Philippine… Après Thomas, Lola, Matisse… La France pleure sa jeunesse, assassinée dans des conditions sordides par des individus qui n’ont rien à faire ici, chez nous, puisque même l’administration leur avait ordonné de quitter le territoire. La colère gronde, le peuple de France n’en peut plus de cette insécurité, de ces pans entiers du territoire national devenus des coupe-gorges abandonnés aux mains de mafias étrangères. Bougies, marches blanches, tubes de vaseline du « Padamalgam » : stop !
Mais pouvait-il en être autrement ? « Si les triangles faisaient un Dieu, ils lui donneraient trois côtés… » écrivait Montesquieu (Lettres persanes). Chaque peuple, sur terre, sait bâtir une civilisation conforme à sa nature, à son essence, au génie de sa race. Croire que cette règle d’airain peut avoir des exceptions est un mensonge criminel. Et de nos jours, ce mensonge criminel porte un nom : celui de l’antiracisme. Et c’est ce même mensonge, devenu dogme républicain sinon religion d’État, qui conduit notre système politico-judiciaire à écraser, à persécuter, à enfermer à coup de lois et de jurisprudences toujours plus totalitaires tous ceux qui osent émettre un doute sur la possibilité de recevoir en France et en Europe des masses d’immigrés venus de tous les confins les plus sanglants du globe sans qu’ils y apportent avec eux, leurs mœurs, leurs us et coutumes. Ça n’est pas pour rien que c’est en France et en Europe que la magnifique fleur de la chrétienté a pu éclore en paix et que les paroles des Évangiles, maintenues dans le carcan doctrinal des Églises catholique ou orthodoxe, puis réformées, imprégnées de la sage philosophie des Grecs et du sens politique des Romains, ont donné le fruit de notre douce prospérité, de notre belle gloire et de ces libertés que nous voyons chaque jour disparaître sous les coups des barbares.
Mais est-ce que cette monstrueuse volonté de nos dirigeants politiques, d’accoucher, aux forceps, à tout prix et même sur un monceau de cadavres, d’une société multiraciale en Europe, est née du néant ? Il suffit de s’intéresser à ceux, hommes politiques, bailleurs de fonds ou dirigeants de nos grands médias, qui veulent ce changement de peuple, pour faire cet étrange constat : ceux qui imposent la société plurielle en France sont ceux qui soutiennent Israël en Palestine. Il ne s’agit pas, il faut avoir l’honnêteté de le reconnaître, d’un problème uniquement religieux ou ethnique : parmi cette élite mortifère, Il y a bon nombre d’individus totalement étrangers au judaïsme, tant par leurs origines que par leur pratique religieuse. Mais tous soutiennent, en France comme en Palestine, le grand remplacement des peuples autochtones, au besoin au prix d’un bain de sang…
Et c’est là qu’il ne faut pas se tromper de colère ni raisonner en sophistes.
« Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat » se décline parfois dans les milieux patriotes sous une forme tous aussi absurde : « les assassins de nos jeunes sont arabes, les Palestiniens sont arabes, les Israéliens massacrent les Palestiniens, vive Israël et sa politique se massacres… » La frustration de ne pas voir nos gouvernants réagir plus fermement face à la violence engendrée par cette société multiraciale conduit nombre de Français écœurés à admirer cet État criminel, né par le terrorisme et se maintenant par le meurtre de masse et le génocide.
C’est une erreur fatale.
Soutenir le grand remplacement de Bethléem à Gaza ne mettra absolument pas fin à celui que nous subissons chez nous, de Marseille à Lille en passant par Paris.
« Quand le sage montre le lune, l’imbécile regarde le doigt… »
Les réactions que j’ai lues, au hasard de mes flâneries sur les réseaux sociaux, suite à la mort du secrétaire général du Hezbollah libanais, le Cheikh Nasrallah, m’inspirent ces quelques réflexions.
Le Liban a été déstabilisé, détruit par l’afflux de réfugiés palestiniens essentiellement sunnites, qui a brisé son fragile équilibre communautaire et l’a plongé dans les affres d’une guerre sanglante.
C’est l’État hébreu qui a impitoyablement chassé ces Palestiniens de la terre de leurs pères, de leurs foyers, pour se les accaparer et y installer des Juifs venus du monde entier, au seul motif, brutalement raciste, qu’ils sont juifs… N’était-il pas légitime, pour un religieux chiite, de s’y opposer de toutes ses forces, de toute son âme et par tous les moyens ? La main qui a assassiné Nasrallah est celle qui bâillonne chaque jour un peu plus les Français de souche, qui s’oppose à ce qu’une solution humaine et raisonnable soit trouvée pour que nos jeunes arrêtent de se faire égorger, violer, massacrer.
