En Une, Le Parisien s’interroge : « La France devient-elle RACISTE ? » Rue89 ne se pose plus la question et se demande simplement comment le quantifier : « La “France raciste”, comment ça se mesure ? ». Dans cet article, Rémi Noyon ne craint pas d’y dévoiler une « carte du racisme » où la France (comprendre : celle les Français blancs) apparaît 10 fois plus raciste que l’Afrique du Sud et même plus raciste que le Zimbabwe, où les Blancs ont fait l’objet d’une épuration ethnique générale. Mais peu importe les mensonges des journalistes du système : l’essentiel est de matraquer l’opinion pour empêcher toute possibilité de réflexion et culpabiliser le Blanc. « Les actes racistes en constante augmentation depuis 20 ans en France » assène RTL, quand le Figaro signale des « Inquiétudes face à la montée du racisme en France » ; pire encore : le racisme pourrait être devenu politiquement correct, s’insurge France 24. Seule ombre au tableau : Marianne qui évoque « Le fantasme de la France raciste ».
Cette avalanche de lieux communs, de raccourcis, de mensonges propres à l’anti-France a été déclenchée par deux tribunes publiées dans la presse auparavant, par Christiane Taubira et Harry Roselmack. L’Africain journaliste failli de TF1 s’est trouvé une bonne excuse pour expliquer ses échecs professionnels : « La France raciste est de retour », clame-t-il dans Le Monde. Quand il fut propulsé présentateur du journal de 20 heures de TF1 à cause de sa seule couleur de peau, il s’est persuadé que c’est à son talent qu’il le devait. C’est pourtant clairement dans une politique générale de suppuration ethnique que les écrans de la télévision française ont été noircis à partir des années 2000 et que, peu de temps avant que lui-même ne soit nommé à TF1, Audrey Pulvar obtenait la présentation du journal de 19 heures sur France 3.
Christiane Taubira a publié concomitamment un entretien dans Libération, dont l’essentiel a été repris sous le titre : « Ces attaques racistes sont une attaque au cœur de la République ».
Dans une envolée victimaire chère à son peuple, Christiane Taubira s’étonne qu’aucune « belle et haute voix » ne se soit exprimée après les attaques dont elle prétend avoir été victime.
À moins de ne pas considérer les voix des députés comme belles et hautes, Christiane Taubira ment. Dès le 30 octobre 2013 les députés du système lui ont offert une ovation.
Mensonge puisque Christiane Taubira, ce même jour, avait remercié publiquement le Premier ministre pour ses « paroles de soutien qui n’ont jamais manqué » et aux élus auxquels elle adressait un « Merci à tous pour cette solidarité ».
Menteuse toujours Christiane Taubira qui prétendait, la veille, qu’elle ne voulait « pas en faire un feuilleton », mais qui a attendu une semaine pour créer un nouvel épisode à ce feuilleton en s’offrant une tribune dans le journal de Rothschild Libération au titre alarmiste : « Christiane Taubira : “Des inhibitions disparaissent, des digues tombent” ».
Jean-Marc Ayrault, qui avait apporté son soutien à l’insatiable dès qu’il avait appris la chose puis l’avait renouvelé à plusieurs reprises, feignant d’ignorer les attaques de Taubira contre sa laide et basse voix ; il lui a renouvelé hier son soutien :
« Il ne faut rien laisser passer. J’ai exprimé à Christiane Taubira ma solidarité immédiatement lorsque j’ai lu ces propos racistes, parce qu’ils sont racistes. […] Il faut être d’une très grande clarté, d’une très grande netteté, d’une très grande fermeté. »
Même son de cloche – cela ne surprendra personne – à l’Élysée.
« Le président de la République a renouvelé son soutien à Christiane Taubira face à la gravité extrême des insultes racistes qui ont été proférées à son endroit. Il a appelé à la plus grande fermeté et la plus grande vigilance en la matière »
a déclaré Najat Vallaud-Belkacem au nom de François Hollande.
Outre les médiats et les politiques, l’association communautariste anti-française CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) s’est invitée dans le débat, tentant de faire oublier le tragi-comique puputsch qui a ébranlé l’association il y a quelques semaines et laissé l’association très affaiblie. Louis-Georges Tin, l’homosexualiste de poids qui s’en prétend président, n’avait été confirmé dans ses fonctions de président que par le tribunal de grande instance de Paris, alors que les adhérents avaient voté pour Madeira Diallo, sous le parrainage de Patrick Lozès, le fondateur du CRAN.
L’association a annoncé avoir déposé plainte pour injure raciale contre Anne-Sophie Leclere, ancienne candidate du Front national aujourd’hui lâchée par ce parti et lynchée par l’ensemble du système pour avoir publié sur une page Facebook la photo de Taubira et d’une guenon, pour illustrer la sauvagerie des décisions de la ministre de la Justice, ignorant les victimes et sacralisant les criminels. Dans la vaste offensive menée contre la France et les Français, le CRAN ne se trompe pas de cible : les procès, les condamnations, les agressions contre les Blancs ne suffisent pas. Il faut plus.
« Mais un procès ne suffira pas, il faudrait des mesures politiques fortes »
réclame Louis-Georges Tin.
Voilà la France soumise à une entreprise nationale de sidération mentale antiraciste. Alors que chaque jour des Blancs sont insultés, agressés du fait de leur couleur de peau, dans leur propre pays, le gouvernement, les médiats, les associations communautaristes africaines lancent une vaste offensive pour dénoncer le prétendu « racisme » des Français. Selon ces destructeurs, les Français devraient se taire, et simplement accepter d’être toujours plus envahis, soumis, métissés, sous peine d’être accusés de racisme par ceux qui nous dirigent. En attendant que le génocide des Blancs ne soit définitif.
Antiraciste est un nom de code pour antiblanc.
Remarquable analyse d’Erwin Vétois. Bravo ! Leur foi est sapée: tentative de génocide au nom de la Tolérance c’est mince comme alibi. Tels la racaille, ils gesticulent les inversions accusatoires pour s’innocenter. Du balai la mafia!