Connaissez-vous l’Observatoire Juif de France ?
C’est une de ces associations qui, au nom d’on ne sait trop qui et d’on ne sait trop quoi, passent leur temps à porter plainte contre tout le monde, plus précisément contre ceux qui ont eu le malheur de dire ou d’écrire des choses qui ont déplu aux honorables membres desdites associations.
Les journaux relaient complaisamment ces plaintes, en rivalisant de servilité. Les magistrats ne font pas mieux, et donnent l’impression de n’être plus que de simples exécutants au service de ces associations. Quoi d’étonnant, me direz-vous, puisqu’ils sont désormais formés par la LIC[R]A ?
Si les voies légales ne suffisent pas à apaiser la soif de vengeance de ces bons républicains, ces derniers n’hésitent pas à recourir à d’autres moyens, moins recommandables, en toute impunité d’ailleurs. Rappelez-vous, pour parler d’un exemple récent, quand l’OJE (1) avait diffusé sur Twitter l’adresse de Cassandre Fristot. Par mégarde bien entendu, et sans aucune mauvaise intention !
Si vous allez faire un tour sur le site de l’OJF, vous y verrez la liste des personnes contre qui l’association a porté plainte dernièrement : l’abbé Rioult, le rappeur Amalek, Pierre Hillard, Jim Leveilleur (pour avoir pris la défense de Pierre Hillard), et Johann Livernette (2). On apprend, dans un article du Times of Israël, que l’OJF a également porté plainte contre Ahmed Rami (3), dont le site Radio Islam empêche apparemment de dormir ces associations juives ou prétendues telles (4).
Bref, l’OJF tire sur tout ce qui bouge, comme l’armée israélienne en Palestine occupée, ― avec cette différence toutefois que les Palestiniens sont conscients de ce qui leur arrive, et se défendent comme ils peuvent, tandis que les Français semblent résignés à subir jusqu’à la fin des temps, et sans même s’en rendre compte, la tyrannie de la mafia qui n’existe pas.
Ah, du temps de nos rois, ça ne se serait pas passé comme ça ! Mais que voulez-vous, c’est le temps des droits de l’homme. Surtout de l’homme à deux, trois passeports…
(1) L’Organisation Juive Européenne. À ne pas confondre avec l’OJF, même si c’est de toute évidence la même équipe. L’OJF avait également porté plainte contre Cassandre Fristot.
(2) Sur la page consacrée à la plainte contre Johann Livernette, l’OJF « félicite BTA pour sa collaboration. » BTA (pour « Balance ton antisémite ») c’est ce site tenu par un illettré, manifestement débile mental, qui se permet en toute impunité de dresser une liste d’antisémites, afin de les exposer à la vindicte publique. Les listes « d’antisémites », contrairement aux listes de juifs, sont autorisées, apparemment. La loi vrounzaise est bien faite !
(3) L’inflexible Ahmed Rami, l’héroïque Ahmed Rami, disait le regretté professeur Faurisson.
(4) Il faut toujours se rappeler la remarque de saint Jean à propos de ceux qui se disent juifs. Voyez Apocalypse, II, 9.
Non, pas tout à fait contre tout ce qui bouge:
en 2019, il n’a pas porté plainte contre le SIRASCO (Service d’Information, de Renseignement et d’Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée), un service du ministère de l’Intérieur.
Chaque année, ce service recense les grandes tendances de la criminalité en France, en 2018, il y en avait 5, inutile de citer les quatre autres, juste pour dire que pour aucune d’elles il n’est fait allusion à la dimension ethnique, la seule ethnie montrée du doigt c’est ce que le Sirasco nomme dans la rubrique qu’il lui consacre:
Les Arnaqueurs franco-israéliens
L’essentiel est dit en titre de la rubrique, la dimension ethnique – franco-israélienne – et le lien entre l’ethnie et le type de délinquance: l’arnaque. À lire ce titre, on aurait pourtant presque l’impression d’un lien intrinsèque entre l’ethnie et le type de délinquance.
