison ferme.

Jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel, jeudi dernier, à la suite de son interpellation lundi dans la cité Monclar par une patrouille de la bac. Les magistrats ont révoqué la précédente peine de huit mois avec sursis. Peine qui s’ajoute aux quatre mois ferme assortis d’un mandat de dépôt et aux 2 000 euros d’amende.

Youssef Lelouf a tout déballé. Son trafic était en place depuis un mois. Lorsque les policiers lui ont mis la main dessus, Youssef Lelouf a reconnu que les 240 euros qu’il avait sur lui étaient en partie le fruit d’une transaction qu’il venait de faire. Quant aux trois téléphones portables, « il y en a deux qui sont à mon nom. Le troisième me servait pour mes clients ». Quatre personnes ont été identifiées. Ils prétendent qu’ils pouvaient acheter jusqu’à 5 grammes par transaction et ce, 2 à 3 fois par semaine.

Le prévenu affirme qu’il “travaillait” en solitaire pour l’argent. « Dans le quartier tout le monde deale. Pour moi, c’était normal ». Pas pour le parquet. Le procureur a soutenu que le « jeune » méritait d’être placé en détention.

 

 

Il crie ‘Allahou akbar’ en pleine rue et menace de se faire exploser

 

L’individu a été maîtrisé par les policiers de la BAC et devrait être placé en hôpital psychiatrique…

Les policiers de la brigade anticriminalité de Rennes sont intervenus jeudi vers 13h45 au niveau de l’avenue de Guyenne dans le quartier de Villejean pour un individu qui menaçait de se faire exploser. A leur arrivée, l’homme, âgé de 23 ans, était en train de prier en plein milieu de la route et de crier « Allahou akbar ».

Un périmètre de sécurité a aussitôt été mis en place dans le quartier. Après quelques pourparlers, l’individu a finalement été interpellé et menotté par les policiers. Aucun explosif n’a été découvert sur lui. Placé en garde à vue, il devrait être transféré dans une unité psychiatrique.

 

 

Abdelhak E. voulait crever l’œil de son fils pour le punir

 

Abdelhak E. a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Compiègne à dix mois de prison, dont cinq mois avec sursis, pour des faits de violences habituelles sur son ex-compagne ainsi que sur un de ses 3 enfants. Sa peine sera aménagée.

Le 27 novembre, une nouvelle crise éclate au domicile du couple, à Margny-lès-Compiègne. Cette fois, le prévenu reproche à son fils de 11 ans de ne pas savoir orthographier le mot « œil ». Il l’insulte et menace de lui en crever un, avec une lame. Le trentenaire s’en prend aussi à sa femme à qui il assène un coup de poing… avant de lui demander d’aller chauffer une lame sur le gaz pour la punition, qu’il ne mettra finalement pas à exécution.

C’est la fois de trop pour la jeune femme, qui se décide à porter plainte. Car, au sein de ce couple, les violences ont toujours existé. « Elle est allée d’humiliation en humiliation », dit son avocate. « C’est le procès de l’emprise », abonde le substitut du procureur. Son mari l’insulte, la gifle, la contraint à sortir dans la rue pieds nus si la vaisselle est « mal faite »… Des violences que nie intégralement le prévenu. « Je suis un mari dur mais je ne l’ai jamais frappée », assure ce docteur en physique, qui donne des cours particuliers. Les insultes à l’égard de son fils ? « Ce n’est plus mon fils », tranche Abdelhak. Qui a désormais interdiction d’entrer en contact avec son ex-compagne et ses 3 enfants.

 

 

Douze envahisseurs Albanais clandestins expulsés du territoire

 

Douze envahisseurs, demandeurs d’asile, d’origine albanaise ont été expulsés de Moselle, vendredi, vers leur pays d’origine par la Police aux frontières. Depuis le début de l’année dans le département, ces mesures « d’éloignements » ont concerné 112 personnes en situation irrégulière.

