« Il n’y a de résurrection que là où il y a des tombeaux. » Léon Tolstoï
Samedi 4 février, à l’appel des Nationalistes et du Cercle Franco-Hispanique, nous avons célébré nos morts des « Six février » :
- les courageux patriotes et manifestants des « journées sanglantes du six février 1934 » en lutte contre les voleurs de leur République en rapport avec les compromissions de l’affaire Stavisky,
- Robert Brasillach, l’homme de plume fusillé lors de leur libération un six février 1945,
- ainsi que Maurice Bardèche, beau-frère de Robert Brasillach, et Pierre Sidos qui fonda L’œuvre Française un six février 1968, que nous associons traditionnellement en ce jour.
Après le rassemblement et les prises de parole au cimetière de Charonne le matin, puis le banquet du midi, nous apprenions que notre recours devant le Tribunal administratif avait été rejeté concernant la marche aux flambeaux (déposée en préfecture) qui devait se tenir depuis le parvis de l’église St-Germain des Près jusqu’aux abords de l’Assemblée Nationale (où tombèrent les 22 Français tués par leur République et où des centaines d’autres furent blessés).
Le 2 février, la marche aux flambeaux avait été interdite par un arrêté de Laurent Nunez, préfet des éborgneurs de Gilets Jaunes.
Le soir, nous avons donc déposé des fleurs, place de la Concorde, sur les lieux de l’émeute, puis symboliquement, nous nous sommes rassemblés devant l’assemblée dite nationale en signe de protestation contre cette interdiction :
Aujourd’hui comme hier, un seul mot d’ordre :
« A bas les voleurs ! »
Pour aller plus loin :
6 février 34 : Le vrai visage de la République
Robert Brasillach 31 mars 1909 – 6 février 1945
Le 6 février, promesse de la délivrance
Hommage à Benedetti qui continue le combat malgré le faible nombre de participants (20 personnes).
Mais il faut quand même se demander pourquoi si peu de participants alors qu’ils sont 1.5 millions dans les rues pour les retraites ?