Le quinquennat Hollande finit dans la criminalité et l’insécurité généralisées
Le bilan sécuritaire de François Hollande et de son gouvernement est catastrophique. Un médiat français a publié samedi 8 avril les statistiques du dernier bilan trimestriel des crimes et délits. Celui-ci affiche des résultats atterrants. Excepté les vols d’automobiles et de deux-roues (-6,8 %) et les séquestrations (-8,4 %), toutes les catégories sont dans le rouge.
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Florilège : Les cambriolages de résidences principales ont augmenté de 2 %, les vols à la tire de 4,5 %, les règlements de comptes entre malfaiteurs de 25 %, les homicides et tentatives de 3,5 %, les viols de plus de 8%, les destructions et dégradations volontaires de biens publics et privés de 4,3 % et les outrages et violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique de 1,2 %.
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Sur ce dernier point, les motifs de passage à l’acte sont clairement identifiés. « Il n’y a plus de respect pour le porteur d’uniforme. Une partie de la population, certes minoritaire, cherche à tout prix la confrontation avec l’autorité et refuse souvent le contrôle d’identité » explique Philippe Capon, le patron d’Unsa-police. Dans les quartiers, « le travail serait devenu infernal ».
Et l’invasion migratoire que ni l’Union européenne ni les États membres n’ont voulu voir venir ni empêcher a également sa responsabilité tant elle a bouleversé l’emploi des forces de police susceptibles de venir en renfort dans ces quartiers sinistrés.