Ce vendredi 2 décembre, selon la Préfecture de Moselle, les services de la Police aux Frontières (PAF) ont reconduit 12 personnes en situation irrégulière vers Tirana, la capitale d’Albanie. Dans son communiqué, la Préfecture indique également que depuis le début de l’année 2016, « 486 personnes ont ainsi fait l’objet d’une mesure d’éloignement, dont 112 ont été réadmises dans le pays de l’Union européenne où elles avaient déjà déposées une demande d’asile », soit moins d’une personne sur quatre.

La Préfecture ne précise pas si parmi les expulsés figurent ceux interceptés le 29 novembre dernier sur l’A31 entre Metz et Nancy. Six Albanais, entrés illégalement en France étaient à bord d’un véhicule contrôlé par les services de la PAF. Tous ont été placés en centre de rétention, en attente d’être renvoyés vers leur pays d’origine. Le convoyeur a été condamné à 6 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Metz.

Metz est depuis plusieurs années confrontées à un afflux permanent de demandeurs d’asile, en provenance des pays des Balkans. L’évacuation de leur camp de fortune dans le quartier de Blida, au début du mois de novembre, n’a pas empêché ses derniers jours la réinstallation de tentes et d’envahisseurs.

 

 

Serginot, Martiniquais, se promène avec un coupe-coupe et une machette

 

Le cheveu artistiquement torsadé, un léger sourire sur les lèvres, Serginot entre dans les box aux côtés de trois gardiens de l’administration pénitentiaire. En détention pour une autre affaire, le trentenaire comparaît pour vol et transport d’arme blanche sans motif légitime. Si la loi autorise l’achat d’armes de catégorie D, elle en interdit le port sauf à donner une très bonne raison. Et lorsque les policiers blésois l’ont interpellé en septembre dernier, alors qu’il se promenait avec un coupe-coupe d’une lame de 30 cm caché le long de sa jambe, Serginot a juré qu’il s’en servait pour entretenir les espaces verts. Un outil certes bien commun en Martinique, sa terre natale, mais à moins de tomber sur une plantation de bananier le long de la Loire, l’engin a de quoi effrayer le passant ordinaire. Donc, de motif légitime, les policiers n’en ont point vu. D’autant que Serginot avait déjà été arrêté square Augustin-Thierry, à Blois, un cutter en poche et une machette posée nonchalamment sur son vélo.  Bien calé sur ses jambes, Serginot décide de rester muet devant les questions de la présidente du tribunal, Sylvie Avezou-Franch et se cantonne à mâchouiller son chewing-gum. Du coup, il n’apporte aucun éclairage sur sa passion des lames. La magistrat s’en tient à la lecture des dépositions reçues à chacune de ses interpellations. C’est que la justice lui reproche aussi d’avoir squatté pendant trois semaines la maison d’un propriétaire décédé. Et d’en être reparti avec la télévision et l’imprimante sous le bras ! Et puis il y a cette addiction quotidienne aux cigarettes artisanales comme le dira poétiquement l’un des magistrats assis près de la présidente. Ces cigarettes qui sentent un peu fort, roulées avec une herbacée censurée par le code pénal.
Le vice-procureur Jean Dematteis réclame six mois de prison ferme. Ce que le tribunal prononce dans la foulée avec confiscation des scellés. 

 

 

 Sophian.B, en prison, ébouillante son codétenu : brûlé au troisième degré

 

Mécontent qu’un individu lui ait dérobé son téléphone, l’agresseur âgé de 20 ans s’en est pris à celui qui partageait sa cellule. La victime, brûlée au troisième degré, conservera des séquelles à vie.

« ça lui apprendra! » Sophian B. lâche froidement ces quelques mots au moment où on lui précise que l’homme qu’il a ébouillanté, le 7 août, dans une cellule de la prison de La Farlède, a été brûlé au troisième degré sur 15% de son corps.

