Danemark : « le viol des enfants fait partie de la culture des migrants »
Une mosquée danoise de Jutlan, défraie la chronique depuis quelques jours du fait des déclarations de son imam, interrogé en caméra caché. Le prédicateur Abu Bilal Ismail a exprimé en termes crus le contenu de la doctrine islamique, sans fard ni maquillage politiquement correct.
Dans le documentaire l’imam justifie le viol d’enfants commis par des migrants récemment arrivés dans le pays, au motif que ceci fait partie de leur culture. Il répond ainsi à diverses questions : « Si une femme mariée ou divorcée commet la fornication, et si elle n’est pas vierge, elle doit mourir par lapidation ». Ou encore : « Celui qui viole les lois du mariage, qu’il soit homme ou femme, commet l’adultère et son sang nous est halal, et il doit être tué par lapidation. Si la femme est vierge, elle doit être punie par le fouet ». Il valide aussi le principe, pourtant d’origine judaïque, de la loi du talion (« oeil pour oeil… »), affirmant que « celui qui tue un musulman doit être tué », avant d’ajouter que quiconque quitte l’islam doit également être tué.
Le directeur de la mosquée, tristement célèbre pour avoir déclaré son soutien à l’État Islamique en 2014, réitéré en 2015, en toute impunité, a défendu les propos de l’imam : « Notre imam doit répondre ce qu’il a lu dans les livre de Charia lorsque l’espion de la télévision l’interroge sur la Charia. Nous ne pouvons pas mentir et dire des choses fausses au sujet de notre religion ».
Bel aveu. Cependant, finalement, l’impunité des dirigeants de la mosquée et l’absence de réaction des autorités danoises ne sont-elles pas plus inquiétantes que les propos de l’imam ?