Le Comité du Congrès américain sur la surveillance de la pandémie de Covid a entendu trois scientifiques – médecins et experts en santé publique – qui ont vivement critiqué le gouvernement américain. Jay Bhattacharya, Martin Kulldorff et Marty Makari, d’Harvard, Johns Hopkins et Stanford ont témoigné devant le Congrès : « Le plus grand diffuseur de désinformation pendant la pandémie a été le gouvernement des États-Unis ».
Les experts comprenaient le Dr Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’Université de Stanford, Martin Kulldorff, professeur de médecine à Harvard, Marty Makari, chef de la chirurgie de transplantation et professeur de chirurgie à l’Université Johns Hopkins.
Bhattacharya a décrit les politiques du gouvernement comme une « violation généralisée des libertés civiles ». Il cite « une méta-analyse de l’Université Johns Hopkins concluant que les confinements n’ont pas réussi à limiter la propagation du COVID ».
« Au mieux les confinements ont temporairement protégé la « classe des ordinateurs portables » [les « connectés »] qui pouvait travailler à domicile sans perdre son emploi, peut-être 30% de la population, tout en étant servie par la classe ouvrière [les « premières lignes »] ».
Bhattacharya s’est interrogé pour savoir pourquoi « les autorités de santé publique ignorent les preuves scientifiques claires que l’infection par Covid et l’immunité acquise sont aussi fortes ou plus fortes que l’immunité acquise par le vaccin ».
« Les obligations vaccinatoires ont forcé de nombreux travailleurs de première ligne… à choisir entre leur carrière et un vaccin qui offre moins de protection que l’immunité naturelle qu’ils avaient déjà ».
Selon Makari, « les jeunes en bonne santé ont été essentiellement épargnés par cette pandémie », avec « la mortalité due à l’infection pas pire que la grippe ». Cependant, a-t-il dit, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont nié avoir connaissance d’études confirmant ces résultats.
Tyrannie covidiste sous prétexte de santé publique
Makari a vertement critiqué le gouvernement des États-Unis affirmant qu’il a été « le plus grand auteur de désinformation pendant la pandémie » lorsque la Maison Blanche a soutenu que « l’immunité contre les vaccins est bien supérieure à l’immunité naturelle » et que « les masques sont efficaces ».
Le professeur Didier Raoult ne dit rien de moins, et depuis fort longtemps, confirmant cette analyse dans un tweet du 9 mars 2023 :
La revue d’analyse complète des articles scientifiques
(Cochrane,30/01/23) confirme qu’il n’y a pas d’ efficacité du port du masque pour éviter la contagion du covid (sauf pour le personnel soignant) mais que l’ hygiène des mains est utile. On est d’accord depuis longtemps.— Didier Raoult (@raoult_didier) March 9, 2023
Comme Didier Raoult, Makari fait référence à une méta-analyse « Cochrane » récemment publiée montrant que les masques n’empêchent pas la propagation du Covid-19, et qui souligne que la myocardite était « 4 à 28 fois plus fréquente après le vaccin ». Les gouvernements appelant malgré tout – criminellement ? – à ce que « les jeunes reçoivent leurs boosters [« rappels de « vaccination »] ».
Kulldorf a cité l’exemple de la Suède, la décrivant comme « le seul pays occidental qui s’est très bien comporté pendant la pandémie » et qui avait « principalement des mesures volontaires » et une « approche très légère » au lieu de confinements et de diktats vaccinatoires ou de muselières.
« La Suède, avec d’autres pays scandinaves, avait le taux de mortalité le plus bas au monde ».