Sans compassion, ni humanité, il ajoute: « Je ne vais pas avoir de la peine pour lui. Ça lui apprendra. » Une réaction glaciale lancée, mercredi, devant le tribunal correctionnel, par ce jeune homme d’à peine 20 ans, au casier judiciaire déjà entaché de dix condamnations.

Présenté en comparution immédiate, le prévenu – toujours incarcéré et libérable le 16 janvier 2017 – devait répondre non seulement de violences ayant entraîné une ITT de 20 jours, mais aussi de menaces de mort (« Je vais te tuer si tu ne me trouves pas un téléphone ») et de dégradation (incendie d’un matelas).

Le jour des faits, Sophian B. a voulu échanger son téléphone par « yoyo » (une ficelle entre deux étages) avec un autre détenu et il n’a rien reçu en échange au bout de la corde. Furieux, il a alors fait chauffer une casserole d’eau sur son réchaud avant de s’adresser à son codétenu. « Tu as cinq secondes pour me trouver un portable. » Avant de débuter le compte à rebours.

Des paroles, l’homme est passé au geste… Il a déversé l’eau bouillante sur le torse de la victime. Lorsqu’un gardien et un détenu à proximité sont arrivés dans la cellule, le jeune homme était prostré au sol, grièvement brûlé.

Pour M. Plantard, le président, la préméditation ne fait guère de doute. « Vous avez réfléchi à votre acte. Vous avez fait chauffer l’eau. Vous avez brûlé votre camarade de cellule par frustration. »

Les faits ont été qualifiés de « graves et terrifiants » par M^me Blank, la représentante du parquet de Toulon. « Vous étiez en fin de peine pour une extorsion avec violence. La peine ne pourra pas être, selon moi, inférieure à cinq ans. » 

Le tribunal a condamné Sophian B. à quatre ans de prison ferme.

 

 

La  Sainte Vierge à nouveau priée de décamper de Publier

 

Le tribunal administratif de Grenoble vient une nouvelle fois d’enjoindre à la commune de Publier de retirer sa vierge du domaine public. Une première décision, rendue en janvier 2015, avait déjà conclu à la même issue pour la statue de marbre bleu installée en 2011 dans un parc communal, sans que le sujet n’ait jamais été débattu devant le conseil municipal. Faute d’exécution de ce premier jugement, la fédération départementale de la Libre-pensée a ressaisi le juge administratif.
Le tribunal a laissé trois mois au maire de Publier pour délocaliser sa statue mariale, qui avait coûté près de 35 000€. Passé ce délai, la commune écopera d’une amende de 100  euros par jour.

 

 

Un prêtre promet «l’enfer éternel» aux parlementaires socialistes au sujet de l’IVG

 

Le prêtre explique que la proposition de loi, qui vise à étendre le délit d’entrave à l’Interruption volontaire de grossesse aux sites internet diffusant de fausses informations, s’oppose « à la loi naturelle, à la loi de Dieu ».

Plus de quarante ans après l’inique loi de la tricoteuse de Giscard, les parlementaires ont partiellement rouvert le débat, jeudi 1er décembre, discutant d’une proposition de loi soutenue par le gouvernement qui vise à étendre le délit d’entrave à l’Interruption volontaire de grossesse (IVG) aux sites internet diffusant de fausses informations sur l’avortement.

Au milieu des échanges houleux, les députés socialistes, dont Catherine Coutelle, présidente de la délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes (sic), ont fait part d’un e-mail, reçu la veille, de la part d’un prêtre.

« Si vous signez la proposition de loi de demain interdisant les sites internet pro-vie, vous signez votre entrée dans l’enfer éternel ! »

Le prêtre en question, qui pratique aussi l’exorcisme, reconnaît être l’auteur de l’e-mail, mais souhaite garder son anonymat « pour des raisons de sécurité ». 

Il assure qu’il était important de prévenir les parlementaires. « En signant la condamnation d’un innocent, ils prennent de grands risques pour leur salut éternel. Ils s’opposent à la loi naturelle, à la loi de Dieu. Tuer un enfant dans le ventre de sa mère ne peut pas être un acte bon. C’est criminel », prévient-il. Par ailleurs, ce prêtre fait remarquer qu’avec cet amendement, « les femmes n’auront plus l’occasion de sauver leur enfant ». « Ce texte veut supprimer toute information possible ».

