Depuis la mise en évidence d’une puissante volonté à l’intérieur même de l’Allemagne de favoriser l’invasion et la destruction de l’Allemagne, les réactions d’opposition des Allemands se multiplient. Si elles sont unanimement dénoncées par les médiats et les autorités religieuses, sectaires, politiques, syndicales, etc., elles se développent dans toutes les classes de la population.
Cette liberté de mouvement et de parole est devenue insupportable à Angela Merkel, l’ancienne cadre du Parti communiste est-allemand quand celui-ci faisait assassiner les Allemands qui tentaient de passer à l’Ouest.
« Quand des gens attisent la sédition sur les réseaux sociaux en utilisant leur vrai nom, ce n’est pas seulement l’Etat qui doit réagir. Facebook, en tant que compagnie, devrait faire quelque chose contre de tels propos. Les règles doivent être appliquées »,
a déclaré Angela Merkel, qui dirige le gouvernement d’occupation en Allemagne organisation l’invasion méthodique du pays, et qui ne se cache plus que l’objectif et de « changer » l’Allemagne.
Tout message s’étonnant que les migrants qui prétendument cherchent à fuir la guerre refusent d’aller en Turquie, au Qatar, en Arabie séoudite, en Hongrie, en Grèce, en Serbie ou ailleurs, alors que par un miracle généralisé, c’est unanimement tous qu’ils veulent envahir l’Allemagne, tout message rappelant les innombrables crimes commis par les occupants sont considérés comme des « messages de haine » et du « racisme » par le système.
À l’image de son homologue français, le gouvernement d’occupation en Allemagne a interdit de nombreux mouvements depuis l’occupation du pays en 1945. Ces dernières années, il a tenté à plusieurs reprises de faire interdire le Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD, Nationaldemokratische Partei Deutschlands), y compris en infiltrant des agents provocateurs en son sein, et a mené plusieurs campagnes de répression contre différents mouvements nationalistes comme les nationalistes autonomes et des groupes locaux ou provinciaux.