États-Unis : les manifs anti-Trump financées par le milliardaire juif Soros
Plusieurs centaines de manifestants radicaux opposés à Donald Trump ont fait des dégâts à Washington, peu avant la prestation de serment de Donald Trump au Capitole vendredi dernier. Masqués et habillés de noir ils ont provoqué des incidents dans le centre, lançant des pierres et cassant des vitrines. Les manifestants ont visiblement trompé la vigilance des forces de police en changeant leurs vêtements au dernier moment pour s’habiller de vestes à capuches et foulards noirs caractéristiques des « Black Block ». La police a répliqué avec des grenades aveuglantes et des sprays lacrymogènes contre les perturbateurs. Quelques arrestations ont eu lieu.
Les médiats rendent aussi compte de manifestations de femmes, prétendument de masse, à l’appel d’organisations féministes et libertaires « pour la défense des droits civiques et contre le président républicain Donald Trump », dans les grandes villes américaines : Los Angeles, New York, Washington, Chicago, Dallas, San Francisco, St Louis, Denver, Boston…
Mais un journaliste du Ney York Times nous éclaire sur les organisateurs et leurs accointances avec le lobby du judaïsme politique qui semble avoir du mal à digérer l’élection de Donald Trump, où peut-être plus précisément la défaite cinglante de sa « championne » Hillary Clinton…
Ainsi, il apparait qu’au moins 50 organisations appelant à ces marches sont financées par le milliardaire George Soros :
« Soros a financé, ou a des relations proches, avec au moins 56 partenaires de la marche dont des « partenaires clefs » comme le Plan Familial, qui s’oppose à la politique anti-avortement de Trump, et le Conseil National de Défense des Ressources, qui s’oppose à sa politique environnementale. Les autres liens de Soros avec la « Marche des femmes » inclut notamment le mouvement partisan MoveOn.org (qui est férocement pro-Clinton)… D’autres bénéficiaires de Soros sont partenaires de la marche dont le Syndicat Américain des Libertés Civiles, le Centre pour les Droits Constitutionnels, Amnesty International et Human Rights Watch. »
On pouvait aussi observer dans les rangs des manifestations prétendument féministes, des jeunes femmes largement mises en avant, portant ostensiblement des voiles islamiques et scandant de façon provocatoire « we, the people » (« nous, le peuple »). Drôle d’incohérence pour des féministes que de défendre ces mœurs mahométanes ?
En réalité la cohérence est ailleurs : c’est la manipulation par le judaïsme politique de l’islam radical, en vue de porter des coups de butoirs contre l’homogénéité des nations pour la disparition du monde blanc et chrétien.
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