De son côté, la Conférence des évêques, assure ne pas être au courant de la démarche du religieux. « Chaque prêtre a le droit d’écrire ce qu’il veut, il n’y a pas de lien hiérarchique, la Conférence ces évêques n’est pas au-dessus des prêtres mais à leur service. Par ailleurs, nous avons déjà dit ce que nous pensions de la proposition de loi, maintenant nous laissons faire le travail », explique-t-on. L’archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France, Mgr Georges Pontier, a adressé une lettre ouverte à François Hollande afin qu’il fasse échec à la nouvelle proposition de loi.

 

 

Marine Le Pen: « j’avais un ami qui avait des chevals »

 

La Le Pen a oubliée sa grammaire en se rendant vendredi 2 décembre au salon du cheval, porte de Versailles. Comme le montre cette séquence, la présidente du Front national est en pleine conversation avec une exposante, elle parle d’un ami à elle…  qui avait des chevaux.

C’est une règle qu’on apprend pourtant aux élèves de l’école primaire. Au pluriel, le mot cheval ne se contente pas de prendre un « s ».  La Le Pen devrait demander un Bescherelle au père-Noël. Et ça veut diriger la France…

 

https://www.youtube.com/watch?v=wvXcI4EdL68

 

 

Liste des journaux français qui n’ont pas besoin de lecteurs !

 

La presse est l’un des secteurs les plus subventionnés. En 2016, ce sont plus de 288 millions d’euros d’aides qui ont été distribuées aux éditeurs. Sauf que parmi ces heureux bénéficiaires figurent certains des plus gros groupes de presse du pays. En tête de liste, on retrouve ainsi Le Monde (18,68M€), Le Figaro (18,26M€) ou encore Ouest France (11,90M€).

Voilà la liste des 20 médiats papiers publiés en France qui n’ont pas besoin que les lecteurs les achètent :

 

 

 

Etranger

 

   Europe

 

Pays-Bas: Un homme alcoolique de 41 ans euthanasié à sa demande

 

L’euthanasie a été pratiquée par un médecin généraliste au domicile des parents du quadragénaire, comme l’autorise la loi du pays…

Il ne supportait plus les effets de l’addiction à l’alcool. Mark Langedijk, un Néerlandais de 41 ans, a choisi de mourir d’une injection létale le 14 juillet dernier.  « Les psychologues, les psychiatres, les médecins généralistes et tous les professionnels de santé ont fait de leur mieux pour l’aider. Mais Mark n’arrivait pas à expliquer ce qu’il ressentait à qui que ce soit », a expliqué son frère.

 « Je veux mourir, trop c’est trop », avait finalement annoncé Mark Langedijk à son médecin généraliste. Sa demande ayant été acceptée, le Néerlandais a choisi la date et le lieu de sa mort, ainsi que le menu de son dernier repas : des sandwiches jambon-beurre, de la soupe et de la bière.

Depuis le 1er avril 2002, toute personne souhaitant mettre fin à ses jours peut en faire la demande aux autorités néerlandaises. Une requête qui doit s’accompagner d’une explication réfléchie justifiant l’euthanasie ou le suicide assisté. L’an dernier, 5.500 Hollandais ont ainsi légalement mis fin à leurs jours.

 

 

Autriche : les circonvolutions dédiabolisatrices de Norber Höfer ne lui auront pas servi

 

Le candidat du FPÖ, favori à l’élection présidentielle qui se rejoue dimanche 4 décembre, s’est lui-même décrit comme un « homme du centre, détestant les extrêmes ». Souvent qualifié d’extrême-droite, dans une entrevue journalistique il a affirmé :

« Oui, je suis de droite, mais je ne suis pas d’extrême droite. Je suis du centre-droit et si vous comparez ce que disent les membres du gouvernement ici en Autriche et ce que je dis, vous verrez que je ne suis pas plus à droite que le gouvernement. Je suis un homme assez normal, un père de famille et je n’aime pas les extrêmes ».

