Ursula Haverbeck, 93 ans, bientôt de retour en prison ?
Ursula Haverbeck, mémorialiste et éditrice de 93 ans, était de nouveau devant un tribunal régional de Berlin il y a quelques jours pour une nouvelle audience d’appel liée à une peine de 12 mois de prison pour deux « infractions » de « négation de l’Holocauste ».
Cette femme de 93 ans refuse de se taire. Elle refuse de croire et professer la version officielle de l’Holocauste telle qu’elle résulte du jugement de Nuremberg et elle risque à nouveau des mois voire des années d’emprisonnement.
Devant ses juges, Ursula Haverbeck s’est défendue contre deux condamnations pour « sédition » prononcée par le tribunal de district de Berlin-Tiergarten qui lui avait imposé une peine de prison de six mois en 2017 et une autre peine d’un an de prison prononcée en décembre 2020 dans un autre procès. Elle avait interjeté appel.
En 2004, la grande résistante allemande avait été reconnue coupable pour la première fois de négation de l’Holocauste. Plus récemment, de 2018 à 2020, des peines de prison ont été prononcées contre elle sans possibilité de libération conditionnelle. Elle a déjà payé plusieurs amendes et a été incarcérée à la prison de Bielefeld pour ces faits, purgeant au moins 30 mois d’emprisonnement rien que pour le « crime » d’avoir usé de sa liberté d’expression et de pensée. Elle était sortie de prison en novembre 2020.
Le tribunal régional de Berlin a donc rejeté le 1er avril son appel contre les deux condamnations pour négation de l’Holocauste estimant que la peine ne pouvait pas être suspendue parce que Haverbeck n’avait montré aucun remords ni aucun signe de repentance lors des audiences.
Car, dans toutes ces affaires de poursuites anti-révisionnistes, ce que veulent les pouvoirs et les juges c’est que l’hérétique abjure son hérésie et professe sa foi dans la nouvelle religion.
Le pouvoir à Berlin continue de poursuivre et embastiller des personnes d’un âge extrêmement avancé, soit insoumis à la version shoatique officielle, soit ayant supposément « participé » à des événements remontant à plus de 77 ans.
Perseverare diabolicum…
Günter Deckert nous a quittés
Günter Deckert (né le 9 janvier 1940) est décédé jeudi 31 mars 2022 à l’hôpital de Weinheim à l’âge de 82 ans.
Il y a deux semaines, lors du débat sur le budget de la ville de Weinheim, Günter Deckert a été expulsé de la salle par la police « en raison de propos incitant à la haine et racistes ».
Günter Deckert assumait pleinement ses convictions révisionnistes malgré une répression qui ne lui passait rien et qu’il supportait sans faiblir et avec stoïcisme. Günter Deckert avait enseigné l’anglais et le français au lycée de Mannheim de 1968 à 1972 et jusqu’en 1988 à Heidelberg et à Ladenburg.
De 1991 à 1996, il avait été président national du NPD dont il était membre depuis 1966. En 2005, Günter Deckert avait été démis de ses fonctions au sein du parti à cause de ses convictions, qui lui avait valu d’être incarcéré à plusieurs reprises, dont cinq années consécutives de novembre 1995 à octobre 2000. Il avait encore été emprisonné pendant cinq mois de janvier à mai 2013.
Au printemps 2011, Günter Deckert avait honoré de sa présence la rencontre pour les Révisionnistes proscrits organisée par Jacques Vecker en son château de Vaugran.
Günter Deckert, présent !
Babi Yar s’associe à un prêtre français pour documenter les « crimes de guerre » russes
Selon Times Of Israël, « les témoignages oculaires seront essentiels pour prouver que des civils ont été pris pour cible par les Russes ». Et le Père Patrick Desbois, prêtre catholique français qui, depuis 2004, dirige une initiative internationale visant à localiser les sites de prétendues fusillades de masse perpétrées en Ukraine pendant la Shoah, va s’associer au centre commémoratif de la Shoah de Babi Yar (celui qui n’a pas été détruit par un bombardement russe contrairement aux affirmations de la marionnette Zelensky) pour documenter les « crimes de guerre » présumés commis par la Russie en Ukraine.
Une unité créée par le mémorial de Babi Yar en collaboration avec le groupe de Desbois, « Yahad in Unum », recueillera des témoignages et des preuves de civils qui ont été pris pour cible, dans le but de contribuer à une enquête internationale sur les crimes de guerre.
Le père Desbois a affirmé dans un communiqué que les témoignages oculaires seront essentiels pour contrer les affirmations russes niant tout acte répréhensible :
« Il y a presque 20 ans, mon organisation Yahad In Unum et moi-même avons commencé à enquêter sur ces crimes que l’on appelle « la Shoah par balles » commis en Ukraine puis dans d’autres pays ainsi que dans chaque village occupé par les unités nazies. Je n’aurais jamais pensé qu’en 2022, je devrais à nouveau enquêter sur des crimes de guerre sur ces mêmes terres. »
Voilà ce qu’en disait le professeur Robert Faurisson :
« Les personnes qui prétendent avoir découvert ces « charniers » n’ont, en réalité, procédé à aucune fouille, aucun décompte, aucune vérification, aucune autopsie, aucune constatation physique ou matérielle du type que prévoit obligatoirement tout protocole d’enquête en cas de découverte, où que ce puisse être, d’un seul cadavre. Aucun officier de police ou de justice n’est venu sur place procéder à une investigation quelconque. On devra ajouter foi aux dires des représentants de deux associations juives qui osent nous raconter que, si ces procédures, qui sont pourtant normales et de routine, n’ont pas été suivies, c’est parce que la religion juive interdirait qu’on « profane » ainsi les cadavres de juifs ! »
Voici donc maintenant l’implication dans l’affaire ukrainienne, contre la partie russe, des « chasseurs de nazis et de charniers » qui ont fait la preuve de leurs méthodes approximatives et biaisées au service de la grande supercherie. C’est un indice significatif de plus que ces forces sont à l’œuvre et prêtes à tout pour manipuler les opinions publiques et embarquer les pays et les peuples européens dans des aventures bien éloignées de leurs intérêts.
Merci pour cette excellente lettre d’information qui met en valeur, des personnages que l’on ne peut qu’admirer, par leur probité, leur courage et leur fidélité.
Par contraste, ce qui se passe présentement en Ukraine était à redouter… car l’on retrouve toujours les mêmes aux commandes, passés maîtres dans la fourberie et la manipulation des masses.
La pire racaille est moins harcelée par la « justice » que les révisionnistes. Quel courage cette grande dame allemande, à son âge! Quelle honte de cette Allemagne actuelle dans la lignée de la France dans cette dictature européenne
Hommage à cette grande dame pour son combat, être mise en prison à son âge c’est une honte!!