Du 21 au 30 mars 2025, Paris, symbole de la grandeur française, se transformera en théâtre d’une infamie : la Semaine Anticoloniale et Antiraciste. Sous cette bannière fallacieuse, le FLNKS et une cohorte de séparatistes viendront cracher leur venin sur une France accusée de tous les maux coloniaux. Pendant dix jours, ces agitateurs, engraissés par la liberté qu’ils méprisent, auront champ libre pour vilipender la nation. Et pendant ce temps, à l’autre bout du monde, les Calédoniens ploient sous les assauts d’une barbarie indépendantiste : pillages, incendies, violences, dans l’indifférence médiatique la plus totale.
Le FLNKS, fossoyeur de la démocratie
Le FLNKS se drape dans l’étendard de la libération, mais ses actes puent le rejet de la volonté populaire. Trois fois – 2018, 2020, 2021 – les Calédoniens ont voté, dans le cadre des Accords de Nouméa, pour rester dans le giron français. Trois fois, ils ont dit non à l’indépendance, avec une clarté que seuls les sourds volontaires refusent d’entendre. Mais le FLNKS, allergique à la démocratie quand elle le contrarie, préfère hurler à la manipulation plutôt que de plier devant les urnes. Et cela, malgré un corps électoral truqué depuis 1998 en leur faveur, qui n’a pourtant pas suffi à briser l’attachement des Calédoniens à la France, leur bouclier contre l’anarchie.
Nouvelle-Calédonie : l’enfer occulté
À Paris, le FLNKS jouera les pleureuses. En Nouvelle-Calédonie, les habitants, eux, survivent dans un cauchemar bien réel. Les émeutes de 2024 ont fauché 13 vies, dont deux gendarmes, et semé la ruine : commerces saccagés, bâtiments réduits en cendres. À Nouméa, un militaire a été tabassé sans pitié. Les flammes criminelles, signature des indépendantistes, consument tout sur leur passage pour briser les esprits et semer le chaos. Mais ce carnage, ces cris, ces larmes ? Balayés sous le tapis par des médias complices, trop occupés à relayer les jérémiades des séparatistes pour montrer leurs méfaits.
Une France qui s’offre à ses bourreaux
La Nouvelle-Calédonie a choisi la France, non par contrainte, mais par une fidélité maintes fois proclamée. Et pourtant, la voilà livrée en pâture à ses détracteurs, en plein cœur de sa capitale. Quel pays se saborderait ainsi, offrant une tribune dorée à ceux qui veulent le déchirer ? Quelle nation souveraine laisserait ses ennemis internes la poignarder sous prétexte de liberté d’expression ? Pendant cette semaine maudite, Paris deviendra le terrain de jeu des forces anti-françaises, libres de déverser leur haine sans retenue, transformant la ville lumière en champ de ruines idéologiques.
La France, en se pliant à cette mascarade, se renie elle-même. Tolérer ces assauts, c’est tendre le cou au couperet. Si l’État ne se respecte pas lui même, qui le fera ?
Le sursaut ou la chute
Il faut dire non. La souveraineté ne se brade pas, elle s’arrache aux griffes de ceux qui la piétinent. À vous, loyalistes calédoniens, qui résistez face à la tempête, nous, nationalistes français, tendons une main ferme et fraternelle : vous n’êtes pas seuls. Mais méfiez-vous : la République porte la trahison dans ses gènes, comme elle l’a montré avec les Français d’Algérie et les Nouvelles-Hébrides devenues Vanuatu, et les conséquences en sont toujours dramatiques.