Höfer avait perdu l’élection le 22 mai dernier contre le candidat centriste-écolo-mondialiste, ancien chef des Verts, Alexander Van der Bellen, qui a toujours lui aussi ses chances de devenir le président de l’Autriche. Mais les résultats avaient été annulés en mai après les plaintes du FPÖ en raison d’irrégularités dans le vote par correspondance.

Cette fois-ci, les 2 candidats sont toujours restés au coude à coude dans les sondages pendant toute la compagne, jusqu’à la veille de l’élection. Mais, les circonvolutions dédiabolisatrices de Norbert Höfer ne lui auront pas apporté le succès escompté puisqu’on apprenait dimanche soir que les premières estimations lui donnent seulement 46,4% des suffrages…

 

 

Allemagne : la fille d’un haut-fonctionnaire de l’UE violée et tuée par un envahisseur afghan

 

Le corps de Maria Ladenburger, jeune allemande de 19 ans, a été retrouvé au fond d’une rivière à Fribourg près de la frontière avec la Suisse. Un envahisseur afghan a avoué le viol et le meurtre de la jeune fille alors qu’elle rentrait à son domicile, la nuit, après être allée à une fête. La jeune fille, étudiante en médecine était la fille d’un haut-fonctionnaire de l’Union européenne, le professeur Clemens Landenburger, conseiller du directeur juridique de la Commission. Il avait notamment longtemps travaillé sur la rédaction de la Charte des droits fondamentaux de l’Union. La jeune fille était également bénévole dans un centre d’accueil où elle venait en aide à des envahisseurs fraichement débarqué en Europe et demandeurs du statut de « réfugiés »…

L’Afghan de 17 ans a donc fait tomber la jeune fille de son vélo sur son chemin du retour, avant de la violer et de la tuer en la noyant dans la rivière Dreisam le 16 octobre dernier. Les recherches policières avaient permis de retrouver dans un buisson une longue mèche de cheveux noirs, teints partiellement en blond, et une écharpe au fond de la rivière contenant de l’ADN qui n’était pas celui de la jeune fille. En revanche des enregistrements de vidéosurveillance à proximité ont permis de repérer un jeune homme de 17 ans aux cheveux noirs et longs teintés de blond dans une tramway. L’Afghan arrêté, son ADN correspondait aux prélèvements de la scène de crime.

La police soupçonne l’envahisseur violeur d’être responsable d’un autre viol suivi de meurtre sur une joggeuse qui a été commis à quelques kilomètres de Freiburg au début du mois de novembre.

Fille d’un haut-fonctionnaire de l’Union européenne, sans doute élevée dans l’idéalisation de l’autre et la haine de soi, volontaire bénévole pour aller torcher les « pauvres migrants isolés », probablement naïve au point de croire en « l’humanité » de son prochain quel qu’il soit y compris seule de nuit à vélo… tous les éléments étaient réunis pour que le sort se montre cruel.

 

 

Danemark : retrait des forces aériennes de la coalition contre « Daech »

 

Les F16 du Danemark sont engagés dans la coalition menée par les États-Unis contre l’organisation État Islamique. Copenhague a annoncé vendredi 2 décembre que le pays allait mettre fin à la mission de six mois de sept avions de combat en Syrie et en Irak. La décision a été rendue publique trois jours après la révélation par le Pentagone des erreurs qui ont amené les armées de l’Air américaine, australienne, britannique et danoise à tuer des combattants du régime syrien soi-disant « confondus » avec des jihadistes, le 17 septembre dernier près de Deir Ezzor (est de la Syrie), offrant ainsi à l’État islamique une opportunité de contre-attaque et de reprise du territoire.

