Si la science ne convient pas au wokisme ambiant, alors gouvernements et institutions sévissent…
En Suède, une récente affaire pourrait venir mettre en évidence ce qui permet aux politiciens et militants des droits de l’homme de prétendre qu’il n’y a pas de preuves scientifiques d’une hausse de la criminalité liée à l’immigration en Occident.
Le cas de l’université de Lund offre ainsi un exemple flagrant de ce qui arrive lorsque des chercheurs tentent d’amasser sur certains problèmes sensibles des preuves scientifiques qui n’auraient pas l’heure d’étayer le récit officiellement estampillé Woke. On y voit la manière dont les fonds pour étudier l’impact de l’immigration sont limités, comment la recherche sur le sujet n’est pas autorisée par les universités et comment les scientifiques qui contreviennent aux restrictions sont confrontés à de graves persécutions.
À Lund, c’est la professeure Kristina Sundquist et ses deux assistants qui en ont fait les frais. Elle menait avec sa petite équipe une recherche détaillée sur le profil des auteurs de violences sexuelles en Suède. Comme elle s’en explique, l’enquête ne visait pas spécialement à établir un profilage racial des délinquants, mais elle a néanmoins permis de découvrir certains faits sur le profil ethnique des violeurs.
Sundquist, qui est la plus citée de son université en matière de recherche sociale, fait actuellement l’objet d’une enquête pour publication d’un rapport de recherche non autorisée et pourrait être poursuivie pour avoir conclu que la majorité des viols sont commis par des immigrants dans le pays.
Les résultats publiés montrent en effet que les immigrés sont nettement surreprésentés dans les affaires de viol, surtout si on tient compte du fait qu’ils ne constituent qu’une minorité dans le pays. Encore, l’étude ne couvre-t-elle que la période 2000 – 2015, c’est-à-dire avant l’afflux massif de migrants en provenance du Moyen-Orient et d’Afrique à partir de 2015.
L’étude portait sur un échantillon de 3 000 condamnations dans des affaires de viol. Comme mentionné ci-dessus, le but de l’étude n’était pas d’enquêter sur l’origine ethnique des agresseurs, mais de voir s’il existe des dénominateurs communs en termes de problèmes de santé, de statut social, d’emploi, etc. Les révélations sur le profil ethnique n’étaient qu’un constat accessoire, mais elles étaient impossibles à ignorer.
«L’immigration n’était qu’une variable analysée parmi d’autres, mais elle s’est avéré être le facteur le plus saillant tant étaient nombreux dans l’échantillon les immigrés et les personnes nées à l’étranger», déclarait ainsi Kristina Sundquist.
La recherche avait été menée parce que, comme le dit l’article dans son introduction, « la Suède connaissait une augmentation de la criminalité sexuelle, en particulier des viols. Il était donc important pour la prévention de savoir qui sont les auteurs de ces crimes».
Les données sur les troubles liés à l’utilisation de substances, les antécédents judiciaires et psychiatriques étaient tirés des registres démographiques suédois. Au total, 3 039 délinquants étaient inclus dans l’analyse. Une majorité d’entre eux étaient des immigrés (59,2 %) pratiquement tous nés à l’étranger (47,7 % des 3 039 cas). L’étude estimait dans ses recommandations que les résultats selon lesquels la majorité des délinquants étaient des immigrés appelaient une enquête plus approfondie des caractéristiques contextuelles de ces délinquants.
L’étude pointe également du doigt le fait que les agressions sexuelles sont fortement sous-déclarées. Selon les données du Conseil national suédois pour la prévention du crime, 23 200 crimes sexuels ont été signalés à la police en 2019, dont 8 820 (38 %) étaient des viols et des viols aggravés. Or, selon l’enquête suédoise annuelle sur la criminalité pour 2019, il est estimé que 5,6% de la population totale âgée de 16 à 84 ans a été victime de crimes à caractère sexuel.
Sans surprise, il y plus de femmes (9,4 % des femmes) que d’hommes (1,4 %) à avoir déclaré être victimes de crimes sexuels. Le viol, qui est le crime sexuel le plus grave, a augmenté de 45,4 % entre 2008 et 2018. Cependant, malgré cette augmentation conséquente, le nombre de délinquants reconnus coupables d’infractions sexuelles est resté assez stable par rapport à 2008, le taux de viols résolus par la police ayant considérablement diminué depuis 2009 (31 pour cent) en fait, en 2016, ce taux d’élucidation ne s’élevait qu’à 11%.