Et de plus, il y dans cette rubrique deux analyses clés:
1 – Les arnaqueurs franco-israéliens agissent sur un principe de solidarité ethnique (cela renvoie directement à la notion d’ethnocentrisme de Macdonald.
2 – Un sous-ensemble de ces arnaqueurs franco-israéliens considèrent Israël comme un refuge, ce qui est grave puisque cela étend la solidarité ethnique à tout Israël
Ce rapport est cité dans un article du Times of Israel de Pierre-Simon Assouline, journaliste de Libération, et de Simona Weinglass une journaliste d’investigations du Time of Israel qui s’occupe à plein temps de l’escroquerie israélienne, son compteur d’articles a dépassé la barre symbolique des 300, répartis en 4 rubriques: fraude, escroquerie, internet et Forex. L’article date du 18 novembre 2019:
«Police française: l’escroquerie franco-israélienne, principal fléau en France»
Il est dommage que Pierre Assouline fasse profiter de ces informations les lecteurs du Times of Israël – au pays des arnaqueurs – et qu’il en prive les lecteurs de Libération – au pays des arnaqués.
Toujours ce courage et cette honnêteté sans faille de la presse française.
Merci pour cet excellent article. L’essentiel est dit. Je vais régulièrement sur des sites qui relaient ces incessantes accusations et mises à l’index. Je me dis chaque fois, comment est-ce possible. Eh bien, la preuve est là, hélas. Donc, en France, on peut impunément dresser des listes de personnes sous le qualificatif d’antisemites ; pour avoir prononce un mot de trop ou de moins, sortis de leur contexte, En sommes, une version » moderne » de la lettre de cachet. Et le pire encore, c’est que face à celà, il ne se trouve pratiquement personne pour dénoncer cette forme de terrorisme.
*L’ACCUSATION D’ANTISÉMITISME, UNE ACCUSATION RACISTE A COMBATTRE*
https://leblogdedanielmilan.wordpress.com/2022/12/08/%f0%9f%94%b4laccusation-dantisemitisme-une-accusation-raciste-a-combattre/
*L’ACCUSATION D’ANTISEMITISME ?*
J’ai suivi nombre d’affaires depuis 1980 et assisté à une vingtaine procès de personnes accusées d’antisémitisme C’est chaque fois à peu près le même scénario : une ou plusieurs personnes traînées devant un tribunal par 5 ou 6 polices de la pensée parties civiles, représentées par des avocats, pour avoir dit ou écrit un mot de trop, au sujet d’ Israël, d’une idéologie ou de ses tenants, ou encore, contesté des points de l’histoire.
Il faut savoir que toute accusation par une police de la pensée, tient lieu de condamnation à de lourdes peines. Les polices de la pensée agissent de concert, en général quand on en attrape une on les attrape toutes. Leur nombre a augmenté au fil des années. Les arguments de l’avocat de l’accusé ne sont que rarement retenus. C’est un homme pas antisémite pour un sou, que l’on appelle à la barre, et accuse de tous les maux, faisant face au réquisitoire Implacable d’un procureur ou de son substitut et à un tribunal qui écoute juste pour la procédure, ses explications. C’est un homme abattu dont on a nié la bonne foi et toute humanité, que l’on accuse de tous les maux de la terre, qui ressort du tribunal sous les cris d’un public remonté et satisfait d’avoir vaincu « la bête immonde » que l’on lui a présenté. Voilà pour la version softe…et le début de la descente aux enfers d’un homme accusé » d’antisémitisme »…
Daniel Milan
*QUELS COMBATS MENER CONTRE CETTE ACCUSATION RACISTE ? *
Il est médiatique, politique, juridique, législatif, judiciaire, éducatif, d’où la nécessité de créer des structures adéquates pour ce faire : .parti politique, associations de lutte contre cette accusation et de soutien aux victimes.
