Il ne s’agit évidemment pas d’une mesure du gouvernement d’occupation Valls-Hollande qui, bien au contraire, favorise plus que jamais l’invasion de la France par des centaines de milliers d’étrangers inassimilables et potentiellement très dangereux. Cela n’empêche pas les oligarques du PS de pleurnicher après les crimes – certains en tout cas, les crimes racistes antiblancs étant entourés d’un profond mutisme des autorités – terroristes et utilisant ce prétexte pour restreindre les libertés des Français.
Cette expulsion a été décidée par le gouvernement camerounais. Environ 2 500 ‘migrants’ clandestins et musulmans ont été renvoyés vers le Nigéria jeudi. Tous ont été récupérés à Kousséri (Extrême Nord, extrême nord-est), ville qui jouxte la capitale tchadienne N’Djamena, placés dans des camions-bennes et immédiatement expulsés. Avec peu de matériel et un peu de volonté, l’opération a été parfaitement réalisée en quelques heures.
Cette mesure de salubrité publique a été adoptée après de nombreux attentats suicides dans la région, commis par des nihilistes du Groupe sunnite pour la prédication et la lutte (Jama’atu Ahlis Sunna Lidda’Awati Wal-Jihad, dit Boko Haram) ou des individus manipulés par ce dernier. Trois attaques de ce type ont ainsi été commises dans cette région entre le 12 et le 25 juillet, ayant fait plusieurs dizaines de morts. D’autres mesures ont également été adoptées, comme l’interdiction du port du voile islamique. Contrairement à la France, ce texte de loi devrait être respecté et les autorités, contrairement à celles de France, ne devraient pas favoriser le viol de la loi par les occupants.
« Avec ces attentats, le ton des autorités a changé. […] Elles ont demandé que les étrangers et les déplacés des zones frontalières rentrent chez eux »,
a déclaré une source sécuritaire.
Le même jour, un terroriste originaire de Bama, au Nigéria, âgé d’une quinzaine d’années a été arrêté à Maroua, la capitale de la région. Deux autres islamistes, des Camerounais, ont été arrêtés et un troisième est activement recherché. Les crimes de la secte se poursuivent dans la région (cf. le chapitre « Le monde en guerre » du journal du jour de Jeune Nation).