Près de la moitié des délinquants sont nés à l’étranger (47,7 %), auxquels il convient d’ajouter 11,5% de délinquants nés en Suède avec au moins un parent né à l’étranger, le reste, 40,8% sont nés en Suède de parents suédois.
Le groupe le plus important de l’échantillon étudié était constitué des délinquants nés à l’extérieur de la Suède; une part importante provenait du Moyen-Orient/Afrique du Nord (34,5 pour cent) suivi de l’Afrique (19,1 pour cent). Une partie non négligeable des délinquants (32,5%) bénéficiait de l’aide sociale et plus d’un tiers avait un faible niveau d’instruction (37,3%). Le QI et les résultats scolaires n’étaient disponibles que pour une partie de la cohorte et ces variables montraient des niveaux faibles pour chacune d’entre elles.
Les résultats de l’étude reflètent en fait la même tendance que celle déjà constatée en Suède dans d’autres rapports et études consacrés aux agressions sexuelles et aux viols collectifs. Ils confirment ce qu’on trouve pour d’autres catégories de violence comme le meurtre, dans lesquelles les migrants sont aussi largement surreprésentés. De telles études sont rares, mais à ce jour, personne n’avait jamais été menacé de poursuites judiciaires pour avoir les avoir menées.
Le rapport de recherche menée par Sundquist et ses associés a été soumis à la Commission d’appel pour examen éthique – un organisme relevant du ministère suédois de l’Éducation. Elle cherchera à savoir si Sundquist et le professeur Ardavan Khoshnood, coauteur de l’article, ont reçu une «licence éthique» pour traiter des «données sensibles».
Khoshnood a vivement réagi sur le portail suédois Samnytt : «C’est une honte nous sommes accusés de «mener et de publier des recherches illégales», ajoutant que «Le but de l’étude n’était pas l’immigration. Même si cette variable s’est finalement avérée assez importante, nous ne savions pas à l’avance ce que l’étude montrerait. Nous voulions créer un profil de l’agresseur, savoir qui est l’agresseur type».
Ce qui n’empêche apparemment pas l’autorité éthique de s’apprêter à émettre une certaine forme de sanction : «On ne voit nulle part dans le rapport qu’une autorisation éthique est requise pour étudier l’hypothèse d’une surreprésentation des immigrés dans les statistiques de condamnations», déclare ainsi l’organisme. Les scientifiques ont également été épinglés pour l’insuffisance de leurs recommandations qui ne précisent pas comment leur recherche devrait «réduire l’exclusion et améliorer l’intégration».
En matière d’intégration, on ne voit pas très bien en quoi l’occultation de l’origine sociale et ethnique des violeurs serait de nature à «réduire l’exclusion et améliore l’intégration». Cependant, ces scientifiques, dont l’un est lui-même issu de l’immigration, doivent désormais s’activer à prouver leur innocence. En tout état de cause, il s’agit manifestement pour les autorités publiques et universitaires, par l’emploi de tels arguments, d’intimider les scientifiques qui chercheraient des preuves potentiellement nocives au dogme de la société ouverte imposé par les principaux partis politiques suédois. Des preuves qui pourraient par conséquent être de nature à mettre en cause leur responsabilité en faisant le lien entre leur politique en faveur de l’immigration et le développement anarchique de la violence dans la société suédoise.
Daniel DEME
Traduction : Jeune Nation
Source : Remix News | Swedish scientists prosecuted for finding that most rapes are committed by immigrants (rmx.news)
Quelle belle façade suédoise cette bibliothèque,
quand on pense à ce qu’il va y avoir derrière dans quelques années …
à Nuremberg ils avaient des articles loufoques comme le 19 (les preuves truquées sont autorisées) ou le 21 (de toute façon, il n’y a pas besoin de preuve si c’est de notoriété publique) mais au moins, les motifs n’étaient pas inintéressants (crime de guerre, contre la paix et contre l’humanité).
Ici, les motifs invoqués (données sensibles, défaut de recommandation sur l’intégration) sont à se taper la tête contre le mur:
utiliser des données sensibles, c’est plus grave que des viols de masse!!!!
Il n’y a pas que chez les Suédois, c’est généralisé; on marche sur la tête : il n’y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir!
Ce n’est pas des preuves scientifiques qui peuvent prouver que les violes sur femmes ou fillette !? sont du fait d’une immigration débridée, incontrôlée et inapropriée , mais seulement de la statistique des PV ou appels à témoin des victimes qui n’ont pas eu le courage ou la honte de porter plainte! Cordialement, un pointilleux de la justesse des mots et du contexte.