Ce mardi 5 octobre sera publié le rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (Ciase)
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Après deux ans et demi de travaux, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise, installée depuis le 8 février 2019, remettra ce mardi 5 octobre 2021 à 9 heures son rapport à ses mandants, Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, et Sœur Véronique Margron, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France. Inutile de dire que pour l’Eglise catholique, l’épreuve sera rude.
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On remarquera que c’est l’Eglise catholique elle-même qui a instauré cette commission d’enquête, et non la justice française.
Par ailleurs, la publication de ce rapport ne se fera pas en catimini : le rapport de la commission sera présenté par son président, Jean-Marc Sauvé, lors d’une réunion qui sera retransmise en direct sur la chaîne catholique KTO ainsi que sur le groupe Facebook de la CIASE. Après des années de silence, l’Eglise entend manifestement faire publiquement le ménage.
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On souhaiterait que l’islam et le judaïsme, largement plus obérés par ce mal que ne l’est l’Eglise du Christ, aient le courage de nos évêques. On peut toujours rêver : la pédophilie est institutionnelle tant dans l’islam que dans le judaïsme.
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On rappellera ainsi que Aïcha n’avait que 6 ou 7 ans quand Mohammed l’épousa. Lorsque le mariage fut consommé, Aïcha était âgée de 9 ou 10 ans, et le « prophète » de l’islam en avait quant à lui 52… Il est néanmoins interdit de qualifier Mohammed de pédophile. Dans un verdict rendu le 25 octobre 2018, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a ainsi confirmé la condamnation d’une journaliste autrichienne, Elisabeth Sabaditsch-Wolff, ayant accusé Mahomet de pédophilie lors d’une conférence qu’elle a tenue en 2009.
La CEDH a privilégié « le droit des autres personnes à voir protégées leurs convictions religieuses » plutôt que la liberté d’expression.
Pour la CEDH, les actes pédophiles font donc partie des pratiques licites en islam et la défense des enfants ne saurait prévaloir sur le maintien de la paix civile avec les quelque 30 millions de musulmans que compte l’Union européenne.
En 1982, trois ans après l’instauration de la République islamique d’Iran, l’âge légal minimum du mariage pour les filles est tombé de 18 à 9 ans. Rien d’étonnant à cela : les musulmans considèrent Mohammed comme « le beau modèle », celui dont les actes et le comportement doivent être en tout point imités par chaque adepte de l’islam.
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Quant au judaïsme, c’est rigoureusement sans état d’âme que le Talmud autorise la pédophilie :
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A propos du rapport de la CIASE, le livre de Pierre de Charentenay, Tolérance Zéro :
publié récemment aux éditions Salvator, offre des clés pour s’y préparer et des ressources pour en assumer le poids…
Pierre de Charentenay a été rédacteur en chef de la revue Civiltà Cattolica. Il est aujourd’hui directeur associé de l’Institut catholique de la Méditerranée.
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ALEX A PART CRACHER TA HAINE SUR L EGLISE CATHOLIQUE CHAQUE SEMAINES TU N AS AUCUN ARGUMENT ET AUCUNE INTELLIGENCE POUR COMPRENDRE CE QUI SE PASSE DANS L EGLISE.JE TE PARDONNE ET JE TE LAISSE AVEC TA HAINE.RETOURNE AU PARTIS COMMUNISTE.
« la pédophilie est institutionnelle tant dans l’islam que dans le judaïsme ».
Totalement exact.
Mais comme la France est la fille aînée de L’église, la Gueuse est la fille aînée des loges, elles mêmes affiliées aux juifs. Et ces derniers sont les pires pervers que cette terre ait engendré, bien loin même devant les musulmans pourtant si friands de jeunesse… Il faut dire que 5000 ans d’inceste, de rapports consanguins et de mutilations infantiles, ça laisse des traces indélébiles… Et ce ne sont sûrement pas Daniel Cohn Bendit ni Roman Polanski qui me contrediront.