La mission ne sera pas prolongée mais une vingtaine de soldats seront envoyés en plus. Ceux-ci, selon le ministre de la Défense Claus Hjort Frederiksen, apporteront des compétences en ingénierie et construction. « Ils formeront les forces irakiennes, entre autres choses, à des opérations de déminage, et renforceront notre contribution actuelle dans la formation », a-t-il souligné dans un communiqué.

Depuis l’été, le Danemark, qui est membre de l’OTAN, fournit à la coalition sept F16, un avion de transport militaire C130J qui sera aussi retiré, et 400 militaires, dont 60 membres des forces spéciales.

 

 

Europol publie son « calendrier de l’Avent » des criminels les plus recherchés

 

Des meurtriers, des kidnappeurs, des terroristes et des trafiquants de drogue en guise de petits chocolats. Europol, l’Office européen de police, a lancé, ce jeudi matin, un calendrier de l’avent des criminels les plus recherchés sur le vieux continent. Chaque jour jusqu’à Noël, sur les réseaux sociaux, Europol ouvrira l’une des petites fenêtres dévoilant au grand public les informations précises sur l’un de ces fugitifs afin de faciliter son interpellation.

« Tous ces criminels sont en fuite et échappent à leurs responsabilités et à leur condamnation, explique l’Office dans un communiqué. Aidez-nous à rendre la période des fêtes plus sûre en les arrêtant avant que les vacances ne débutent. »

Europol comptant 23 pays membres, le calendrier s’ouvrira chaque jour sur un criminel recherché dans un pays différent jusqu’au 24 décembre. Les 23 fugitifs qu’Europol va mettre en lumière tout le mois de décembre font partie de la liste « Most Wanted » comprenant une soixantaine d’individus au total.

C’est l’Autriche qui a ouvert le bal, ce jeudi 1er décembre, avec le portrait de Tibor Foco, un homme de 60 ans recherché pour le meurtre d’une prostituée commis en 1986. Membre d’Europol, la France aura le droit, elle aussi, à son « Most Wanted » le samedi 10 décembre. Bien évidemment, aucune information ne circule à son sujet avant cette date. Mais il pourrait s’agir de Jean-Claude Lacote, un homme considéré comme « violent » et « très dangereux » condamné pour un meurtre perpétré en Belgique en 1996.

Étrange, les exemples français et autrichiens sont loin d’être représentatifs des types d’individus majoritairement recherchés. La consultation de la liste des « 60 most wanted » (https://eumostwanted.eu/fr) est alors fort instructive quant aux origines des principaux criminels sévissant en Europe.

 

 

   Monde

 

Palestine occupée : de plus en plus d’Américains favorables à des sanctions contre l’entité sioniste

 

Le nombre d’Américains en faveur des sanctions contre la politique israélienne sur l’occupation et la colonisation de la Palestine, a augmenté de 9% au cours de la dernière année et se situe maintenant à 46%, selon un nouveau sondage publié vendredi mené par la Brookings Institution, un centre de réflexion basé à Washington.

Selon les sondages menés avant et après les élections présidentielles américaines du 8 novembre, le soutien en faveur de mesures punitives contre Israël a augmenté parmi les membres des deux principaux partis: 60% des démocrates et 31% des républicains soutiennent des sanctions économiques et autres pénalités, comparativement à 49% et 26% en novembre 2015.

Les sondages ont également montré que 46% des Américains encourageraient une action à l’ONU visant à faire pression sur Israël concernant les négociations de paix bloquées avec les Palestiniens. Seuls 27% s’opposeraient à une telle mesure, tandis que 25% se montrent indécis.

Une nette majorité d’Américains (76%) a déclaré qu’Israël était un allié important des États-Unis. 55% des démocrates et 24% des républicains estiment qu’Israël est un « fardeau. »

Alors que la majorité des Américains (57%) souhaite que le président élu Donald Trump joue le rôle de médiateur impartial entre Israël et les Palestiniens, il se penchera, selon eux, en faveur de l’Etat hébreu dans la plupart des négociations entamées…

Les sondages ont été effectués du 5 au 14 octobre et du 18 au 23 novembre 2016 sur un échantillon de 2.570 personnes et ont affiché des marges d’erreur de 2,5% à 3,04%.