La remigration est nécessaire et possible. Mais c’est en soutenant partout ceux qui subissent la dictature des fous du mondialisme, des tenants d’une humanité métissée, réduite à une masse de consommateurs et de producteurs déracinés, que nous pourrons l’imposer, pas en nous rangeant, par aveuglement, de leur côté.
Ne nous trompons pas de colère.
Bien sûr, on va parler d’instrumentalisation, mais la différence entre émotion légitime et instrumentalisation a tendance à se résumer à ceci:
1 – Si c’est un noir qui est tué par la police –> émotion légitime qui justifie la mise à sac des centres ville.
2 – Si c’est une blanche catholique qui est violée et tuée par un Marocain –> c’est de l’instrumentalisation dont les auteurs doivent être poursuivi au tribunal.
Quand je vois 50/100 D ENFANTS DE COULEUR OU NON FRANCAIS A LA NAISSANCE…je me dis:
la remigration est elle possible?
L utopie du co-developpent il ne vaut meme pas m en parler car bosser avec ces gens la c est l horreur.
Mefions nous surtout du suffrage universel car il pourrait meme se retourner contre nous qui que ce ne sera pas a nous de nous adapter ?
La remigration n’est possible qu’à condition de changer complétement et radicalement de régime, mais ceci ne sera pas possible, justement, par des moyens du genre « suffrage universel ».
Le suffrage universel est une création parmi d’autres de la raie-publique et de la démocrassie, et à ce titre n’est juste qu’un truc bon à jeter à la poubelle.
C’est surtout que le suffrage universel donne le même droit de vote aux immigrés qu’aux Français.
M. Bonneau,
Excellent commentaire. Merci.
Quelques remarques :
1) J’étais hier à Paris, Denfert-Rochereau, au rassemblement pour Philippine. Environ trois-cents personnes, pour une ville de plus d’un million d’habitants.
2) Une notion à introduire dans le débat, comme vient de le faire très pertinemment le site Médiapart : la notion de race (« un mot qui fait peur, remplacé par des substituts »).
A lire d’urgence : https://blogs.mediapart.fr/sabrina-kassa/blog/260924/responsable-editoriale-aux-questions-raciales-pour-quoi-faire
Aux Etats-Unis, on en discute librement. En Europe, ce n’est que grâce au discours des « racisés » que cette notion réaliste apparaît. L’expression « race blanche » est interdite de fait. Certains se cantonnent prudemment à l' »identité » (ignorant sans doute ce qu’implique un patrimoine ethno-culturel) ; certains évoquent « l’islam » (entité qui progresse toute seule ?). Toujours cette peur – très française -, de s’affranchir des généralités. L’emploi raisonné de la notion de race aurait pourtant un effet positif, le débat s’en trouverait nettement clarifié, et en un sens facilité. Pour réintroduire la notion, pas besoin de provocateurs immatures ni de fantasmes : « Que voulez-vous, quand on mélange les cultures, les religions, les races, ça ne peut pas bien tourner, quel dommage ! » Venu de la gauche américaine des campus, le principe de non-appropriation culturelle est lui aussi excellent : « un Blanc qui porte des tatouages africains se rend-il compte qu’il vole un patrimoine qui ne lui appartient pas ? Shame ! »
La réalité impose le retour de la « race », comprenons « des races ». C’est ce que les assimilationnistes de droite patriote n’ont toujours pas compris, ne veulent pas comprendre, voire ne peuvent pas comprendre. Le drapeau, l’Etat (qui en France est depuis très longtemps l’ennemi du peuple) servent à assurer la « souveraineté » des citoyens.
Donc : s’appuyer sur Médiapart, utiliser son discours, en faire du positif, bien loin des commentaires souvent débiles de certains sites amicaux.
Tant que le retour au réel, inscrit dans les faits, ne se fera pas, les Français se complairont dans leur verbiage universaliste, surtout dans ce qui reste de « droite ».
Ne manquons pas le coche, pour une fois. Les catégories et le vocabulaire sont là : « ennemis du peuple », « respect des races humaines » (« un antiraciste, c’est quelqu’un qui n’aime pas les races »), dénonciation du mondialisme « prédateur », du « parasitisme social », autant d’acquis à s’approprier, à retourner.
Anonyme, permettez-moi de vous suggérer ces deux arguments que j’ai souvent opposés à des gauchiasses ou des gens qui se laissaient gagner (sans s’en rendre compte) par le formatage médiatique ambiant
– faites d’abord remarquer à ces connards que critiquer l’immigration de masse, c’est réfléchir sur les plans économique et social, mais n’a rien à voir le racisme qui consiste à préférer une race à une autre.
– faites leur ensuite remarquer qu’il y a plusieurs races humaines (sans quoi il n’y aurait pas des blancs et des noirs, par exemple) mais qu’il n’y a qu’un seul genre humain.
