Plutôt que de rétablir les contrôles aux frontières dans chaque pays, la mondialiste « Union européenne » (UE) propose désormais, à son parlement, des « gardes-frontières et gardes-côtes européens » dans l’espace Schengen.
Créer un problème supplémentaire au lieu de supprimer le précédent
Autrement dit, au lieu de laisser leur souveraineté nationale aux pays de l’UE, les activistes de celle-ci veulent imposer la présence de forces de police et militaires internationales dans les pays envahis et pas seulement aux frontières dudit « espace Schengen ».
Or, les polices, douanes et armées, pourtant nationales, vu qu’elles sont placées sous les ordres de gouvernements fantoches à la solde de l’Occupant… et lui obéissent, font déjà l’inverse de leur travail, empêchant les nationaux de se défendre contre l’invasion et ses méfaits criminels, mais protégeant… les clandestins qui ont violé nos frontières, y compris quand ils manifestent dans nos rues sans autorisation, la Justice se chargeant, elle, de relâcher les migrants des générations précédentes.
Ce déploiement envisagé d’une force internationale est donc une déclaration de guerre aux peuples qui devront obéir à des agents étrangers armés, comme ce fut le cas en Grèce, selon des témoignages concordants, durant les émeutes pré-électorales avant que la coalition d’extrême gauche ne soit élue et applique une politique… à la Hollande-Valls.
Il s’agira d’un nouveau coup d’Etat institutionnel, un énième renoncement à leur souveraineté de pays dits « démocratiques »… sans en référer aucunement aux peuples !
Mais cette mesure présentera peut-être un avantage, à savoir que l’occupation que nous subissons se verra mieux, ceux qui se contentent de la désinformation par le système pouvant plus facilement constater que les occupants armés parleront une autre langue et/ou arboreront un drapeau d’une autre contrée que celle du pays.
Avec un autre inconvénient : s’ils rejettent la faute sur la police de l’autre, ça risque d’entraîner les Européens à se détester entre voisins, alors que le problème réside dans la délivrance des pays d’Europe, non dans une confrontation entre eux.
Leur inutile (mais très coûteux) parlementarisme européiste
Durant sa courte intervention au Parlement européen de Strasbourg ce 15 décembre, le député français Bruno Gollnisch (absent de la direction du Front national mariniste) a rappelé comment a été instauré, en toute opacité, leur « espace Schengen », avant d’être imposé au Parlement européiste-croupion…
Mais il rejette la faute présente d’ouverture à la submersion migratoire sur la seule Angela Merkel. Certes, celle-ci, passée, en 1990, directement du parti communiste d’Allemagne de l’Est au libéralisme de l’Union des chrétiens démocrates (CDU) n’est digne d’aucune confiance. Mais son passé longtemps caché en a fait une marionnette, dans un pays placé sous occupation militaire depuis plus de soixante-dix ans, ce qui restreint bigrement la marge de manœuvre des Allemands, ne serait-ce que pour choisir les candidats aux élections, sinon pour changer de régime politique, sans parler d’avoir accès à leur histoire telle qu’elle fut et non pas telle que les vainqueurs en décidèrent pour stériliser l’Allemagne.
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Leur « Espace Schengen » officiel
La version servie par les médiats-menteurs est que l’idée d’un espace Schengen serait née subitement quand un européiste serait resté coincé à une frontière entre deux pays européens durant une fin de semaine.
En réalité, les négociations ont été cachées aux parlementaires de Strasbourg, mis devant le fait accompli une fois la forfaiture réalisée.
De droit (quoiqu’illégitime et dictatorialement imposé), leur « espace Schengen » comporte 26 pays, depuis l’Islande au nord-ouest à Chypre (à moitié occupée par la Turquie) au sud-est, et depuis le Portugal au sud-ouest à la Scandinavie et aux États baltes, au nord-est.
Le résultat de cette aberration
De fait, le Tunnel sous la Manche rend très vulnérable l’Angleterre… et a donc transformé la France en base arrière pour les futurs caïds de l’asservissement sexuel des Blanches à Rotherham et alentours.
Son instauration a rendu la circulation libre pour tous les envahisseurs, une fois qu’ils ont mis le pied en Europe, et facilité la constitution de mafias tant intérieures qu’extérieures, venant pratiquer la razzia avant de se replier avec le butin. Ainsi, malgré sa position « extérieure », l’Angleterre a subi des vols de tracteurs agricoles, à destination… d’Europe de l’Est !
La mise en place a été prétendument accompagnée d’un renforcement des contrôles aux frontières « extérieures » dudit espace, mais on voit que les marines nationales, gendarmeries et polices ne repoussent pas les assauts. Au contraire, elles les facilitent, en allant recueillir en mer les assaillants et en protégeant les jungles qu’ils constituent, telle celle de Calais, et où on leur apporte nourriture, eau, douche, etc., y tolérant tous les trafics matériels et de traite humaine, ainsi que la prédation directe contre les Européens, aux abords de ces « zones de non-droit » supplémentaires.
D’ici 2020, très probablement avant
Frontex a échoué et Schengen a montré qu’il fallait rétablir de contrôles frontaliers.
Mais la Commission de Bruxelles souhaiterait créer un corps plus important encore que l’Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne (AEGCOFEÉMUE, dite Frontex, FronTières extérieures).
Non pas, comme clamé, pour protéger l’Europe où 1,5 million de clandestins sont entrés en 2015 sans contrôle préalable (en plus de ceux qui ont été répertoriés à l’entrée), mais en imposant aux États, y compris contre leur volonté, des interventions d’urgence.
C’est-à-dire, forcément, de l’humanitaire pour accueillir les migrants de plus en plus nombreux et les répartir encore plus vers les pays du Nord, dont la France, pour délester l’Italie et la Grèce, non seulement submergées, mais également aux gouvernants plus qu’accueillants et avec qui il serait donc logique de fermer les frontières intra-européennes !
Leur seul but est de maintenir la libre circulation (monnaie, biens et personnes)… et de répertorier les envahisseurs, façon de les régulariser d’emblée pour finir de détruire l’Europe.