 

 

Syrie : les deux tiers des quartiers « rebelles » d’Alep de nouveau sous contrôle du régime

 

A Alep, les troupes progouvernementales, au 20e jour de leur offensive de grand ampleur, se rapprochent de leur objectif de reconquérir la totalité de cette deuxième ville du pays, divisée depuis 2012 en quartiers rebelles à l’est et quartiers fidèles au gouvernement légal et légitime de Bachar el-Assad à l’ouest.

Elles ont déjà repris plus de 60% des secteurs tenus par les rebelles qui tentent de résister malgré leurs moyens limités. Depuis le 15 novembre et le début de leur offensive dévastatrice, les forces loyalistes font pleuvoir les bombes et les obus sur ces quartiers tout en avançant au sol avec l’appui de combattants étrangers notamment irakiens et du Hezbollah libanais.

Après avoir repris aux rebelles les quartiers nord d’Alep-Est, l’armée et ses alliés tentent désormais de s’emparer des quartiers sud, notamment ceux de Chaar et Cheikh Saïd où elles livrent combat aux insurgés. Ils se sont emparés dimanche des quartiers de Karam al-Myessar, Karam al-Tahhan et de parties du quartier de Qadi Askar, selon la télévision publique. Les hélicoptères de l’armée ont en outre largué des milliers de tracts sur Alep-Est appelant « les combattants à abandonner leurs armes », a précisé l’agence de presse Sana.

De nombreux pays occidentaux, inquiets pour le sort de leurs petits protégés, les prétendus « rebelles modérés », pourtant vrais jihadistes islamistes, dénoncent « des crimes de guerre » ainsi que les Nations-Unies qui exhortent le gouvernement à autoriser l’entrée de convois humanitaires dans Alep-Est. Mais le régime tient bon dans la reconquête de sa souveraineté sur l’ensemble son territoire avec l’aide de ses alliés. La Russie, qui ne participe pas actuellement aux bombardements mais assure un soutien tactique, a annoncé l’envoi d’aide humanitaire aux habitants d’Alep. « Plus de 30 camions sont arrivés avec des habits chauds, des couvertures et de la nourriture », selon un commandant russe sur place.

En 20 jours, au moins 311 civils, dont 42 enfants, ont été tués dans les quartiers rebelles d’Alep et environ 50.000 seulement de leurs 250 000 habitants ont fui leurs foyers. En effet les islamo-terroristes font régner la terreur dans les populations bloquées sous leur férule et n’hésitent pas à faire feu sur les civils tentant d’emprunter les couloirs humanitaires. Pour preuve, les foules d’habitants se pressant dans les bus du gouvernement pour fuir les quartiers tenus par les terroristes et se rendre dans les zones sous contrôle gouvernemental.

La reprise de l’ensemble des quartiers rebelles, assiégés depuis plus de quatre mois, qui semble proche, pourrait assurer au régime sa plus importante victoire depuis le début de la guerre.

 

 

Entité sioniste : ils pourront faire concevoir et élever le fils de leur enfant décédé

 

Un couple israélien Irit et Asher Shahar ont mené un combat sans précédent pour offrir une progéniture à leur fils décédé, grâce à un prélèvement de sperme posthume. Les Shahar s’apprêtent ainsi à accueillir leur premier petit-enfant d’une manière peu conventionnelle. Depuis que leur fils Omri, capitaine de la marine israélienne, a été tué en 2012 dans un accident de voiture à l’âge de 25 ans, le couple se bat contre l’État pour obtenir le droit de concevoir un enfant à partir d’un prélèvement de gamètes posthumes.