J’ajoute : Bien sûr, sans avoir recours à l' »inégalité des races » (à grand renfort de points de Q.I et autres universaux scientistes), qui n’a que faire ici (quoi qu’on en pense dans son for intérieur). Si l’on tient que chaque race a ses capacités propres, la comparaison dans l’absolu est inutile, et nous n’en sommes plus à échafauder des systèmes néo-gobiniens. De plus, réintroduire une échelle des races reviendrait à se plier au dogme universel de « la » civilisation et de l' »humanité » indivise, formulé au temps où les Européens dominaient le monde et se pensaient le modèle de l’excellence. Inégales ou pas (suivant quels critères ?), les « races » sont en interdépendance/compétition. Il y a d’autres paramètres aussi à prendre en compte, mais relativement à la situation migratoire et démographique, l’occasion est là.
Donc : introduire pertinemment et sans excès la notion, de même que celle d’ethnie (« peuple », groupe culturel spécifique) et les populariser. Pas facile à « droite » où on préfère souvent la forme au fond.
Ces réflexions de Pierre-Marie Bonneau sont d’une extrême pertinence et d’une parfaite justesse.
Il n’y aurait qu’une petite remarque à y ajouter : qu’on fasse seulement le parallèle entre la mondialisation voulue secrètement par les gouvernements occidentaux et le grand Israël voulu tout aussi secrètement par les pires sionistes, eux-mêmes tout aussi fous et fanatiques que nos gouvernants…
Oui, Tsaritsa, on peut faire des connexions, et nous savons que, généalogiquement, elles apparaissent.
D’un point de vue militant et tout pratique, faut-il présenter au grand public (à convaincre !) un « paquet » global réunissant un point de vue judéo-critique et une critique dure de l’immigration mondialiste ? Je crois qu’il convient de présenter ces questions (qu’un A. Soral entre autres a reliées dans une démonstration qui a ses failles : néo-marxisme, étatisme français, islamophilie, etc.), séparément. On me dira qu’elles sont liées. Mais avant q’elles le soient dans l’esprit public dans un sens politiquement favorable, nous serons finis. Certains pensent avec Vincent R. qu’il suffirait de dévoiler certain mensonge historique pour que tout change. C’est une erreur stratégique. On ne ramènera pas les années 30, et tout le monde s’en fout. En ce sens, toute estampille « national-socialiste » ou hitléro-laudative relève au mieux d’un fantasme. C’est navrant sans doute, mais c’est ainsi. A moins bien sûr d’avoir à sa botte toute la grosse presse et les médiats plus la fonction publique (et de gros moyens financiers que les chers pays musulmans ne fournissent pas).
L’enfermement des droites nationales dans une série de ghettos aliénés est tragique. La question de savoir s’ils sont sympathiques ou pas est sans importance. Sont-ils convaincants en dehors des déjà convaincus ?
Il s’agit de savoir si l’on est efficace ou si on veut être les gardiens purs et durs (?) d’un dogme révélé.
Revenons aux races : il faut en Europe réintroduire la notion. Mais intelligemment. C’est là qu’il faut innover.
« ANONYME » …
Votre critique de l’ami Vincent, mais aussi – hélas ! – de la ligne générale de RIVAROL est tristement justifiée.
Une fois de plus, l’intelligentsia de droite se laisse docilement manœuvrer par nos adversaires, qui nous imposent les thèmes, le terrain et l’époque d’un débat accusatoire qui n’en finit pas de nous mettre en position de défensive… Alors que nous disposons de tous les éléments pour passer à l’accusation !
C’est ce que, les spécialistes de l’intoxication des masses appellent « Un abcès de fixation », détourant toute notre énergie vers un débat datant de 3/4 de siècle et ne concernant, ni les parents, ni même les grands parents de la génération actuelle.
Génération actuelle qui a pourtant toutes les raisons de dénoncer fermement un GENOCIDE, celui perpétré chaque jour et sous ses yeux au détriment de ces différences ethnoculturelles qui faisaient toute la richesse de l’humanité et sont menacées par les déplacements de populations conditionnant le grand magma déculturé, déshumanisé et docile accompagnant nécessairement la mondialisation.
Quant on mesure l’immense effort de nos adversaires pour imposer à l’inconscient collectif toute l’horreur du monde associée au terme GENOCIDE…
Comment pouvons nous laisser passer l’occasion de retourner cette arme de destruction massive contre ceux-là même qui l’ont ourdie contre le camp National ?
Si nos « penseurs » et décideurs de droite avaient la moindre notion du contrôle psychologique de l’opinion…
JAMAIS LE TERME « MONDIALISATION » NE SERAIT EMPLOYE AUTREMENT QU’ASSOCIE AU TERME « GENOCIDE » !
C’est l’une des théories que je développe dans le récent guide de combat psychologique « DESINTOX passive… active… et mémorielle », que je viens de publier.