Cela nécessite d’avoir des éléments de base, des buts, des déterminations , des stratégies et des moyens financiers, et bien sûr, de nombreux membres et cadres, des avocats…Elle doit être présente partout, sur tous les terrains nationaux et internationaux; disposer de moyens et de relais pour agir. La clef de voute des combats doit être l’application des principes de l’égalité humaine et des vrais droits humains, en tout, partout et pour tous, pour enlever tous moyens de nuisance de nos adversaires. Donner la même valeur , les mêmes droits et les moyens de ces droits, aux humains ( ni plus, ni moins) ; la deracialisation des lois et délits sont aussi des éléments fondamentaux de cette égalité. Les moyens existent. Tout cela est possible. Il suffit de la volonté et de la détermination de quelques personnes disposées à s’investir dans ce combat authentiquement humaniste et antiraciste, à mener contre la cause principale des violations des droits humains, en redonnant la même valeur et les mêmes droits aux humains.
Daniel Milan
il faut dire que le terme «anti-sémite» est impropre car le mot sémite désigne les fils de Sem (dans la Bible) et il englobe les juifs ET les arabes.
Ensuite cet épithète infamante s’applique à des personnes qui critiquent DES juifs et non tous les juifs, la critique est trop souvent assimilée à de la haine, discrimination ou appel à la violence ce qui est abusif.
Ainsi, il devient délictueux d’émettre des critiques sur ce que dit ou fait une personne à partir du moment qu’elle est juive ce qui est absurde.
Merci pour votre intervention, cher Calimero, mais on peut aller plus loin…
En effet, comme vous dites, le mot sémite est censé désigner les « fils de Sem » ; mais, contrairement à ce qu’imaginent les gens mal renseignés, si ce terme englobe tous les arabes, prétendument descendant de la servante de SEM, il est bien loin d’englober tous ceux qui se revendiquent juifs, confondant les juifs, c’est à dire les descendants de SEM, et ceux qui pratiquent le judaïsme… ce qui n’est pas tout à fait la même chose !
Si, comme l’affirme le « Mémorial » de Léon Lévi, Président du B’naï Brith en 1900 : » Il n’y a pas de pire erreur que de prétendre que le mot Juif est le nom d’une religion et non d’une race », on notera que plus de 80% des 13 millions de prétendus juifs qui se répartissent dans le monde revendiquent le judaïsme sans être en aucun cas des Sémites.
Le généticien Eram Elhaik, de l’Ecole de Santé John Hopkins de Baltimore a comparé les génomes de 1287 juifs, identifiant des signatures génétiques en majorité Caucasiennes.
Cette origine Caucasienne ne provient évidemment pas d’un peuple du Moyen Orient, mais d’un peuple Turco-Mongol, le peuple Khazar, qui s’est converti progressivement au judaïsme, d’abord en 735, par décision du Roi Bulan, et enfin définitivement, entre 786 et 809, sous l’autorité du Roi Harun al-Raskid.
Vaincus par les Russes, ils ont commencé leur diaspora à partir du Xème siècle après J.C. , d’abord à travers la Russie où ils se sont multipliés, puis en Germanie, en Hollande et progressivement dans toute l’Europe.
Ce sont eux que l’on nomme les Ashkénazes, et qui ont fondé l’Etat d’Israël, mais ne pratiquent pas seulement un antisémitisme rigoureux – Mais oui ! – contre les Arabes Palestiniens, mais aussi contre ces authentiques Sémites que sont les juifs Sépharades, parqués dans les zones frontalières et qui ont toujours été écartés du poste de Premier Ministre, occupé par des Ashkénazes depuis la fondation de l’Etat Hébreux.
Je ne vous demande pas de me croire. Mais donnez-vous la peine de vérifier : ces Ashkénazes qui hurlent à l’antisémitisme en toute occasion :
1 : Ne sont même pas des Semites…
2 : Sont des antisémites virulents !