Le combat d’Irit et d’Asher a pris fin en septembre, dans une décision qui fait jurisprudence. Le Tribunal des Affaires familiales de Petah Tikva a accordé la permission à la famille d’élever l’enfant qui sera conçu grâce au sperme de leur défunt fils et d’ovocytes achetés. L’embryon sera implanté dans l’utérus d’une mère porteuse. La décision du tribunal semble être la première du genre, en Israël, mais également dans le monde.

En dépit de la décision de septembre, l’État prépare un appel, en raison des circonstances inhabituelles du cas des Shahar, qui souhaitent être à la fois les parents et les grands-parents de la progéniture d’Omri. En attendant, la cour a prononcé une injonction interdisant à Irit et Asher d’utiliser les gamètes d’Omri.

« Dès que l’injonction sera levée, nous ferons bouger les choses », a déclaré Irit. Cette dernière est confiante et pense que l’État ne gagnera pas l’appel, et pour elle, il n’est pas impossible qu’ils puissent tenir dans les bras le fils ou la fille biologique d’Omri d’ici un an ou deux.

Et en Israël, de nombreux commentateurs affirment que leur requête ne pourrait être rejetée notamment en raison des liens patriotiques évidents qui unissent la famille à Israël quand on observe l’espace entre la cuisine et le salon, transformé en mausolée à la mémoire de leur fils. Nous on voit pas trop le rapport.

Le règne des pervers et des dégénérés…

 

 

Maroc : une cellule de recrutement pour l’État Islamique démantelée

 

Une « cellule terroriste » composée de huit membres « partisans de l’organisation Etat islamique, actifs dans les villes de Fès et de Tanger, a été démantelée jeudi, le 1er décembre », a annoncé le ministère marocain de l’Intérieur.

Selon lui, « un fusil de chasse, une quantité de munitions, des armes blanches ainsi que des documents incitant au djihad, ont été saisis ».

Les membres de cette cellule ont des « liens étroits avec des éléments de Daesh en Syrie et en Irak » et leur objectif était « de recruter des membres pour les envoyer à la zone de conflit et en dernier recours, commettre des attentats dans leur pays d’origine » une fois de retour, selon le ministère.

Sous forte influence du judaïsme politique depuis de nombreuses années, la dynastie des rois du Maroc et commandeurs des croyants milite fortement pour donner l’image d’un « islam modéré ». Pourtant elle est également en pointe dans la lutte contre un jihadisme qui épargne de moins en moins le pays. Certes le pays a connu peu d’attentats meurtriers ces quatre dernières années, contrairement à la France et à d’autres pays. Mais le royaume avait été frappé dans le passé quand des attaques avaient fait 45 morts à Casablanca en 2003 et 17 morts sur un site touristique de Marrakech en 2011.

Les autorités marocaines ont multiplié ces derniers mois les annonces sur le démantèlement de cellules liées à l’État Islamique et l’arrestation de recruteurs présumés pour le compte du groupe.

 

 

Vidéo

 

Jacques Doriot –  Congrès du Parti Populaire Français

 

 

 

 

Radio

 

Méridien Zéro

 

Emission n°290 : “Une Terre, un Peuple !”

A l’occasion de la prochaine table ronde annuelle du mouvement, le dimanche 11 décembre, Méridien Zéro vous propose une émission avec quelques figures de Terre & Peuple : Pierre Vial bien sûr mais aussi Roberto Fiorini, ainsi que Sylvie, Jean-Paul et Yann, cadres du mouvement dans les bannières régionales. Nous reviendrons sur l’histoire de T&P, son actualité mais aussi les questions qui fâchent…

Emission barrée par Krampon et Wilsdorf, JLR comme soutier.

L’émission est ici

 

 

 

Ephéméride nationaliste

 

5 décembre 1987 : parution du 1^er numéro du Choc du Mois

 

 

Agenda

 

11 décembre 2016 :  XXIème Table Ronde de Terre et Peuple

 

© Jeune nation – 2016

Sous la tonnelle de chèvrefeuille, circa 1609, Peter Paul Rubens

(Alte Pinakothek – Munich)