La membre du Congrès Marianette Miller-Meeks a déclaré : « Ce n’est que lorsque je suis arrivée au Congrès que j’ai réalisé que l’immunité acquise était un nouveau concept. » Kulldorff lui a répondu : « Je suppose que nous en étions au courant depuis 430 av. J.-C., avec la peste athénienne, jusqu’en 2020, puis nous ne l’avons pas su pendant trois ans, et maintenant nous le savons à nouveau. »
Observant que l’immunité naturelle est étudiée depuis l’époque de la peste athénienne, Makari a poursuivi en soulignant « qu’elle était considérée comme une théorie du complot ou quelque chose à laquelle nous ne pouvions pas faire confiance ou croire parce que nous ne connaissions pas la protection à long terme. Eh bien, nous ne connaissions pas non plus la protection à long terme des vaccins. »
« Beaucoup, confrontés à ces choix non scientifiques, ne feront plus jamais confiance aux autorités de santé publique », a déclaré Bhattacharya. « Les bureaucrates de la santé publique ont agi plus comme des dictateurs que comme des scientifiques pendant la pandémie, s’isolant des critiques extérieures crédibles. »
En concluant, Bhattacharya a affirmé : « Je constate une augmentation de la réticence à la vaccination pour les vaccins essentiels comme la rougeole et le DTC », la décrivant comme « assez inquiétante ». Approuvé par Kulldorff : « En forçant les enfants à recevoir un vaccin dont ils n’ont pas besoin parce qu’ils ont déjà eu la maladie, cela sape la confiance dans les autres vaccins ». « Il faudra des décennies pour restaurer une partie de cette confiance endommagée » dans les autorités de santé publique, a ajouté Makari.
De l’abandon des principes de la santé publique à la persécution
Qualifiant ces politiques Covid « d’échecs » Kulldorff les a expliqués par « l’abandon des principes de base de la santé publique », y compris une concentration exclusive sur une maladie au détriment de toutes les autres et « une tentative de supprimer ou d’éradiquer le Covid, ce qui était impossible », sur un modèle chinois.
« Le CDC et la FDA et les gens du NIH [National Institutes of Health] ont pris une décision avant la fin des essais », a déclaré Makari. « Ils ont décidé que les bébés recevraient les vaccins avant la fin de l’étude. Et puis [ils] n’ont trouvé aucune différence statistiquement significative d’efficacité entre les deux groupes, et ils ont tout simplement laissé tomber. »
Bhattacharya a dénoncé les collusions – à deux doigts de les qualifier de « complot » – affirmant que « sous la bannière de la lutte contre la désinformation, les agences gouvernementales de santé utilisent leur pouvoir pour collaborer avec les sociétés de médias sociaux pour contrôler le discours public sur la science et la politique de Covid », notant qu’en conséquence, il a été mis sur liste noire par Twitter, ce qui a conduit à son implication dans un procès contre l’administration Biden sur la base d’allégations de censure.
« J’ai personnellement fait face à la censure », a déclaré Bhattacharya, « de la part de sources gouvernementales pendant la pandémie, y compris diffamation » et injures. Comment les scientifiques dont les carrières ont été ruinées vont-ils retrouver leur réputation ? », a-t-il demandé.
L’intégralité de l’audition est disponible sur le site du Congrès américain :
Concernant le scandale du Covid – et surtout le danger des pseudo-vaccins ! – le livre à lire absolument est « LES APPRENTIS SORCIERS » (tout ce que l’on nous cache sur l’ARN messager) de la généticienne Alexandra Henrion Caude. Livre donnant raison à tous ceux qui ont refusé le vaccin, dénonçant l’attitude criminelle des autorités qui l’ont rendu obligatoire, et mettant en évidence les tromperies du lobby de l’industrie pharmaceutique.
Le livre a un tel succès qu’il était en rupture de stock à la LIBRAIRIE FRANACAISE. Espérons qu’ils se
sont réapprovisionnés !
Je n’ai eu le temps d’en lire que 120 pages, mais ma femme – qui a exercé dans le milieu médical – tente déjà de me le voler ! Je crois que je vais en commander un deuxième exemplaire… (un deuxième exemplaire de livre.. pas de femme !)
Nous en avons annoncé la publication : https://jeune-nation.com/lectures/nouveaute-les-apprentis-sorciers-alexandra-henrion-claude